Les responsables politiques et les hommes d'affaires et investisseurs américains revendiquent plus de précision et de clarté dans les pratiques réglementaires relatives aux investissements en Algérie, sachant que la plupart des engagements de l'Algérie se confinent dans le secteur des hydrocarbures. Les responsables politiques et les hommes d'affaires et investisseurs américains revendiquent plus de précision et de clarté dans les pratiques réglementaires relatives aux investissements en Algérie, sachant que la plupart des engagements de l'Algérie se confinent dans le secteur des hydrocarbures. Même si, récemment, un partenariat important a été scellé dans le domaine des biotechnologies entre des opérateurs économiques algériens et les firmes américaines, faisant de l'Algérie le dragon de l'industrie pharmaceutique en Afrique, beaucoup reste à faire concernant la coopération entre l'Algérie et les Etats-Unis d'Amérique. L'intervention de l'ambassadeur américain à Alger, lors de la conférence de presse organisée dans le cadre de la 45e Foire internationale d'Alger, montre que les investisseurs américains souhaitent plus de souplesse dans la législation en matière d'investissements directs étrangers. Henry S. Ensher a souligné que «l'important consiste à insuffler un nouvel élan à la coopération économique algéro-américaine, précisant que le partenariat économique entre les deux pays reste quasiment confiné au secteur des hydrocarbures malgré les potentialités existantes». Le diplomate ajoute que ses services s'efforcent «à faire connaître la destination Algérie auprès des hommes d'affaires américains, conviant les opérateurs économiques algériens à travailler dans ce sens pour concrétiser les opportunités de partenariat et de coopération». Le Conseil d'affaires algéro-américain fait également d'énormes efforts pour rapprocher les entrepreneurs des deux pays en organisant, régulièrement, des rencontres business to business et des visites de délégations d'industriels algériens aux USA, notamment par le biais de la participation aux foires et salons spécialisés, sachant que les participants nationaux bénéficient de la prise en charge et des facilités de transport à hauteur 80%, en vertu du Fonds spécifique de promotion des exportations. Les IDE américains en Algérie représentent 5,5 milliards de dollars En effet, le président du Conseil d'affaires algéro-américain, Smaïl Chikhoune, a affirmé que «le volume des investissements directs américains en Algérie s'élève à 5,5 milliards de dollars, principalement dans les hydrocarbures et la pétrochimie et que le volume des échanges commerciaux entre les deux pays a atteint les 16 milliards de dollars en 2011, en faveur de l'Algérie». Celui-ci ajoute que «notre objectif vise à attirer au moins 10% des quelque 100 milliards de dollars dépensés annuellement par les grands laboratoires dans la recherche et le développement». Il convient de préciser, par ailleurs, que «le gouvernement américain octroie d'importantes facilités administratives et douanières aux exportateurs algériens, notamment ceux spécialisés dans l'agroalimentaire, pour investir le marché américain, friand en produits bio algériens. Les dattes «Deglet Nour» sont très appréciées aux Etats-Unis d'Amérique au point où elles concurrencent fortement les dattes d'autres origines, y compris celles de Californie. Henry S. Ensher estime, par ailleurs, que «les opérateurs économiques américains connaissent mal l'Algérie et encore moins son économie», par conséquent, il exhorte les opérateurs économiques nationaux à s'impliquer davantage dans la diffusion de l'information pour attirer les investisseurs américains. «Il faut que les opérateurs algériens fassent connaître leur économie et ses avantages, d'autant qu'il existe une volonté américaine d'approfondir et de diversifier la coopération commerciale et économique avec l'Algérie», a-t-il dit. Plus explicitement, il indique que «les investisseurs américains ont une idée erronée de l'Algérie et de la situation sécuritaire. Néanmoins, aujourd'hui, nous essayons de leur donner une autre idée et une autre image telle que nous l'avons perçue». Même si, récemment, un partenariat important a été scellé dans le domaine des biotechnologies entre des opérateurs économiques algériens et les firmes américaines, faisant de l'Algérie le dragon de l'industrie pharmaceutique en Afrique, beaucoup reste à faire concernant la coopération entre l'Algérie et les Etats-Unis d'Amérique. L'intervention de l'ambassadeur américain à Alger, lors de la conférence de presse organisée dans le cadre de la 45e Foire internationale d'Alger, montre que les investisseurs américains souhaitent plus de souplesse dans la législation en matière d'investissements directs étrangers. Henry S. Ensher a souligné que «l'important consiste à insuffler un nouvel élan à la coopération économique algéro-américaine, précisant que le partenariat économique entre les deux pays reste quasiment confiné au secteur des hydrocarbures malgré les potentialités existantes». Le diplomate ajoute que ses services s'efforcent «à faire connaître la destination Algérie auprès des hommes d'affaires américains, conviant les opérateurs économiques algériens à travailler dans ce sens pour concrétiser les opportunités de partenariat et de coopération». Le Conseil d'affaires algéro-américain fait également d'énormes efforts pour rapprocher les entrepreneurs des deux pays en organisant, régulièrement, des rencontres business to business et des visites de délégations d'industriels algériens aux USA, notamment par le biais de la participation aux foires et salons spécialisés, sachant que les participants nationaux bénéficient de la prise en charge et des facilités de transport à hauteur 80%, en vertu du Fonds spécifique de promotion des exportations. Les IDE américains en Algérie représentent 5,5 milliards de dollars En effet, le président du Conseil d'affaires algéro-américain, Smaïl Chikhoune, a affirmé que «le volume des investissements directs américains en Algérie s'élève à 5,5 milliards de dollars, principalement dans les hydrocarbures et la pétrochimie et que le volume des échanges commerciaux entre les deux pays a atteint les 16 milliards de dollars en 2011, en faveur de l'Algérie». Celui-ci ajoute que «notre objectif vise à attirer au moins 10% des quelque 100 milliards de dollars dépensés annuellement par les grands laboratoires dans la recherche et le développement». Il convient de préciser, par ailleurs, que «le gouvernement américain octroie d'importantes facilités administratives et douanières aux exportateurs algériens, notamment ceux spécialisés dans l'agroalimentaire, pour investir le marché américain, friand en produits bio algériens. Les dattes «Deglet Nour» sont très appréciées aux Etats-Unis d'Amérique au point où elles concurrencent fortement les dattes d'autres origines, y compris celles de Californie. Henry S. Ensher estime, par ailleurs, que «les opérateurs économiques américains connaissent mal l'Algérie et encore moins son économie», par conséquent, il exhorte les opérateurs économiques nationaux à s'impliquer davantage dans la diffusion de l'information pour attirer les investisseurs américains. «Il faut que les opérateurs algériens fassent connaître leur économie et ses avantages, d'autant qu'il existe une volonté américaine d'approfondir et de diversifier la coopération commerciale et économique avec l'Algérie», a-t-il dit. Plus explicitement, il indique que «les investisseurs américains ont une idée erronée de l'Algérie et de la situation sécuritaire. Néanmoins, aujourd'hui, nous essayons de leur donner une autre idée et une autre image telle que nous l'avons perçue».