«Au moment où l'Algérie est privatisée, même le cimentière El-Alia est privatisé, on s'interroge sur le déni de justice dont le moudjahid Mohamed Cherif Ould El Hocine fait l'objet», s'est indigné, jeudi, l'ancien baroudeur de l'ALN ,commandant de la Wilaya IV historique, Lakhdar Bouregraa, venu rendre hommage à un autre authentique moudjahid de cette wilaya historique, qui n'est autre que le moudjahid Mohamed Chérif Ould El Hocine, cérémonie organisée par l'organisation Machaâl Ech Chahid au centre culturel de Chéraga. «Au moment où l'Algérie est privatisée, même le cimentière El-Alia est privatisé, on s'interroge sur le déni de justice dont le moudjahid Mohamed Cherif Ould El Hocine fait l'objet», s'est indigné, jeudi, l'ancien baroudeur de l'ALN ,commandant de la Wilaya IV historique, Lakhdar Bouregraa, venu rendre hommage à un autre authentique moudjahid de cette wilaya historique, qui n'est autre que le moudjahid Mohamed Chérif Ould El Hocine, cérémonie organisée par l'organisation Machaâl Ech Chahid au centre culturel de Chéraga. Le commandant Lakhdar Bouregraa qui était sur la tribune aux côtés de Mohamed Mechati, membre des 22 historiques de la Révolution, de Mustapha Bencherchali , membre du Conseil national de l'Organisation nationale des moudjahidine, du commandant de l'ALN, Mohamed Saïki et Rabah Zaamoum, fils du chahid Mohamed Zaamoum, s'est fait l'interprète de ses compagnons d'armes pour interpeller le président de la République, Abdelaziz Bouteflika pour dénoncer la spoliation du patrimoine mobilier et immobilier par l'Etat algérien et réparer la grande injustice qui frappe l'un des leurs, le moudjahid Mohamed Chérif Ould El Hocine. Pour rappel, l'affaire Ould El Hocine-ENPS traîne depuis plus d'un quart de siècle devant les tribunaux. Mohamed Chérif Ould El Hocine, propriétaire de l ́Entreprise de panneaux de signalisation routière (Epsr), sise à Chéraga (Alger) estime qu'il est victime d ́une cabale en vue de le «spolier» de ses biens. En1980, M.Ould El-Hocine est interpellé puis jeté en prison avec confiscation des ses biens.. Motif de cette interpellation : «Atteinte à la sûreté de l ́Etat». Depuis, une bataille juridique est lancée dans le but de reprendre ses biens A l'issue de cette bataille juridique, Mohamed Chérif Ould El Hocine est rétabli dans ses droits. Un arrêté de la Cour suprême, chambre administrative, numéro123276 du 16 février 1997, a été rendu, annulant l ́arrêté interministériel du 27 octobre 1987 et ordonnant la restitution de tous les biens mobiliers et immobiliers de l ́Epsr. Une décision de justice que le moudjahid n'arrive pas à faire appliquer sur le terrain depuis cette date. L'indignation exprimée par le commandant de l'ALN, Lakhdar Bouregraa, est relayée par ses compagnons de lutte, les ex baroudeurs de l'ALN, Mohamed Mechati, Mohamed Saïki, Mustapha Bencherchali et le fils du chahid Rabah Zaamoum qui ont souhaité, vivement aussi de leur côté, l'intervention du chef de l'Etat pour réparer cette injustice qui dure depuis près de trente ans et rétablir dans ses droits le moudjahid Mohamed Chérif Ould El Hocine. Le commandant Lakhdar Bouregraa qui était sur la tribune aux côtés de Mohamed Mechati, membre des 22 historiques de la Révolution, de Mustapha Bencherchali , membre du Conseil national de l'Organisation nationale des moudjahidine, du commandant de l'ALN, Mohamed Saïki et Rabah Zaamoum, fils du chahid Mohamed Zaamoum, s'est fait l'interprète de ses compagnons d'armes pour interpeller le président de la République, Abdelaziz Bouteflika pour dénoncer la spoliation du patrimoine mobilier et immobilier par l'Etat algérien et réparer la grande injustice qui frappe l'un des leurs, le moudjahid Mohamed Chérif Ould El Hocine. Pour rappel, l'affaire Ould El Hocine-ENPS traîne depuis plus d'un quart de siècle devant les tribunaux. Mohamed Chérif Ould El Hocine, propriétaire de l ́Entreprise de panneaux de signalisation routière (Epsr), sise à Chéraga (Alger) estime qu'il est victime d ́une cabale en vue de le «spolier» de ses biens. En1980, M.Ould El-Hocine est interpellé puis jeté en prison avec confiscation des ses biens.. Motif de cette interpellation : «Atteinte à la sûreté de l ́Etat». Depuis, une bataille juridique est lancée dans le but de reprendre ses biens A l'issue de cette bataille juridique, Mohamed Chérif Ould El Hocine est rétabli dans ses droits. Un arrêté de la Cour suprême, chambre administrative, numéro123276 du 16 février 1997, a été rendu, annulant l ́arrêté interministériel du 27 octobre 1987 et ordonnant la restitution de tous les biens mobiliers et immobiliers de l ́Epsr. Une décision de justice que le moudjahid n'arrive pas à faire appliquer sur le terrain depuis cette date. L'indignation exprimée par le commandant de l'ALN, Lakhdar Bouregraa, est relayée par ses compagnons de lutte, les ex baroudeurs de l'ALN, Mohamed Mechati, Mohamed Saïki, Mustapha Bencherchali et le fils du chahid Rabah Zaamoum qui ont souhaité, vivement aussi de leur côté, l'intervention du chef de l'Etat pour réparer cette injustice qui dure depuis près de trente ans et rétablir dans ses droits le moudjahid Mohamed Chérif Ould El Hocine.