«Les candidats ne seront pas lésés dans leur droit », c'est par cette déclaration que Brahim Abassi, directeur des enseignements primaire et secondaire au ministère de l'Education nationale, a débuté hier sa conférence de presse tenue à Alger et consacrée aux résultats de l'examen de fin du cycle primaire. Il s'est voulu rassurant et par là même rassurer les candidats du BEM et leurs parents qui ont exprimé leur inquiétude sur une question « hors programme » dans la matière « éducation islamique ». Une commission de l'Inspection générale de la pédagogie a été installée pour étudier cette question, a affirmé le responsable du ministère de l'Education nationale. Pour rappel les candidats ont eu la désagréable surprise d'avoir à répondre à une question portant sur un cours qui aurait été annulé du programme de la quatrième année moyenne. La question était notée sur six points dans le barème de l'examen en éducation islamique à coefficient 2 totalisant 12 points. Le sujet d'éducation islamique comportait trois questions portant l'une sur l'écriture avec vocalisation des versets coraniques de 34 à 36 de la Sourate «Fossilate», supprimée auparavant du programme scolaire et d'où il a été demandé de relever trois orientations contenues dans les versets de la même Sourate. Cette question était « effectivement prévue dans le programme officiel de cette matière. Déjà apprise, il a été décide de ne pas la rapporter dans le cours sur l'istikama. Le cours en question portant sur l'istikama (la droiture) figure aux pages 25 et 26 du livre scolaire et les versets coraniques à la page 4, la Sourate étant citée intégralement à cette même page ». Il a ajouté que les enseignants et les inspecteurs ont confirmé que « ces versets coraniques figurent officiellement dans le programme et le cours y afférent a été dispensé aux élèves ». « C'est un malentendu » a expliqué Brahim Abassi pour qui Istikama s'appuie sur la Sourate Fossilate et relève que la majorité des élèves ont répondu à la question. Pour ceux qui ont été concernés par ce malentendu, les candidats seront notés sur la base de la « compréhension » du verset et ne seront pas sanctionnés, c'est que qu'a décidé la commission de l'inspection générale de la pédagogie qui a étudié la question. «Les candidats ne seront pas lésés dans leur droit », c'est par cette déclaration que Brahim Abassi, directeur des enseignements primaire et secondaire au ministère de l'Education nationale, a débuté hier sa conférence de presse tenue à Alger et consacrée aux résultats de l'examen de fin du cycle primaire. Il s'est voulu rassurant et par là même rassurer les candidats du BEM et leurs parents qui ont exprimé leur inquiétude sur une question « hors programme » dans la matière « éducation islamique ». Une commission de l'Inspection générale de la pédagogie a été installée pour étudier cette question, a affirmé le responsable du ministère de l'Education nationale. Pour rappel les candidats ont eu la désagréable surprise d'avoir à répondre à une question portant sur un cours qui aurait été annulé du programme de la quatrième année moyenne. La question était notée sur six points dans le barème de l'examen en éducation islamique à coefficient 2 totalisant 12 points. Le sujet d'éducation islamique comportait trois questions portant l'une sur l'écriture avec vocalisation des versets coraniques de 34 à 36 de la Sourate «Fossilate», supprimée auparavant du programme scolaire et d'où il a été demandé de relever trois orientations contenues dans les versets de la même Sourate. Cette question était « effectivement prévue dans le programme officiel de cette matière. Déjà apprise, il a été décide de ne pas la rapporter dans le cours sur l'istikama. Le cours en question portant sur l'istikama (la droiture) figure aux pages 25 et 26 du livre scolaire et les versets coraniques à la page 4, la Sourate étant citée intégralement à cette même page ». Il a ajouté que les enseignants et les inspecteurs ont confirmé que « ces versets coraniques figurent officiellement dans le programme et le cours y afférent a été dispensé aux élèves ». « C'est un malentendu » a expliqué Brahim Abassi pour qui Istikama s'appuie sur la Sourate Fossilate et relève que la majorité des élèves ont répondu à la question. Pour ceux qui ont été concernés par ce malentendu, les candidats seront notés sur la base de la « compréhension » du verset et ne seront pas sanctionnés, c'est que qu'a décidé la commission de l'inspection générale de la pédagogie qui a étudié la question.