La grogne des étudiants à l'université de Boumerdès ne faiblit pas. Des dizaines d'étudiants de la faculté des hydrocarbures, ex-INH, ont observé, hier, un sit-in devant le bâtiment abritant l'Institut national de pétrole (IAP) pour réclamer l'allègement des procédures de recrutements dans des entreprises activant dans le domaine des énergies. Les étudiants qui se sont assis devant le siège de l'IAP ont suspendu des banderoles et des pancartes sur lesquelles on peut lire : « Sonatrach, Gtp, Entp, Naftal, nous sommes en chômage ! ». Egalement, les protestataires ont exigé une considération de la part des responsables et d'être considérés sur le même pied d'égalité avec les diplômés de l'IAP qui organise, annuellement, des concours de recrutement à Sonatrach. Il est à rappeler que l'université M'hamed- Bouguerra de Boumerdès (UMBB) a été secouée récemment par plusieurs mouvements de grève enclenchés par des étudiants en colère. Au début du mois courant les étudiants de la faculté de l'ingénieur, ex-INGM, ont paralysé l'université pour protester contre l'exclusion de quatre de leurs camarades. Ce mouvement de grève coïncidait avec la tenue des examens du deuxième EMD. La grogne des étudiants à l'université de Boumerdès ne faiblit pas. Des dizaines d'étudiants de la faculté des hydrocarbures, ex-INH, ont observé, hier, un sit-in devant le bâtiment abritant l'Institut national de pétrole (IAP) pour réclamer l'allègement des procédures de recrutements dans des entreprises activant dans le domaine des énergies. Les étudiants qui se sont assis devant le siège de l'IAP ont suspendu des banderoles et des pancartes sur lesquelles on peut lire : « Sonatrach, Gtp, Entp, Naftal, nous sommes en chômage ! ». Egalement, les protestataires ont exigé une considération de la part des responsables et d'être considérés sur le même pied d'égalité avec les diplômés de l'IAP qui organise, annuellement, des concours de recrutement à Sonatrach. Il est à rappeler que l'université M'hamed- Bouguerra de Boumerdès (UMBB) a été secouée récemment par plusieurs mouvements de grève enclenchés par des étudiants en colère. Au début du mois courant les étudiants de la faculté de l'ingénieur, ex-INGM, ont paralysé l'université pour protester contre l'exclusion de quatre de leurs camarades. Ce mouvement de grève coïncidait avec la tenue des examens du deuxième EMD.