Les étudiants de la faculté de l'ingénieur (ex-INGM) de l'université de Boumerdès M'hamed-Bouguerra (UMBB) ont entamé, hier, un mouvement de grève qui risque de se prolonger pour protester contre l'exclusion de quatre étudiants après avoir été traduits devant une commission de discipline. Les étudiants en colère réclament la réintégration de leurs camarades qui poursuivent des études en Master I dans la spécialité engineering avant de souligner l'implication de certains enseignants qui, selon les grévistes, ont exercé des de pressions, pour que ces étudiants soient exclus. Ce mouvement de grève intervient au moment où les examens du deuxième semestre sont lancés. C'est dire que le mouvement n'a pas été sans conséquence sur le déroulement des épreuves surtout lorsqu'on sait que la plupart des étudiants, ont par là-même, réclamé le report des examens afin de réintégrer les étudiants exclus. Il est important de rappeler qu'un mouvement de grève avait été lancé par les étudiants de l'UMBB, il y a près de deux semaines, où ils ont observé des sit-in nocturnes devant le siège du rectorat de l'université afin de réclamer l'allègement des conditions d'accès au Master. Sur un autre plan, les travailleurs du secteur de la formation professionnelle dans la wilaya de Boumerdès ont répondu à l'appel de leurs collègues des autres régions du pays qui ont lancé avant-hier, un mouvement de grève de trois jours pour réclamer l'amélioration de leur cadre de vie, notamment en répondant à leurs revendications socioprofessionnelles. Selon un syndicaliste, le mot d'ordre de la grève lancé par l'UNTFP, l'Union nationale des travailleurs de la formation professionnelle a été suivi à 90% et tous les centres et instituts relevant du secteur de la formation professionnelle sont paralysés par ce débrayage. En effet, les travailleurs dudit secteur réclament la révision de leur statut particulier et le régime indemnitaire et ce conformément au décret exécutif numéro 09-93 du 22 février 2009. Par ailleurs, les grévistes réclament l'intégration des travailleurs contractuels et la prise en considération des corps communs, les ouvriers professionnels, la définition de leurs tâches ainsi que l'établissement d'une prime. Ils réclament en outre la régularisation des agents techniques et des surveillants généraux qui réclament le droit à des formations de promotion au sein des structures de formation. Ils exigent de leur tutelle l'abrogation de l'article 87 bis du code du travail jugé comme étant la cause des malheurs des travailleurs qui le considèrent comme une entrave à leur promotion et l'amélioration de leurs conditions de vie. Les grévistes menacent de reconduire leur mouvement de grève pour le 18 du mois en cours. Mais, tout porte à croire que ce mouvement de grève sera reconduit dès le début de la rentrée prochaine. Ce mouvement intervient, faut-il le noter, au moment des examens des stagiaires. Les étudiants de la faculté de l'ingénieur (ex-INGM) de l'université de Boumerdès M'hamed-Bouguerra (UMBB) ont entamé, hier, un mouvement de grève qui risque de se prolonger pour protester contre l'exclusion de quatre étudiants après avoir été traduits devant une commission de discipline. Les étudiants en colère réclament la réintégration de leurs camarades qui poursuivent des études en Master I dans la spécialité engineering avant de souligner l'implication de certains enseignants qui, selon les grévistes, ont exercé des de pressions, pour que ces étudiants soient exclus. Ce mouvement de grève intervient au moment où les examens du deuxième semestre sont lancés. C'est dire que le mouvement n'a pas été sans conséquence sur le déroulement des épreuves surtout lorsqu'on sait que la plupart des étudiants, ont par là-même, réclamé le report des examens afin de réintégrer les étudiants exclus. Il est important de rappeler qu'un mouvement de grève avait été lancé par les étudiants de l'UMBB, il y a près de deux semaines, où ils ont observé des sit-in nocturnes devant le siège du rectorat de l'université afin de réclamer l'allègement des conditions d'accès au Master. Sur un autre plan, les travailleurs du secteur de la formation professionnelle dans la wilaya de Boumerdès ont répondu à l'appel de leurs collègues des autres régions du pays qui ont lancé avant-hier, un mouvement de grève de trois jours pour réclamer l'amélioration de leur cadre de vie, notamment en répondant à leurs revendications socioprofessionnelles. Selon un syndicaliste, le mot d'ordre de la grève lancé par l'UNTFP, l'Union nationale des travailleurs de la formation professionnelle a été suivi à 90% et tous les centres et instituts relevant du secteur de la formation professionnelle sont paralysés par ce débrayage. En effet, les travailleurs dudit secteur réclament la révision de leur statut particulier et le régime indemnitaire et ce conformément au décret exécutif numéro 09-93 du 22 février 2009. Par ailleurs, les grévistes réclament l'intégration des travailleurs contractuels et la prise en considération des corps communs, les ouvriers professionnels, la définition de leurs tâches ainsi que l'établissement d'une prime. Ils réclament en outre la régularisation des agents techniques et des surveillants généraux qui réclament le droit à des formations de promotion au sein des structures de formation. Ils exigent de leur tutelle l'abrogation de l'article 87 bis du code du travail jugé comme étant la cause des malheurs des travailleurs qui le considèrent comme une entrave à leur promotion et l'amélioration de leurs conditions de vie. Les grévistes menacent de reconduire leur mouvement de grève pour le 18 du mois en cours. Mais, tout porte à croire que ce mouvement de grève sera reconduit dès le début de la rentrée prochaine. Ce mouvement intervient, faut-il le noter, au moment des examens des stagiaires.