La Conférence des Nations unies sur le développement durable (Rio+20), qui a débuté, hier, à Rio de Janeiro (Brésil), devait se pencher sur des points d'achoppement concernant en particulier les questions relatives au cadre institutionnel et à l'économie verte. Ces deux questions figurent dans le projet de document final élaboré par la présidence brésilienne de la conférence onusienne, qui s'étalera jusqu'au 22 juin, après plusieurs rounds de négociations au niveau des experts. N'ayant pas obtenu de consensus sur le projet de document en question, en raison de multiples divergences de fond entre les différents pays et groupes de pays, la présidence brésilienne, qui conduira les travaux jusqu'à la fin de la conférence, a présenté un nouveau texte en tenant compte des différentes positions exprimées et autres discussions ayant eu lieu tout au long des travaux du Comité préparatoire. L'Algérie, en sa qualité de président du Groupe des 77+ la Chine, a souligné que ce nouveau document pourrait constituer une base de travail pour la reprise des négociations dès lors qu'il prend en charge un certain nombre de préoccupations des pays en développement. Toutefois, l'Algérie a mis l'accent sur le caractère général du document et sur les insuffisances qui le caractérisent, auxquelles il conviendrait de remédier durant les prochains rounds de négociation. Il y a lieu de souligner que les négociations se sont poursuivies le 17 juin dernier au sein des différents groupes, sur la base de ce nouveau texte, mais les divergences profondes qui subsistent entre les pays en développement et les pays développés sur des questions essentielles laissent planer un climat de scepticisme et de morosité parmi les nombreuses délégations présentes à Rio. Le projet de document final porte aussi sur les thématiques liées aux objectifs du développement durable et aux moyens de mise en œuvre (financement et transfert de technologies). En marge des réunions préparatoires à la Conférence des Nations unies sur le développement durable, une rencontre a été organisée le 18 juin 2012 par l'organisme public allemand d'aide au développement, en collaboration avec les pays de la Région Moyen-Orient et d'Afrique du Nord (MENA), portant sur le thème "Les forêts méditerranéennes pour le développement : une clé pour adapter les politiques, les territoires et les sociétés au changement climatique dans la région MENA". Au cours de cette rencontre, à laquelle a pris part la délégation algérienne représentée par le directeur général des forêts, il a été procédé à la présentation d'une communication portant sur l'expérience algérienne en matière de gestion durable des forêts dans le cadre de la politique de Renouveau rural. L'accent a été mis aussi sur les programmes de développement mis en œuvre depuis 2009 dans le cadre de la mise en œuvre de la politique de Renouveau rural, dont la finalité est d'améliorer les conditions de vie et de revenus des ménages ruraux, mais aussi d'atténuer la pression sur les ressources naturelles. La Conférence des Nations unies sur le développement durable (Rio+20), qui a débuté, hier, à Rio de Janeiro (Brésil), devait se pencher sur des points d'achoppement concernant en particulier les questions relatives au cadre institutionnel et à l'économie verte. Ces deux questions figurent dans le projet de document final élaboré par la présidence brésilienne de la conférence onusienne, qui s'étalera jusqu'au 22 juin, après plusieurs rounds de négociations au niveau des experts. N'ayant pas obtenu de consensus sur le projet de document en question, en raison de multiples divergences de fond entre les différents pays et groupes de pays, la présidence brésilienne, qui conduira les travaux jusqu'à la fin de la conférence, a présenté un nouveau texte en tenant compte des différentes positions exprimées et autres discussions ayant eu lieu tout au long des travaux du Comité préparatoire. L'Algérie, en sa qualité de président du Groupe des 77+ la Chine, a souligné que ce nouveau document pourrait constituer une base de travail pour la reprise des négociations dès lors qu'il prend en charge un certain nombre de préoccupations des pays en développement. Toutefois, l'Algérie a mis l'accent sur le caractère général du document et sur les insuffisances qui le caractérisent, auxquelles il conviendrait de remédier durant les prochains rounds de négociation. Il y a lieu de souligner que les négociations se sont poursuivies le 17 juin dernier au sein des différents groupes, sur la base de ce nouveau texte, mais les divergences profondes qui subsistent entre les pays en développement et les pays développés sur des questions essentielles laissent planer un climat de scepticisme et de morosité parmi les nombreuses délégations présentes à Rio. Le projet de document final porte aussi sur les thématiques liées aux objectifs du développement durable et aux moyens de mise en œuvre (financement et transfert de technologies). En marge des réunions préparatoires à la Conférence des Nations unies sur le développement durable, une rencontre a été organisée le 18 juin 2012 par l'organisme public allemand d'aide au développement, en collaboration avec les pays de la Région Moyen-Orient et d'Afrique du Nord (MENA), portant sur le thème "Les forêts méditerranéennes pour le développement : une clé pour adapter les politiques, les territoires et les sociétés au changement climatique dans la région MENA". Au cours de cette rencontre, à laquelle a pris part la délégation algérienne représentée par le directeur général des forêts, il a été procédé à la présentation d'une communication portant sur l'expérience algérienne en matière de gestion durable des forêts dans le cadre de la politique de Renouveau rural. L'accent a été mis aussi sur les programmes de développement mis en œuvre depuis 2009 dans le cadre de la mise en œuvre de la politique de Renouveau rural, dont la finalité est d'améliorer les conditions de vie et de revenus des ménages ruraux, mais aussi d'atténuer la pression sur les ressources naturelles.