L'art urbain, plus connu sous son appellation anglophone Street Art s'invite à l'institut Cervantès d'Alger avec "Grafika. 30 artistes de la jeune Espagne" pour nous faire découvrir ce mouvement artistique contemporain qui vit le jour dans les années 60 aux Etats-Unis. Cet art s'inscrit dans une démarche activiste et subversive. L'artiste sort ainsi de l'espace réduit qui lui est consacré par les salons, les musées et la galerie pour investir la rue. Son œuvre devient partie intégrante de l'environnement qui a d'ailleurs permis sa création et est destiné à un plus large public. L'œuvre s'accapare donc cet espace public et vient interpeller les passants sur des questionnements politiques, sociales ou autres. L'art urbain ne se limite pas aux simples graffitis et tags sur les murs mais utilise des matériaux tel que les pochoirs, la peinture, les installations également sous des voix légales ou un peu moins. En transformant le paysage urbain en une toile géante, les street-artistes disposent d'un moyen d'expression sans précédent. Ce qui les inspire : la ville elle-même, ses imperfections et ses scènes de vie quotidienne, la télévision, les graffitis qui servent de base pour la création d'un nouveau langage propre à chaque artiste. L'objectif est de nous ouvrir les yeux en adoptant leur propre vision du monde actuel, ses évolutions et ses préoccupations. Pour dire l'importance de ce mouvement, rappelons nous l'affiche de campagne du président américain Barack Obama qui est réalisé par l'un des artistes du street art les plus influents du moment à savoir Shepard Fairey basé sur son poster « Hope ». Ce mouvement , et ce dès les années 70 gagne l'Europe, première ville à laquelle on pense est évidemment Brisol, pionnière en matière de street art, peut être bien parce que le célébrissime Bansky, l'un des street artistes les plus connus en est originaire. L'Espagne, quant à elle, abrite ce qu'appelle certaines artistes, la mecque européenne du graff qui n'est autre que sa ville Barcelone. L'exposition «Grafika, 30 artistes de la jeune Espagne» regroupe le travail de 30 jeunes designers espagnols. Designers ayant choisi l'art urbain comme expression et s'imprègne des codes qui les entourent. Cette exposition regroupe des grands noms de la scène espagnole à savoir NANO4814, qui participa à la première exposition de la toute première galerie d'art espagnole consacrée exclusivement à l'art urbain, l'artiste Suso33 ( pionnier dans le graffiti iconographique) ou Spy pour ne citer que quelques-uns uns. Rappelons qu'on aura le plaisir de découvrir ces artistes jusqu'au 15 septembre 2012 à l'institut Cervantès d'Alger. L'art urbain, plus connu sous son appellation anglophone Street Art s'invite à l'institut Cervantès d'Alger avec "Grafika. 30 artistes de la jeune Espagne" pour nous faire découvrir ce mouvement artistique contemporain qui vit le jour dans les années 60 aux Etats-Unis. Cet art s'inscrit dans une démarche activiste et subversive. L'artiste sort ainsi de l'espace réduit qui lui est consacré par les salons, les musées et la galerie pour investir la rue. Son œuvre devient partie intégrante de l'environnement qui a d'ailleurs permis sa création et est destiné à un plus large public. L'œuvre s'accapare donc cet espace public et vient interpeller les passants sur des questionnements politiques, sociales ou autres. L'art urbain ne se limite pas aux simples graffitis et tags sur les murs mais utilise des matériaux tel que les pochoirs, la peinture, les installations également sous des voix légales ou un peu moins. En transformant le paysage urbain en une toile géante, les street-artistes disposent d'un moyen d'expression sans précédent. Ce qui les inspire : la ville elle-même, ses imperfections et ses scènes de vie quotidienne, la télévision, les graffitis qui servent de base pour la création d'un nouveau langage propre à chaque artiste. L'objectif est de nous ouvrir les yeux en adoptant leur propre vision du monde actuel, ses évolutions et ses préoccupations. Pour dire l'importance de ce mouvement, rappelons nous l'affiche de campagne du président américain Barack Obama qui est réalisé par l'un des artistes du street art les plus influents du moment à savoir Shepard Fairey basé sur son poster « Hope ». Ce mouvement , et ce dès les années 70 gagne l'Europe, première ville à laquelle on pense est évidemment Brisol, pionnière en matière de street art, peut être bien parce que le célébrissime Bansky, l'un des street artistes les plus connus en est originaire. L'Espagne, quant à elle, abrite ce qu'appelle certaines artistes, la mecque européenne du graff qui n'est autre que sa ville Barcelone. L'exposition «Grafika, 30 artistes de la jeune Espagne» regroupe le travail de 30 jeunes designers espagnols. Designers ayant choisi l'art urbain comme expression et s'imprègne des codes qui les entourent. Cette exposition regroupe des grands noms de la scène espagnole à savoir NANO4814, qui participa à la première exposition de la toute première galerie d'art espagnole consacrée exclusivement à l'art urbain, l'artiste Suso33 ( pionnier dans le graffiti iconographique) ou Spy pour ne citer que quelques-uns uns. Rappelons qu'on aura le plaisir de découvrir ces artistes jusqu'au 15 septembre 2012 à l'institut Cervantès d'Alger.