La force doit revenir à la loi. L'on peut ainsi résumer en quelques mots l'affaire EPSR/ENPS qui traîne depuis plus d'un quart de siècle. La force du droit consacre l'Etat de droit. Le moudjahid Mohamed Chérif Ould El Hocine, ancien officier de la wuilaya IV historique, est au cœur de ce combat. Une décision de justice attend son exécution depuis que la chambre administrative de la Cour suprême, par arrêt en date du 16 février 1997, ordonna la restitution de tout le patrimoine de la société privée Epsr à ses propriétaires et ce, après avoir annulé purement et simplement l'arrêté interministériel du 21 octobre 1987. Cette décision de justice n'a pu être exécutée à ce jour. Récemment, d'anciens baroudeurs de l'ALN et pas des moindre, Mohamed Mechati, membre du groupe des «22», Si Lakhdar Bouregraa, commandant de la wilaya IV historique, Mohamed Saïki, officier de l'ALN de la même wilaya et d'autres illustres compagnons d'armes du moudjahid Mohamed Ould El Hocine se sont indignés contre le déni de justice qui frappe leur compagnon. En cette veille du cinquantième anniversaire de l'indépendance, Mohamed Chérif Ould El Hocine est revenu, lors d'une conférence de presse tenue mercredi au siège de son entreprise à Chéraga, sur les péripéties qui ont conduit à la spoliation par le gouvernement algérien de sa société dénommée EPSR et afficher sa volonté de poursuivre le «combat» pour que la force revienne au droit. Un de ses compagnons, le moudjahid Abdelmoula Mohamed dit "Mohamed tolier", auteur de plusieurs attentas à Alger contre la soldatesque coloniale, présent à la conférence de presse, s'est fait le porte-voix des moudjahiddine et compagnons d'armes de Mohamed Chérif Ould El Hocine pour interpeller le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, à l'effet de désigner «une commission, composée de personnalités indépendantes pour faire la lumière sur cette affaire et rétablir dans ses droits le moudjahid». Le combat de Mohamed Chérif Ould El Hocine est «un combat pour la justice», a-t-il soutenu, insistant sur le fait qu' «il n'y a pas de pire aveugle que celui qui ne veut pas voir». L'arbitrage du chef de l'Etat est souhaité par les baroudeurs de l'ALN pour «arrêter ce cinéma» qui a pour origine une scabreuse affaire ayant conduit à l'arrestation, en décembre 1980, de Ould El Hocine pour atteinte à la sûreté de l'Etat et qui a connu des prolongements dont a eu à pâtir Mohamed Chérif Ould El Hocine. Malgré les multiples arrêts de justice rendus en sa faveur, tel que l'annulation de l'arrêté interministériel du 21 octobre 1987 pris par trois ministres qui décidèrent de transférer la société privée EPSR au secteur public à la faveur de la création de l'ENPS à laquelle ont été transférés les biens mobiliers et immobilier de l'EPSR et surtout l'arrêt de la Cour suprême, chambre administrative, du 16 février 1997 ordonnant la restitution de tout le patrimoine de la société privée Epsr à ses propriétaires et ce, après, justement l' annulation de cet arrêté interministériel du 21 octobre 1987. Le moudjahid Mohamed Chérif Ould El Hocine, attend toujours et ne désespère pas de récupérer son entreprise, ne s'avouant pas vaincu par le refus de toute exécution par le ministère des Travaux publics de l'arrêt de la Cour suprême assorti de la formule exécutoire présenté par l'huissier de justice près le tribunal de Bir Mourad Raïs (Alger). Quel beau cadeau pour le moudjahid Mohamed Chérif Ould El Hocine, en ce 50ème anniversaire de l'indépendance du pays, si les hautes autorités du pays, dans un souci de consacrer l'Etat de droit pour lequel ils se sont engagés, prenaient la décision de rétablir dans ses droits, le moudjahid Mohamed Chérif Ould El Hocine. La force doit revenir à la loi. L'on peut ainsi résumer en quelques mots l'affaire EPSR/ENPS qui traîne depuis plus d'un quart de siècle. La force du droit consacre l'Etat de droit. Le moudjahid Mohamed Chérif Ould El Hocine, ancien officier de la wuilaya IV historique, est au cœur de ce combat. Une décision de justice attend son exécution depuis que la chambre administrative de la Cour suprême, par arrêt en date du 16 février 1997, ordonna la restitution de tout le patrimoine de la société privée Epsr à ses propriétaires et ce, après avoir annulé purement et simplement l'arrêté interministériel du 21 octobre 1987. Cette décision de justice n'a pu être exécutée à ce jour. Récemment, d'anciens baroudeurs de l'ALN et pas des moindre, Mohamed Mechati, membre du groupe des «22», Si Lakhdar Bouregraa, commandant de la wilaya IV historique, Mohamed Saïki, officier de l'ALN de la même wilaya et d'autres illustres compagnons d'armes du moudjahid Mohamed Ould El Hocine se sont indignés contre le déni de justice qui frappe leur compagnon. En cette veille du cinquantième anniversaire de l'indépendance, Mohamed Chérif Ould El Hocine est revenu, lors d'une conférence de presse tenue mercredi au siège de son entreprise à Chéraga, sur les péripéties qui ont conduit à la spoliation par le gouvernement algérien de sa société dénommée EPSR et afficher sa volonté de poursuivre le «combat» pour que la force revienne au droit. Un de ses compagnons, le moudjahid Abdelmoula Mohamed dit "Mohamed tolier", auteur de plusieurs attentas à Alger contre la soldatesque coloniale, présent à la conférence de presse, s'est fait le porte-voix des moudjahiddine et compagnons d'armes de Mohamed Chérif Ould El Hocine pour interpeller le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, à l'effet de désigner «une commission, composée de personnalités indépendantes pour faire la lumière sur cette affaire et rétablir dans ses droits le moudjahid». Le combat de Mohamed Chérif Ould El Hocine est «un combat pour la justice», a-t-il soutenu, insistant sur le fait qu' «il n'y a pas de pire aveugle que celui qui ne veut pas voir». L'arbitrage du chef de l'Etat est souhaité par les baroudeurs de l'ALN pour «arrêter ce cinéma» qui a pour origine une scabreuse affaire ayant conduit à l'arrestation, en décembre 1980, de Ould El Hocine pour atteinte à la sûreté de l'Etat et qui a connu des prolongements dont a eu à pâtir Mohamed Chérif Ould El Hocine. Malgré les multiples arrêts de justice rendus en sa faveur, tel que l'annulation de l'arrêté interministériel du 21 octobre 1987 pris par trois ministres qui décidèrent de transférer la société privée EPSR au secteur public à la faveur de la création de l'ENPS à laquelle ont été transférés les biens mobiliers et immobilier de l'EPSR et surtout l'arrêt de la Cour suprême, chambre administrative, du 16 février 1997 ordonnant la restitution de tout le patrimoine de la société privée Epsr à ses propriétaires et ce, après, justement l' annulation de cet arrêté interministériel du 21 octobre 1987. Le moudjahid Mohamed Chérif Ould El Hocine, attend toujours et ne désespère pas de récupérer son entreprise, ne s'avouant pas vaincu par le refus de toute exécution par le ministère des Travaux publics de l'arrêt de la Cour suprême assorti de la formule exécutoire présenté par l'huissier de justice près le tribunal de Bir Mourad Raïs (Alger). Quel beau cadeau pour le moudjahid Mohamed Chérif Ould El Hocine, en ce 50ème anniversaire de l'indépendance du pays, si les hautes autorités du pays, dans un souci de consacrer l'Etat de droit pour lequel ils se sont engagés, prenaient la décision de rétablir dans ses droits, le moudjahid Mohamed Chérif Ould El Hocine.