Quelle est l'approche de l'Algérie en matière de lutte contre le terrorisme ? Cette question a été abordée, jeudi et vendredi, par Rezzag Bara, conseiller auprès du président Bouteflika, à New York , devant l'assemblée générale de l'Organisation des Nations unies (Onu). Rezzag Bara intervenait dans le cadre de la troisième revue de la stratégie des Nations unies de lutte contre le terrorisme Quelle est l'approche de l'Algérie en matière de lutte contre le terrorisme ? Cette question a été abordée, jeudi et vendredi, par Rezzag Bara, conseiller auprès du président Bouteflika, à New York , devant l'assemblée générale de l'Organisation des Nations unies (Onu). Rezzag Bara intervenait dans le cadre de la troisième revue de la stratégie des Nations unies de lutte contre le terrorisme Selon l'APS qui a rapporté l'information, le conseiller à la présidence a expliqué que l'approche algérienne « repose en grande partie sur la nécessité de mobiliser le front intérieur » tout en soulignant la dimension politique et son « importance primordiale ». Le conseiller à la présidence a estimé que l'approche algérienne est d'une « importante contribution » dans les efforts régionaux et internationaux pour davantage de coopération et de coordination. La lutte contre le terrorisme transnational confère à l'Algérie une « dimension régionale d'extrême importance » a souligné le représentant algérien. Et de rappeler « la coopération étroite et multiforme avec les pays de la région du Sahel qui a connu ces dernières années, et plus particulièrement au cours de ces derniers mois, des développements et des défis graves représentés par l'expansion des activités des groupes terroristes dont l'organisation Al-Qaïda dans le Maghreb islamique (AQMI) ». L'Algérie œuvre, ajoute Rezzag Bara, avec les pays du champ pour renforcer la coopération dans la lutte contre le terrorisme dans la région, qui s'est traduite notamment par l'élaboration de « mécanismes opérationnels ». Et de se féliciter des « initiatives lancées dans le cadre du Forum global de lutte contre le terrorisme mis en place en septembre dernier à New York. » « L'insécurité dans la région du Sahel et la recrudescence des activités terroristes sont également liées au activités de la contrebande d'armes et de trafic de drogue ». a souligné Rezzag Bara. Tirant la sonnette d'alarme, ce dernier a insisté sur « la nécessité de lutter contre le financement du terrorisme avec plus de promptitude et de détermination, et de combattre les enlèvements des otages contre rançons lesquelles ont permis aux groupes terroristes de renflouer leurs caisses et, par ricochet, de renforcer leurs capacités destructrices ». Cela étant, aux yeux de Rezzak Barra, la dimension politique de l'approche algérienne en matière de lutte contre le terrorisme se traduit dans la réalité du terrain à travers la mise en oeuvre de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale initiée par le président de la République. La Charte a-t-il soutenu a permis, d' «assurer le retour de la paix civile, restaurer la cohésion sociale et promouvoir le développement économique et social ». Et d'ajouter « la lutte contre le terrorisme ne pourrait réussir sans prendre en compte le traitement de ses sources idéologiques et la lutte contre le discours provocateur extrémiste qui influe sur les catégories potentiellement plus vulnérables et moins résilientes ». Selon Rezzag Bara l'Algérie a élaboré des programmes d'orientation religieuse, éducatifs et culturels qui favorisent les principes de tolérance, de la paix et des droits de l'Homme. Et d'affirmer « l'Algérie avait également consolidé les valeurs de la démocratie, de la primauté du droit et de la protection des libertés publiques ». Le conseiller à la présidence a fait également état « des avancées sur la voie des réformes économiques et institutionnelles ainsi que des actions mises en place pour réduire les disparités sociales ». Rezzag Bara a assuré que l'Algérie appuyait totalement la Stratégie antiterroriste mondiale de l'Onu, adoptée en 2006, tout en suggérant de laisser « ouvert » le document afin de permettre de le modifier « en fonction de l'évolution du terrorisme ». Notons qu'à l'issue du débat le Secrétaire général a proposé la désignation d'un coordonnateur des Nations unies pour la lutte contre le terrorisme. Selon l'APS qui a rapporté l'information, le conseiller à la présidence a expliqué que l'approche algérienne « repose en grande partie sur la nécessité de mobiliser le front intérieur » tout en soulignant la dimension politique et son « importance primordiale ». Le conseiller à la présidence a estimé que l'approche algérienne est d'une « importante contribution » dans les efforts régionaux et internationaux pour davantage de coopération et de coordination. La lutte contre le terrorisme transnational confère à l'Algérie une « dimension régionale d'extrême importance » a souligné le représentant algérien. Et de rappeler « la coopération étroite et multiforme avec les pays de la région du Sahel qui a connu ces dernières années, et plus particulièrement au cours de ces derniers mois, des développements et des défis graves représentés par l'expansion des activités des groupes terroristes dont l'organisation Al-Qaïda dans le Maghreb islamique (AQMI) ». L'Algérie œuvre, ajoute Rezzag Bara, avec les pays du champ pour renforcer la coopération dans la lutte contre le terrorisme dans la région, qui s'est traduite notamment par l'élaboration de « mécanismes opérationnels ». Et de se féliciter des « initiatives lancées dans le cadre du Forum global de lutte contre le terrorisme mis en place en septembre dernier à New York. » « L'insécurité dans la région du Sahel et la recrudescence des activités terroristes sont également liées au activités de la contrebande d'armes et de trafic de drogue ». a souligné Rezzag Bara. Tirant la sonnette d'alarme, ce dernier a insisté sur « la nécessité de lutter contre le financement du terrorisme avec plus de promptitude et de détermination, et de combattre les enlèvements des otages contre rançons lesquelles ont permis aux groupes terroristes de renflouer leurs caisses et, par ricochet, de renforcer leurs capacités destructrices ». Cela étant, aux yeux de Rezzak Barra, la dimension politique de l'approche algérienne en matière de lutte contre le terrorisme se traduit dans la réalité du terrain à travers la mise en oeuvre de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale initiée par le président de la République. La Charte a-t-il soutenu a permis, d' «assurer le retour de la paix civile, restaurer la cohésion sociale et promouvoir le développement économique et social ». Et d'ajouter « la lutte contre le terrorisme ne pourrait réussir sans prendre en compte le traitement de ses sources idéologiques et la lutte contre le discours provocateur extrémiste qui influe sur les catégories potentiellement plus vulnérables et moins résilientes ». Selon Rezzag Bara l'Algérie a élaboré des programmes d'orientation religieuse, éducatifs et culturels qui favorisent les principes de tolérance, de la paix et des droits de l'Homme. Et d'affirmer « l'Algérie avait également consolidé les valeurs de la démocratie, de la primauté du droit et de la protection des libertés publiques ». Le conseiller à la présidence a fait également état « des avancées sur la voie des réformes économiques et institutionnelles ainsi que des actions mises en place pour réduire les disparités sociales ». Rezzag Bara a assuré que l'Algérie appuyait totalement la Stratégie antiterroriste mondiale de l'Onu, adoptée en 2006, tout en suggérant de laisser « ouvert » le document afin de permettre de le modifier « en fonction de l'évolution du terrorisme ». Notons qu'à l'issue du débat le Secrétaire général a proposé la désignation d'un coordonnateur des Nations unies pour la lutte contre le terrorisme.