Le président du Front El- Moustakbal (FM), Abdelaziz Belaid, a tenu une réunion, hier à Alger, au siège de son parti avec les cadres du bureau national et les présidents des bureaux de wilaya. Lors de cette réunion nationale, il a été question des préparatifs de l'université d'été du parti dirigé par M. Belaid. Cette université d'été, la première depuis la création du Front El Moustakbal, à la veille des élections législatives du 10 mai dernier, sera organisée en septembre prochain. Par la même occasion, le président du FM a rappelé aux cadres de son parti la nécessité de présenter des candidats, pour les élections locales en automne prochain, qui soient «honnêtes et dignes de confiance». Il dira que durant les dernières élections législatives, «beaucoup de partis politiques ont présenté des candidats qui n'étaient pas dignes de représenter la population». «Le Front El Moustakbal présentera des personnes honnêtes, propres et pas susceptibles de plonger dans la corruption», a-t-il lancé à ses cadres. Durant cette même rencontre, faut-il le préciser, Abdelaziz Belaid, n'a pas omis de rappeler les déceptions et les pressions enregistrées lors des dernières échéances auxquelles a participé, pour la première fois, son parti. Il a appelé, par ailleurs, à renforcer le débat au sein du parti. «Nous devons ouvrir le débat et montrer que nous résistons au sein du Front», a-t-il dit. Selon lui, il y a deux points essentiels sur lesquels il est nécessaire de se focaliser, pour le moment. Il citera, en premier lieu, la dépréciation du politique chez le peuple par les autorités, et en second lieu, le rôle de l'argent en politique. Ces choses, en l'occurrence, la dépréciation et le recours à l'argent dans la pratique politique, sont appelées à disparaître tôt ou tard, a-t-il argué. S'adressant aux cadres du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaid a, a-t-on constaté, crié sa déception du système politique en Algérie, qui se trouve, a-t-on compris, gangrené par des pratiques où l'illicite et le business sont les maîtres-mots. Rappelons que lors de sa dernière sortie médiatique, début juin, le président du FM a confié que «le parti milite pour la consécration de l'Etat de droit et des institutions et le respect du pluralisme politique et de l'alternance politique au pouvoir». Il pointe du doigt l'administration et les institutions publiques où, a-t-il dit, le cadre de travail y est médiocre. Le président du Front El- Moustakbal (FM), Abdelaziz Belaid, a tenu une réunion, hier à Alger, au siège de son parti avec les cadres du bureau national et les présidents des bureaux de wilaya. Lors de cette réunion nationale, il a été question des préparatifs de l'université d'été du parti dirigé par M. Belaid. Cette université d'été, la première depuis la création du Front El Moustakbal, à la veille des élections législatives du 10 mai dernier, sera organisée en septembre prochain. Par la même occasion, le président du FM a rappelé aux cadres de son parti la nécessité de présenter des candidats, pour les élections locales en automne prochain, qui soient «honnêtes et dignes de confiance». Il dira que durant les dernières élections législatives, «beaucoup de partis politiques ont présenté des candidats qui n'étaient pas dignes de représenter la population». «Le Front El Moustakbal présentera des personnes honnêtes, propres et pas susceptibles de plonger dans la corruption», a-t-il lancé à ses cadres. Durant cette même rencontre, faut-il le préciser, Abdelaziz Belaid, n'a pas omis de rappeler les déceptions et les pressions enregistrées lors des dernières échéances auxquelles a participé, pour la première fois, son parti. Il a appelé, par ailleurs, à renforcer le débat au sein du parti. «Nous devons ouvrir le débat et montrer que nous résistons au sein du Front», a-t-il dit. Selon lui, il y a deux points essentiels sur lesquels il est nécessaire de se focaliser, pour le moment. Il citera, en premier lieu, la dépréciation du politique chez le peuple par les autorités, et en second lieu, le rôle de l'argent en politique. Ces choses, en l'occurrence, la dépréciation et le recours à l'argent dans la pratique politique, sont appelées à disparaître tôt ou tard, a-t-il argué. S'adressant aux cadres du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaid a, a-t-on constaté, crié sa déception du système politique en Algérie, qui se trouve, a-t-on compris, gangrené par des pratiques où l'illicite et le business sont les maîtres-mots. Rappelons que lors de sa dernière sortie médiatique, début juin, le président du FM a confié que «le parti milite pour la consécration de l'Etat de droit et des institutions et le respect du pluralisme politique et de l'alternance politique au pouvoir». Il pointe du doigt l'administration et les institutions publiques où, a-t-il dit, le cadre de travail y est médiocre.