Le Front El Moustakbal préconise un «débat réel» pour comprendre les raisons réelles du comportement des Algériens qui s'abstiennent lors des rendez-vous électoraux. A cet effet, Abdelaziz Bélaid a indiqué que son parti souhaitait contribuer au succès des réformes politiques engagées en Algérie par un "programme politique cohérent" et à travers le "dialogue". Le FM, présenté comme un "parti nationaliste centriste" s'inspire, a-t-il dit, des principes de la Déclaration du 1er Novembre 1954. "Notre parti a été créé par un groupe de jeunes cadres qui n'ont pas trouvé de tribune pour s'exprimer", a-t-il soutenu. Interrogé en marge du congrès sur les conditions d'organisation des prochaines élections législatives, Abdelaziz Bélaid a indiqué que l'engagement public du chef de l'Etat à assurer un scrutin libre et transparent était "pour le moment la seule garantie dont nous disposons". Selon lui, la "faible" participation des électeurs lors des précédents scrutins s'expliquerait par la "politique des quotas faisant que le nombre de sièges qu'un parti obtenait était fixé à l'avance", provoquant ainsi "l'abstention". Elle s'expliquerait aussi, selon lui, par le profil des candidats, appelant les partis à choisir "des personnes intègres et crédibles" à l'occasion des législatives. Le Front El Moustakbal préconise un «débat réel» pour comprendre les raisons réelles du comportement des Algériens qui s'abstiennent lors des rendez-vous électoraux. A cet effet, Abdelaziz Bélaid a indiqué que son parti souhaitait contribuer au succès des réformes politiques engagées en Algérie par un "programme politique cohérent" et à travers le "dialogue". Le FM, présenté comme un "parti nationaliste centriste" s'inspire, a-t-il dit, des principes de la Déclaration du 1er Novembre 1954. "Notre parti a été créé par un groupe de jeunes cadres qui n'ont pas trouvé de tribune pour s'exprimer", a-t-il soutenu. Interrogé en marge du congrès sur les conditions d'organisation des prochaines élections législatives, Abdelaziz Bélaid a indiqué que l'engagement public du chef de l'Etat à assurer un scrutin libre et transparent était "pour le moment la seule garantie dont nous disposons". Selon lui, la "faible" participation des électeurs lors des précédents scrutins s'expliquerait par la "politique des quotas faisant que le nombre de sièges qu'un parti obtenait était fixé à l'avance", provoquant ainsi "l'abstention". Elle s'expliquerait aussi, selon lui, par le profil des candidats, appelant les partis à choisir "des personnes intègres et crédibles" à l'occasion des législatives.