L'alimentation des citoyens en eau potable a enregistré des améliorations palpables depuis l'indépendance de l'Algérie. En cinquante ans, le pays a franchi des pas de géants en la matière à travers la réalisation de grands projets qui ont permis le raccordement de la majeure partie des citoyens aux réseaux de cette ressource vitale. L'alimentation des citoyens en eau potable a enregistré des améliorations palpables depuis l'indépendance de l'Algérie. En cinquante ans, le pays a franchi des pas de géants en la matière à travers la réalisation de grands projets qui ont permis le raccordement de la majeure partie des citoyens aux réseaux de cette ressource vitale. «L'Algérie a fait énormément d'efforts, particulièrement durant la dernière décennie. Nous sommes un pays à rareté d'eau, mais beaucoup d'efforts ont été faits par le pays pour améliorer la situation et faire qu'aujourd'hui l'eau soit un droit», s'est félicité, hier, Abdelmalek Sellal, ministre des Ressources en eau. «Aujourd'hui 94% des Algériens sont reliés à des réseaux d'eaux avec une alimentation journalière de près de 170 litres par habitant, ce qui n'était pas le cas du tout à l'époque où seuls les Français qui étaient là disposaient d'une quantité qui ne dépassait pas les 90 litres par jour», a-t-il indiqué sur les ondes de la chaîne III de la Radio nationale. En cinquante ans, le taux de raccordement à l'eau potable est passé de 35% à 94%. Le nombre de barrages a plus que quintuplé durant cette période. «A l'indépendance, il y avait exactement treize petits barrages dont la capacité était de 454 millions de mètres cubes, c'était à peine la moitié des capacités de Beni Haroun d'aujourd'hui. De 1962 à 1999, 31 nouveaux barrages ont été réalisés. Et puis l'effort particulier est effectué à partir de la fin des années 1990 puisqu'on est arrivé au jour d'aujourd'hui à 71 barrages avec une capacité d'emmagasinement de sept milliards quatre cent millions de mètres cubes», a précisé le ministre. L'approvisionnement de toutes les régions en eau potable constitue une des réalisations majeures de l'Algérie indépendante. Les zones rurales et les régions du Sud étaient, en effet, privées de cette ressource, alors qu'aujourd'hui toutes les localités sont branchées aux réseaux de raccordement. "Le taux de raccordement dans les zones rurales était inexistant. En 1999, on était passé à 78% et on est aujourd'hui à 94%. Et on a largement dépassé les objectifs du millénaire pour le développement. La même chose pour la dotation ; elle était totalement minime à l'époque et elle est passée de 95 litres par habitants aux années 1970 à 126 litres à la fin des années 1990 et aujourd'hui elle est à 170 litres par habitant», a encore indiqué M.Sellal. Grâce à la réalisation de plusieurs barrages et les grands transferts vers le sud et l'ouest du pays (le transfert Ain Salah-Tamanrasset et Mostaganem-Arzew-Oran en particulier), ainsi que le dessalement de l'eau de mer, l'Algérie assure aujourd'hui l'eau à pratiquement tous les habitants. Le défi est relevé en la matière, bien que le pays soit situé dans une région à fort stress hydrique. Et l'ambition ne s'arrête pas là, puisque d'autres projets demeurent inscrits dans le programme du développement du secteur. «Nous allons réaliser encore 19 barrages d'ici à 2014. Aujourd'hui 73% de la population algérienne reçoit de l'eau au quotidien ce qui n'était pas le cas durant les années 1990 où ce taux était à peine de 40%. Nous allons encore déployer des efforts pour améliorer davantage la performance du secteur», a souligné le premier responsable du secteur. «L'Algérie a fait énormément d'efforts, particulièrement durant la dernière décennie. Nous sommes un pays à rareté d'eau, mais beaucoup d'efforts ont été faits par le pays pour améliorer la situation et faire qu'aujourd'hui l'eau soit un droit», s'est félicité, hier, Abdelmalek Sellal, ministre des Ressources en eau. «Aujourd'hui 94% des Algériens sont reliés à des réseaux d'eaux avec une alimentation journalière de près de 170 litres par habitant, ce qui n'était pas le cas du tout à l'époque où seuls les Français qui étaient là disposaient d'une quantité qui ne dépassait pas les 90 litres par jour», a-t-il indiqué sur les ondes de la chaîne III de la Radio nationale. En cinquante ans, le taux de raccordement à l'eau potable est passé de 35% à 94%. Le nombre de barrages a plus que quintuplé durant cette période. «A l'indépendance, il y avait exactement treize petits barrages dont la capacité était de 454 millions de mètres cubes, c'était à peine la moitié des capacités de Beni Haroun d'aujourd'hui. De 1962 à 1999, 31 nouveaux barrages ont été réalisés. Et puis l'effort particulier est effectué à partir de la fin des années 1990 puisqu'on est arrivé au jour d'aujourd'hui à 71 barrages avec une capacité d'emmagasinement de sept milliards quatre cent millions de mètres cubes», a précisé le ministre. L'approvisionnement de toutes les régions en eau potable constitue une des réalisations majeures de l'Algérie indépendante. Les zones rurales et les régions du Sud étaient, en effet, privées de cette ressource, alors qu'aujourd'hui toutes les localités sont branchées aux réseaux de raccordement. "Le taux de raccordement dans les zones rurales était inexistant. En 1999, on était passé à 78% et on est aujourd'hui à 94%. Et on a largement dépassé les objectifs du millénaire pour le développement. La même chose pour la dotation ; elle était totalement minime à l'époque et elle est passée de 95 litres par habitants aux années 1970 à 126 litres à la fin des années 1990 et aujourd'hui elle est à 170 litres par habitant», a encore indiqué M.Sellal. Grâce à la réalisation de plusieurs barrages et les grands transferts vers le sud et l'ouest du pays (le transfert Ain Salah-Tamanrasset et Mostaganem-Arzew-Oran en particulier), ainsi que le dessalement de l'eau de mer, l'Algérie assure aujourd'hui l'eau à pratiquement tous les habitants. Le défi est relevé en la matière, bien que le pays soit situé dans une région à fort stress hydrique. Et l'ambition ne s'arrête pas là, puisque d'autres projets demeurent inscrits dans le programme du développement du secteur. «Nous allons réaliser encore 19 barrages d'ici à 2014. Aujourd'hui 73% de la population algérienne reçoit de l'eau au quotidien ce qui n'était pas le cas durant les années 1990 où ce taux était à peine de 40%. Nous allons encore déployer des efforts pour améliorer davantage la performance du secteur», a souligné le premier responsable du secteur.