Plus besoin de chercher où crécher pour ses vacances. Fini les tracasseries de réservation d'hôtels où les prestations sont loin d'être au top, fini aussi les long trajets pour trouver des petits coins de paradis la formule vient d'être trouvée mais surtout avalisée par les deux ministères celui du Tourisme et de l'Artisanat mais aussi de l'Intérieur et des Collectives locales. En théorie, la formule comporte des règles comme celle d'être le propriétaire des lieux avec acte, d'être doté de commodités . Autrement dit une formule qui ressemble beaucoup à celle des années 70 avec les syndicats d'initiative que l'on appelait «loger chez l'habitant», très prisée à l'époque par les étrangers qui affectionnaient tout particulièrement les régions du Sud et les Aurès comme les Balcons du Rouffi et le grand Canyon. Aujourd'hui, le principe refait surface mais pas sur les mêmes bases qui voulaient que cela soit les syndicats qui sériaient les hébergeurs et qui vous plaçaient chez telle ou telle personne. Aujourd'hui, la circulaire autorise même l'hébergement des personnes étrangères nonobstant l'autorisation préalable des services de sécurité c'est surtout le coût de cet hébergement qui devrait être réglementé. Car on s'achemine tout droit vers la course à l'euro au change parallèle, bref tout ce qui est illicite deviendra licite. Pour les estivants locaux, loger chez l'habitant n'est pas encore dans nos mœurs car cohabiter avec des personnes inconnues est une pilule difficile à avaler malgré l'autorisation préalable de la police. Les nationaux résidant à l'étranger attachés à leurs familles ne seront pas attirés par ce type d'hébergement. Quant au principe de louer sa maison pour des touristes, la pratique ne date pas d'hier, bon nombre de propriétaires de bungalows pieds dans l'eau louent leur maison pour la période estivale au prix fort une manière de renflouer leurs finances. Ce tout récent moyen d'hébergement va-t-il réellement pallier le déficit en matière d'infrastructures hôtelières, c'est plutôt du côté des tarifs que les pouvoirs publics devraient se pencher. En attendant bon vent chez l'habitant Plus besoin de chercher où crécher pour ses vacances. Fini les tracasseries de réservation d'hôtels où les prestations sont loin d'être au top, fini aussi les long trajets pour trouver des petits coins de paradis la formule vient d'être trouvée mais surtout avalisée par les deux ministères celui du Tourisme et de l'Artisanat mais aussi de l'Intérieur et des Collectives locales. En théorie, la formule comporte des règles comme celle d'être le propriétaire des lieux avec acte, d'être doté de commodités . Autrement dit une formule qui ressemble beaucoup à celle des années 70 avec les syndicats d'initiative que l'on appelait «loger chez l'habitant», très prisée à l'époque par les étrangers qui affectionnaient tout particulièrement les régions du Sud et les Aurès comme les Balcons du Rouffi et le grand Canyon. Aujourd'hui, le principe refait surface mais pas sur les mêmes bases qui voulaient que cela soit les syndicats qui sériaient les hébergeurs et qui vous plaçaient chez telle ou telle personne. Aujourd'hui, la circulaire autorise même l'hébergement des personnes étrangères nonobstant l'autorisation préalable des services de sécurité c'est surtout le coût de cet hébergement qui devrait être réglementé. Car on s'achemine tout droit vers la course à l'euro au change parallèle, bref tout ce qui est illicite deviendra licite. Pour les estivants locaux, loger chez l'habitant n'est pas encore dans nos mœurs car cohabiter avec des personnes inconnues est une pilule difficile à avaler malgré l'autorisation préalable de la police. Les nationaux résidant à l'étranger attachés à leurs familles ne seront pas attirés par ce type d'hébergement. Quant au principe de louer sa maison pour des touristes, la pratique ne date pas d'hier, bon nombre de propriétaires de bungalows pieds dans l'eau louent leur maison pour la période estivale au prix fort une manière de renflouer leurs finances. Ce tout récent moyen d'hébergement va-t-il réellement pallier le déficit en matière d'infrastructures hôtelières, c'est plutôt du côté des tarifs que les pouvoirs publics devraient se pencher. En attendant bon vent chez l'habitant