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La rigueur comme mot d'ordre
Sous la plume
Publié dans Le Midi Libre le 09 - 07 - 2012

Les équilibres budgétaires en idAlgérie sont tributaires d'un cours du baril de pétrole à 75 dollars. Ce qui revient à dire que la baisse des prix du pétrole enregistrée ces derniers temps n'hypothèque pas les finances publiques,encore moins les prévisions budgétaires de l'Etat.
Donc, en tout état de cause, les finances de l'Etat ne sont pas menacées dans la mesure où le cours actuel du baril de pétrole est bien supérieur à 75 dollars, soit frôlant les 100 dollars.
Arithmétiquement parlant, il n' y a pas lieu de s'alarmer concernant le manque à gagner en matière d'exportations d'hydrocarbures, car les calculs mathématiques réalisés par le gouvernement tablent, donc, sur un prix médian du pétrole.
La gestion prudentielle des ressources financières concoctée en corrélation avec le Fonds de régulation des réserves (FRR) permet, en fait, de bien agencer et ordonnancer le remboursement de la dette.
La politique économique et financière prônée par les pouvoirs publics doit, donc, aboutir à l'élimination du gaspillage et du gâchis financier afin d'éviter des mesures draconiennes d'austérité et de parcimonie financière. ce qui pourrait gêner la stratégie économique à court et moyen terme.
La thèse fondée sur un baril de pétrole à 110 dollars avancée par la Banque d'Algérie pour le maintien des équilibres budgétaires est, donc, inadéquate, puisque le ministre des Finances change complétement la donne avec 75 dollars le baril, hypothèse plus réaliste et plausible.
L'inconvénient, selon Djoudi, c'est que la baisse des recettes d'exportations désavantage le pays, en ce sens que, nous enregistrons pas moins de 20 milliards de dollars de pertes en termes d'exportations durant le courant de l'année 2012. Il s'agit d'une chute drastique et perceptible dans le comportement des responsables en charge de la gestion des finances publiques.
Cependant, il n'y a pas à s'alarmer de cette situation, car les réserves de change sont déjà importantes puisqu'elles s'élèvent à plus de 180 milliards de dollars. On peut, donc, dire qu'il y a plus de peur d'accumulation lente de richesses, que de mal.
Les équilibres budgétaires en idAlgérie sont tributaires d'un cours du baril de pétrole à 75 dollars. Ce qui revient à dire que la baisse des prix du pétrole enregistrée ces derniers temps n'hypothèque pas les finances publiques,encore moins les prévisions budgétaires de l'Etat.
Donc, en tout état de cause, les finances de l'Etat ne sont pas menacées dans la mesure où le cours actuel du baril de pétrole est bien supérieur à 75 dollars, soit frôlant les 100 dollars.
Arithmétiquement parlant, il n' y a pas lieu de s'alarmer concernant le manque à gagner en matière d'exportations d'hydrocarbures, car les calculs mathématiques réalisés par le gouvernement tablent, donc, sur un prix médian du pétrole.
La gestion prudentielle des ressources financières concoctée en corrélation avec le Fonds de régulation des réserves (FRR) permet, en fait, de bien agencer et ordonnancer le remboursement de la dette.
La politique économique et financière prônée par les pouvoirs publics doit, donc, aboutir à l'élimination du gaspillage et du gâchis financier afin d'éviter des mesures draconiennes d'austérité et de parcimonie financière. ce qui pourrait gêner la stratégie économique à court et moyen terme.
La thèse fondée sur un baril de pétrole à 110 dollars avancée par la Banque d'Algérie pour le maintien des équilibres budgétaires est, donc, inadéquate, puisque le ministre des Finances change complétement la donne avec 75 dollars le baril, hypothèse plus réaliste et plausible.
L'inconvénient, selon Djoudi, c'est que la baisse des recettes d'exportations désavantage le pays, en ce sens que, nous enregistrons pas moins de 20 milliards de dollars de pertes en termes d'exportations durant le courant de l'année 2012. Il s'agit d'une chute drastique et perceptible dans le comportement des responsables en charge de la gestion des finances publiques.
Cependant, il n'y a pas à s'alarmer de cette situation, car les réserves de change sont déjà importantes puisqu'elles s'élèvent à plus de 180 milliards de dollars. On peut, donc, dire qu'il y a plus de peur d'accumulation lente de richesses, que de mal.


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