Le dernier bilan du commandement de la Gendarmerie nationale, en matière de sécurité routière, fait état de 1659 décès des suites de plus de 12.400 accidents de la circulation. Le nombre de blessés a atteint les 21 363 cas. Ainsi, on aura enregistré une hausse d'une moyenne de 11,5% d'accidents par rapport à cette même période de l'année dernière. Dans une déclaration faite au Midi Libre à l'occasion de la tenue de l'exposition sectorielle sur la mémoire et les réalisations de l'Algérie, le chargé de la communication de la Gendarmerie nationale, le colonel Kerroud Abdelhamid a déploré le fait que le facteur humain demeure la cause majeure des accidents enregistrés jusque-là. Selon ce même responsable, il est question, essentiellement, du non-respect du code de la route et de vitesse exagérée. En vue d'assurer un meilleur contrôle sur les routes algériennes, la Gendarmerie nationale a déployé ses effectifs à niveau de 80% de l'ensemble des réseaux routiers, soit une longueur linéaire globale de 12.000 km. En plus des routes nationales, des chemins de wilaya et communaux, l'autoroute Est-Ouest fait également partie des compétences territoriales de la GN. Avec ses 2.454 unités, la GN est parvenue à couvrir près de 90% du territoire national. Sur la question des équipes mobiles déployées sur les réseaux routiers et les barrages fixes de la GN, le colonel Kerroud nous a révélé que ce dispositif ne vise nullement à gêner la circulation, ni à engorger le trafic routier dont se plaignent de nombreux usagers, bien au contraire. Car, a-t-il expliqué, c'est une stratégie visant à créer une ceinture de sécurité au profit des usagers des routes à travers l'ensemble des wilayas qui dépendent de leur compétence territoriale, de la capitale du pays aux zones les plus enclavées. Selon lui, ces dits «barrages de la GN» ont prouvé leur efficacité, entre autres, en matière de lutte antiterroriste et contre le fléau du trafic de drogue. Ce même chargé de la communication nous a indiqué, également, que plusieurs personnes dangereuses et plusieurs menaces ont pu être neutralisées grâce à ce dispositif. Dans ce même sillage, le colonel Kerroud nous a fait part de son vœu de voir une plus grande compréhension des citoyens, notamment, les automobilistes quant à ce genre d'opérations, qui, a-t-il ajouté, s'inscrivent dans la mission de protéger les citoyens et leurs biens. La Gendarmerie nationale en 50 ans En fait, ces journées ouvertes permettent au large public de se rapprocher d'avantage de ce dispositif de sécurité et de s'enquérir sur l'ensemble de ses moyens techniques des plus archaïques aux plus modernes. En fait, cette manifestation a été une occasion pour se remémorer les premiers pas de la Gendarmerie nationale, depuis sa création en 1958. Les visiteurs ont pu d'ailleurs savoir un peu plus sur la constitution de ce corps de sécurité à travers des expositions de photos, d'équipements anciens et des premièrs uniformes. Selon le responsable de la communication de la GN, depuis 1962, l'Algérie a dû renforcer ses effectifs pour atteindre les 130 milles gendarmes déployés actuellement à travers toutes ses zones territoriales, alors qu'en 1962, l'on comptait quelques 3000 éléments seulement. Aussi, le nombre d'unités ne dépassait pas les 399 au lendemain du recouvrement de l'indépendance. En 2012, ce nombre s'est vu multiplier à hauteur de 2454 unités. Abdelhamid Kerroud nous a révélé, à ce propos, qu'après la lutte acharnée contre le fléau du terrorisme, durant la décennie noir, la Gendarmerie nationale a retrouvé l'essentiel de sa mission qui, a-t-il expliqué, se traduit par l'action sociale, la lutte contre toutes formes de criminalité, petite et grande, contre le banditisme et la criminalité économique également. Le dispositif existant, a-t-il affirmé, a permis une meilleure couverture, et une multiplication des actions menées en ce sens. Outre le matériel technique de pointe en matière de télécommunications, de géolocalisation, informatique et les équipements spécialisés dans le cadre des interventions et de défense, marqué par la représentation des sept directions du Commandement de la Gendarmerie nationale, exposés jusqu' au 19 du mois en cours à la SAFEX, les derniers bilans des différentes interventions ont été rendus publics. La médiation sociale, nouveau fer de lance de la GN Sur le plan de la protection juvénile, la brigade des mineurs, opérationnelle depuis ces deux dernières années, a fait état de 106 interventions opérées dans la capitale par ses éléments durant le 1er semestre de l'année 2012. Il s'agit, dans l'essentiel, de huit cas de fugues de jeunes filles mineures, qui, selon le chef de la brigade, Jilali Badani, ont fort heureusement pu rejoindre leurs familles après un suivi psychiatrique spécialisé. En 2012, huit brigades de mêmes prérogatives ont pu être créées à travers les quatre coins du pays et espèrent, à en croire les révélations de Jilali Badani, se rapprocher d'avantage de la société, notamment, les différentes associations et les comités de quartiers, en vue de venir en aide aux mineurs en difficulté. D'ailleurs, un accord de partenariat vient d'être signé entre le Commandement de la Gendarmerie nationale et le ministère de la Solidarité dans le cadre de la médiation sociale. Il est à noter, que la journée d'hier a été marquée par un grand flux des visiteurs. Les enfants ont été les plus gâtés, puisqu'ils étaient nombreux à repartir avec des photos souvenirs à côté des chars, des avions militaires, et des véhicules et différents matériaux qu'ils découvraient, sans doute pour la première fois. Le dernier bilan du commandement de la Gendarmerie nationale, en matière de sécurité routière, fait état de 1659 décès des suites de plus de 12.400 accidents de la circulation. Le nombre de blessés a atteint les 21 363 cas. Ainsi, on aura enregistré une hausse d'une moyenne de 11,5% d'accidents par rapport à cette même période de l'année dernière. Dans une déclaration faite au Midi Libre à l'occasion de la tenue de l'exposition sectorielle sur la mémoire et les réalisations de l'Algérie, le chargé de la communication de la Gendarmerie nationale, le colonel Kerroud Abdelhamid a déploré le fait que le facteur humain demeure la cause majeure des accidents enregistrés jusque-là. Selon ce même responsable, il est question, essentiellement, du non-respect du code de la route et de vitesse exagérée. En vue d'assurer un meilleur contrôle sur les routes algériennes, la Gendarmerie nationale a déployé ses effectifs à niveau de 80% de l'ensemble des réseaux routiers, soit une longueur linéaire globale de 12.000 km. En plus des routes nationales, des chemins de wilaya et communaux, l'autoroute Est-Ouest fait également partie des compétences territoriales de la GN. Avec ses 2.454 unités, la GN est parvenue à couvrir près de 90% du territoire national. Sur la question des équipes mobiles déployées sur les réseaux routiers et les barrages fixes de la GN, le colonel Kerroud nous a révélé que ce dispositif ne vise nullement à gêner la circulation, ni à engorger le trafic routier dont se plaignent de nombreux usagers, bien au contraire. Car, a-t-il expliqué, c'est une stratégie visant à créer une ceinture de sécurité au profit des usagers des routes à travers l'ensemble des wilayas qui dépendent de leur compétence territoriale, de la capitale du pays aux zones les plus enclavées. Selon lui, ces dits «barrages de la GN» ont prouvé leur efficacité, entre autres, en matière de lutte antiterroriste et contre le fléau du trafic de drogue. Ce même chargé de la communication nous a indiqué, également, que plusieurs personnes dangereuses et plusieurs menaces ont pu être neutralisées grâce à ce dispositif. Dans ce même sillage, le colonel Kerroud nous a fait part de son vœu de voir une plus grande compréhension des citoyens, notamment, les automobilistes quant à ce genre d'opérations, qui, a-t-il ajouté, s'inscrivent dans la mission de protéger les citoyens et leurs biens. La Gendarmerie nationale en 50 ans En fait, ces journées ouvertes permettent au large public de se rapprocher d'avantage de ce dispositif de sécurité et de s'enquérir sur l'ensemble de ses moyens techniques des plus archaïques aux plus modernes. En fait, cette manifestation a été une occasion pour se remémorer les premiers pas de la Gendarmerie nationale, depuis sa création en 1958. Les visiteurs ont pu d'ailleurs savoir un peu plus sur la constitution de ce corps de sécurité à travers des expositions de photos, d'équipements anciens et des premièrs uniformes. Selon le responsable de la communication de la GN, depuis 1962, l'Algérie a dû renforcer ses effectifs pour atteindre les 130 milles gendarmes déployés actuellement à travers toutes ses zones territoriales, alors qu'en 1962, l'on comptait quelques 3000 éléments seulement. Aussi, le nombre d'unités ne dépassait pas les 399 au lendemain du recouvrement de l'indépendance. En 2012, ce nombre s'est vu multiplier à hauteur de 2454 unités. Abdelhamid Kerroud nous a révélé, à ce propos, qu'après la lutte acharnée contre le fléau du terrorisme, durant la décennie noir, la Gendarmerie nationale a retrouvé l'essentiel de sa mission qui, a-t-il expliqué, se traduit par l'action sociale, la lutte contre toutes formes de criminalité, petite et grande, contre le banditisme et la criminalité économique également. Le dispositif existant, a-t-il affirmé, a permis une meilleure couverture, et une multiplication des actions menées en ce sens. Outre le matériel technique de pointe en matière de télécommunications, de géolocalisation, informatique et les équipements spécialisés dans le cadre des interventions et de défense, marqué par la représentation des sept directions du Commandement de la Gendarmerie nationale, exposés jusqu' au 19 du mois en cours à la SAFEX, les derniers bilans des différentes interventions ont été rendus publics. La médiation sociale, nouveau fer de lance de la GN Sur le plan de la protection juvénile, la brigade des mineurs, opérationnelle depuis ces deux dernières années, a fait état de 106 interventions opérées dans la capitale par ses éléments durant le 1er semestre de l'année 2012. Il s'agit, dans l'essentiel, de huit cas de fugues de jeunes filles mineures, qui, selon le chef de la brigade, Jilali Badani, ont fort heureusement pu rejoindre leurs familles après un suivi psychiatrique spécialisé. En 2012, huit brigades de mêmes prérogatives ont pu être créées à travers les quatre coins du pays et espèrent, à en croire les révélations de Jilali Badani, se rapprocher d'avantage de la société, notamment, les différentes associations et les comités de quartiers, en vue de venir en aide aux mineurs en difficulté. D'ailleurs, un accord de partenariat vient d'être signé entre le Commandement de la Gendarmerie nationale et le ministère de la Solidarité dans le cadre de la médiation sociale. Il est à noter, que la journée d'hier a été marquée par un grand flux des visiteurs. Les enfants ont été les plus gâtés, puisqu'ils étaient nombreux à repartir avec des photos souvenirs à côté des chars, des avions militaires, et des véhicules et différents matériaux qu'ils découvraient, sans doute pour la première fois.