Le Ramadhan est à nos portes et les inquiétudes des ménages reviennent toujours à la même période. Les augmentations s'invitent partout, les viandes rouges et blanches comme les fruits et légumes et dans la foulée, certains produits de large consommation. C'est toujours la même chanson aussi bien du côté du ministère du Commerce que des marchés de gros qui ont observé un sit-in devant le ministère et menacent d'une grève illimitée si leurs revendications ne sont pas prises en charge notamment la passivité des autorités devant le commerce informel alors qu'eux sont soumis à des contrôles rigoureux. Seule la Fédération algérienne des consommateurs a mis les pieds dans le plat en organisant des caravanes de sensibilisation pour orienter d'une part les consommateurs et les enjoignant à boycotter l'achat de viandes rouges et blanches pour amener les barons de la viande à faire baisser les prix. Mais le consommateur ne joue pas le jeu et ce sont les petites bourses qui se font saigner à blanc sans que l'Etat ne réagisse. A chaque Ramadhan, le citoyen s'entend dire que passée la première semaine, les prix iront à la baisse. Les commerçants véreux stockent leurs produits en prévision du mois sacré pour provoquer des tensions sur des produits ciblés pour en tirer des gains substantiels. Pour l'heure, qui se soucie de la contrebande de bétail aux frontières qui fait grimper les prix. Le ministère du Commerce se targue d'avoir mis sur le terrain des dizaines de milliers de contrôleurs des prix censés émarger sur le registre des abonnés absents des marchés de la capitale. A chaque Ramadhan, le citoyen est confronté aux spéculateurs sans foi ni loi et au laxisme des autorités qui affichent leur impuissance face à l'anarchie. Les pères de familles aux revenus modestes n'auront que les yeux pour pleurer et comme l'adage populaire le dit si bien : à chaque jour suffit sa peine. Le Ramadhan est à nos portes et les inquiétudes des ménages reviennent toujours à la même période. Les augmentations s'invitent partout, les viandes rouges et blanches comme les fruits et légumes et dans la foulée, certains produits de large consommation. C'est toujours la même chanson aussi bien du côté du ministère du Commerce que des marchés de gros qui ont observé un sit-in devant le ministère et menacent d'une grève illimitée si leurs revendications ne sont pas prises en charge notamment la passivité des autorités devant le commerce informel alors qu'eux sont soumis à des contrôles rigoureux. Seule la Fédération algérienne des consommateurs a mis les pieds dans le plat en organisant des caravanes de sensibilisation pour orienter d'une part les consommateurs et les enjoignant à boycotter l'achat de viandes rouges et blanches pour amener les barons de la viande à faire baisser les prix. Mais le consommateur ne joue pas le jeu et ce sont les petites bourses qui se font saigner à blanc sans que l'Etat ne réagisse. A chaque Ramadhan, le citoyen s'entend dire que passée la première semaine, les prix iront à la baisse. Les commerçants véreux stockent leurs produits en prévision du mois sacré pour provoquer des tensions sur des produits ciblés pour en tirer des gains substantiels. Pour l'heure, qui se soucie de la contrebande de bétail aux frontières qui fait grimper les prix. Le ministère du Commerce se targue d'avoir mis sur le terrain des dizaines de milliers de contrôleurs des prix censés émarger sur le registre des abonnés absents des marchés de la capitale. A chaque Ramadhan, le citoyen est confronté aux spéculateurs sans foi ni loi et au laxisme des autorités qui affichent leur impuissance face à l'anarchie. Les pères de familles aux revenus modestes n'auront que les yeux pour pleurer et comme l'adage populaire le dit si bien : à chaque jour suffit sa peine.