Nous ne sommes qu'à quatre semaines du mois de Ramadhan et bonjour le lot de tracasseries qui vont accompagner ce mois qu'on dit sacré. A commencer par la mercuriale qui fait des siennes. Les prix des fruits et légumes ont repris leur courbe à la verticale : la tomate qui est un fruit de saison franchit la barre des 100 DA et les viandes blanches et rouges commencent leur ascension pour atteindre des pics le jour «J». Et pendant ce temps, les pouvoirs publics ronronnen, rabâchent que des mesures sont prises pour mettre un frein, que le nombre de contrôleurs, que l'on ne voit pas sur le terrain, est en hausse, 3.500 à 6.000 pour cette année, qui partiront en croisade contre les commerçants véreux qui n'ont aucun scrupule à saigner les citoyens. Les mesures annoncées en grande pompe par le ministre du Commerce et qui prétend qu'il n'y aura pas de hausse significative et que des "mesures fermes seront appliquées contre tout dépassement dans ce sens", devrait, en citoyen anonyme faire le tour des marché un couffin à la main pour se rendre compte que les choses ne se passent du tout comme il le pense et que les spéculateurs auront eu raison de sa personne. Ce n'est pas tant l'approvisionnement qui inquiète les consommateurs, ce sont les prix pratiqués qui dépassent l'entendement en l'absence de mécanismes de régulation et chaque année c'est la même chanson. Cette année le ministère du Commerce est davantage préoccupé par le contrôle de la qualité des produits comme le fromage les yaourts. Le Ramadhan rime avec flambée et la mécanique est bien huilée. Il y a aussi les habitudes alimentaires qui changent durant le mois de Ramadhan ; les maîtresses de maison se surpassent dans l'art culinaire et où la viande est la pièce maîtresse. Mais chacun de nous sait que les bonnes choses ont toujours un coût ! Le million de familles qui n'ont rien à se mettre sous la dent pourront toujours s'en remettre à la Solidarité nationale pour bénéficier des kits alimentaires Nous ne sommes qu'à quatre semaines du mois de Ramadhan et bonjour le lot de tracasseries qui vont accompagner ce mois qu'on dit sacré. A commencer par la mercuriale qui fait des siennes. Les prix des fruits et légumes ont repris leur courbe à la verticale : la tomate qui est un fruit de saison franchit la barre des 100 DA et les viandes blanches et rouges commencent leur ascension pour atteindre des pics le jour «J». Et pendant ce temps, les pouvoirs publics ronronnen, rabâchent que des mesures sont prises pour mettre un frein, que le nombre de contrôleurs, que l'on ne voit pas sur le terrain, est en hausse, 3.500 à 6.000 pour cette année, qui partiront en croisade contre les commerçants véreux qui n'ont aucun scrupule à saigner les citoyens. Les mesures annoncées en grande pompe par le ministre du Commerce et qui prétend qu'il n'y aura pas de hausse significative et que des "mesures fermes seront appliquées contre tout dépassement dans ce sens", devrait, en citoyen anonyme faire le tour des marché un couffin à la main pour se rendre compte que les choses ne se passent du tout comme il le pense et que les spéculateurs auront eu raison de sa personne. Ce n'est pas tant l'approvisionnement qui inquiète les consommateurs, ce sont les prix pratiqués qui dépassent l'entendement en l'absence de mécanismes de régulation et chaque année c'est la même chanson. Cette année le ministère du Commerce est davantage préoccupé par le contrôle de la qualité des produits comme le fromage les yaourts. Le Ramadhan rime avec flambée et la mécanique est bien huilée. Il y a aussi les habitudes alimentaires qui changent durant le mois de Ramadhan ; les maîtresses de maison se surpassent dans l'art culinaire et où la viande est la pièce maîtresse. Mais chacun de nous sait que les bonnes choses ont toujours un coût ! Le million de familles qui n'ont rien à se mettre sous la dent pourront toujours s'en remettre à la Solidarité nationale pour bénéficier des kits alimentaires