De mal en pis, les terroristes du MUJAO (Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest) ont pris le siège du consulat d'Algérie à Gao, au Mali, pour en faire leur QG. En plus, ils ont fait brûler plusieurs dizaines de livres, parmi eux ceux du Cheikh Ibn Badis. De mal en pis, les terroristes du MUJAO (Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest) ont pris le siège du consulat d'Algérie à Gao, au Mali, pour en faire leur QG. En plus, ils ont fait brûler plusieurs dizaines de livres, parmi eux ceux du Cheikh Ibn Badis. En effet, selon le porte-parole et mufti du MUJAO, le siège du consulat d'Algérie à Gao a été pris par les combattants de son mouvement, car le siège en question étant le plus grand dans la ville de Gao et le plus près du centre-ville et du souk (marché). Donc, c'est un lieu stratégique qualifié de très important par les terroristes du MUJAO. Ces derniers ont déjà installé leur drapeau noir, sur lequel un slogan est écrit : «La iIaha ila Allah Mohamed Rassoul Allah», juste devant l'entrée principale du siège du consulat d'Algérie. En investissant le siège, les terroristes ont brûlé les livres appartenant au consulat d'Algérie, parmi lesquels figurent ceux du Cheikh Ibn Badis, explique l'un des terroristes du MUJAO à une source mauritanienne. Ce terroriste est d'origine algérienne, pis, avant de rejoindre les rangs du MUJAO, il exerçait comme agent de sécurité au sein du consulat d'Algérie à Gao. Natif du Sud algérien, ce terroriste, armé d'un kalachnikov et une ceinture d'explosifs, a expliqué que les Algériens s'ils étaient de vrais musulmans, auraient appliqué la chariaâ en Algérie. Ses propos sont faits à partir d'une phrase écrite sur un livre d' Ibn Badis, où ce savant algérien avait écrit, « Chaâb Djazairi Mouslimoun Wa Ila Ouroubati Yantassib », c'est-à-dire : « Le peuple algérien est musulman et à l'arabité appartient ». El lisant, donc, ce texte célèbre d'Ibn Badis, le terroriste du MUJAO a tenté d'expliquer la démarche du mouvement terroriste à qui, il appartient, désormais. D'autre part, cette même organisation criminelle détient, toujours, les sept otages algériens, enlevés depuis le 5 avril dernier, suite à un assaut sur le siège du consulat d'Algérie à Gao. Un acharnement de trop sur l'Algérie. Sur ce plan, il est important de rappeler que le même groupe avait ciblé, à plusieurs reprises, l'Algérie. En novembre 2011, le MUJAO s'en est pris aux humanitaires étrangers, en mission dans les camps des réfugiés à Tindouf. Ces trois étrangers, d'origine européenne, ont été enlevés par un commando armé jusqu'aux dents. En mars 2012, la nébuleuse du MUJAO avait ciblé, dans une nouvelle attaque, le siège de la brigade territoriale de la Gendarmerie nationale de Tamanrasset, en utilisant deux kamikazes d'origine africaine. Bilan de cette attaque suicide, 25 personnes, dont 17 gendarmes blessés. Le même MUJAO avait réédité son coup en ciblant, juillet courant, le siège du Commandement régional de la Gendarmerie nationale de Ouargla. Ici, un jeune kamikaze d'origine algérienne avait foncé avec son véhicule de marque Hilux sur les gendarmes, au sein desquels un officier avait perdu la vie et trois autres blessés. En effet, selon le porte-parole et mufti du MUJAO, le siège du consulat d'Algérie à Gao a été pris par les combattants de son mouvement, car le siège en question étant le plus grand dans la ville de Gao et le plus près du centre-ville et du souk (marché). Donc, c'est un lieu stratégique qualifié de très important par les terroristes du MUJAO. Ces derniers ont déjà installé leur drapeau noir, sur lequel un slogan est écrit : «La iIaha ila Allah Mohamed Rassoul Allah», juste devant l'entrée principale du siège du consulat d'Algérie. En investissant le siège, les terroristes ont brûlé les livres appartenant au consulat d'Algérie, parmi lesquels figurent ceux du Cheikh Ibn Badis, explique l'un des terroristes du MUJAO à une source mauritanienne. Ce terroriste est d'origine algérienne, pis, avant de rejoindre les rangs du MUJAO, il exerçait comme agent de sécurité au sein du consulat d'Algérie à Gao. Natif du Sud algérien, ce terroriste, armé d'un kalachnikov et une ceinture d'explosifs, a expliqué que les Algériens s'ils étaient de vrais musulmans, auraient appliqué la chariaâ en Algérie. Ses propos sont faits à partir d'une phrase écrite sur un livre d' Ibn Badis, où ce savant algérien avait écrit, « Chaâb Djazairi Mouslimoun Wa Ila Ouroubati Yantassib », c'est-à-dire : « Le peuple algérien est musulman et à l'arabité appartient ». El lisant, donc, ce texte célèbre d'Ibn Badis, le terroriste du MUJAO a tenté d'expliquer la démarche du mouvement terroriste à qui, il appartient, désormais. D'autre part, cette même organisation criminelle détient, toujours, les sept otages algériens, enlevés depuis le 5 avril dernier, suite à un assaut sur le siège du consulat d'Algérie à Gao. Un acharnement de trop sur l'Algérie. Sur ce plan, il est important de rappeler que le même groupe avait ciblé, à plusieurs reprises, l'Algérie. En novembre 2011, le MUJAO s'en est pris aux humanitaires étrangers, en mission dans les camps des réfugiés à Tindouf. Ces trois étrangers, d'origine européenne, ont été enlevés par un commando armé jusqu'aux dents. En mars 2012, la nébuleuse du MUJAO avait ciblé, dans une nouvelle attaque, le siège de la brigade territoriale de la Gendarmerie nationale de Tamanrasset, en utilisant deux kamikazes d'origine africaine. Bilan de cette attaque suicide, 25 personnes, dont 17 gendarmes blessés. Le même MUJAO avait réédité son coup en ciblant, juillet courant, le siège du Commandement régional de la Gendarmerie nationale de Ouargla. Ici, un jeune kamikaze d'origine algérienne avait foncé avec son véhicule de marque Hilux sur les gendarmes, au sein desquels un officier avait perdu la vie et trois autres blessés.