La Conférence des Nations-unies sur le commerce et le développement (CNUCED) vient de publier les résultats du rapport faisant état du bilan des investissements directs étrangers (IDE) dans les pays méditerranéens, y compris les pays du Maghreb arabe dont l'Algérie. La Conférence des Nations-unies sur le commerce et le développement (CNUCED) vient de publier les résultats du rapport faisant état du bilan des investissements directs étrangers (IDE) dans les pays méditerranéens, y compris les pays du Maghreb arabe dont l'Algérie. Ainsi, les experts de l'Observatoire économique de la Méditerranée affirment que «le rapport 2012 de la CNUCED sur l'investissement dans le monde indique une hausse globale de 16% des flux entrants d'investissement en 2011». Ils précisent que certains pays du pourtour méditerranéen de la rive sud enregistrent une forte hausse des IDE, tel que soulignent –ils, «la Turquie qui enregistre une très forte progression (respectivement +76% et +106%) ». Cependant, indiquent-ils, «de leur côté, les pays du Maghreb et du Machreq sont en net recul (-46%), principalement en raison des troubles politiques observés dans la région. L'augmentation notable des investissements dans le secteur des services (banque, distribution, télécommunications), dynamisé par l'émergence d'une classe moyenne, pourrait rapidement compenser cette baisse». En effet, jusqu'en septembre 2011, les IDE en Algérie ont connu un record de 435 milliards DA, attestant, donc, l'attractivité et l'afflux des investissements internationaux. Récemment, le directeur général de l'Agence algérienne du développement des investissements (ANDI) a déclaré que «nous ne sommes pas boudés, alors que nous assistons, par contre à un retour massif des investissements directs étrangers». Les secteurs d'activité où existe une forte concentration des IDE sont, notamment, la fabrication de médicaments (biotechnologies), de matériaux de construction et l'habitat, et d'industries diverses. Par ailleurs, plus de 4 000 projets ont été initiés par des opérateurs économiques nationaux entre le juillet 2010 et juillet 2011, en augmentation de 33 %, et ce notamment dans les domaines des matériaux de construction et les industries agroalimentaires. Avec le système règlementaire de partenariat national-étranger basé sur le partage de capital et de participation financière de 51 % et 49 %, de nombreux investisseurs étrangers ont accepté de coopérer avec des entrepreneurs algériens, même si d'autres industriels et investisseurs européens ont montré des réticences pour s'engager, estimant que cette procédure est désavantageuse. Ainsi, les experts de l'Observatoire économique de la Méditerranée affirment que «le rapport 2012 de la CNUCED sur l'investissement dans le monde indique une hausse globale de 16% des flux entrants d'investissement en 2011». Ils précisent que certains pays du pourtour méditerranéen de la rive sud enregistrent une forte hausse des IDE, tel que soulignent –ils, «la Turquie qui enregistre une très forte progression (respectivement +76% et +106%) ». Cependant, indiquent-ils, «de leur côté, les pays du Maghreb et du Machreq sont en net recul (-46%), principalement en raison des troubles politiques observés dans la région. L'augmentation notable des investissements dans le secteur des services (banque, distribution, télécommunications), dynamisé par l'émergence d'une classe moyenne, pourrait rapidement compenser cette baisse». En effet, jusqu'en septembre 2011, les IDE en Algérie ont connu un record de 435 milliards DA, attestant, donc, l'attractivité et l'afflux des investissements internationaux. Récemment, le directeur général de l'Agence algérienne du développement des investissements (ANDI) a déclaré que «nous ne sommes pas boudés, alors que nous assistons, par contre à un retour massif des investissements directs étrangers». Les secteurs d'activité où existe une forte concentration des IDE sont, notamment, la fabrication de médicaments (biotechnologies), de matériaux de construction et l'habitat, et d'industries diverses. Par ailleurs, plus de 4 000 projets ont été initiés par des opérateurs économiques nationaux entre le juillet 2010 et juillet 2011, en augmentation de 33 %, et ce notamment dans les domaines des matériaux de construction et les industries agroalimentaires. Avec le système règlementaire de partenariat national-étranger basé sur le partage de capital et de participation financière de 51 % et 49 %, de nombreux investisseurs étrangers ont accepté de coopérer avec des entrepreneurs algériens, même si d'autres industriels et investisseurs européens ont montré des réticences pour s'engager, estimant que cette procédure est désavantageuse.