Les responsables du cabinet de conseil de renommée internationale Ernst & Young ont présenté, hier au centre des affaires de l'Algerian Business Center, aux Pins maritimes, un bilan circonstancié relatif à l'exercice de l'année 2011, au cours duquel ils ont mis en relief les activités phares de l'année écoulée, tels que les rencontres des clubs des directeurs des systèmes d'information (DSI) et des directeurs administrations et finances, ainsi que les séminaires portant sur ''la supply chain'', ou encore les comptes consolidés... Les responsables du cabinet de conseil de renommée internationale Ernst & Young ont présenté, hier au centre des affaires de l'Algerian Business Center, aux Pins maritimes, un bilan circonstancié relatif à l'exercice de l'année 2011, au cours duquel ils ont mis en relief les activités phares de l'année écoulée, tels que les rencontres des clubs des directeurs des systèmes d'information (DSI) et des directeurs administrations et finances, ainsi que les séminaires portant sur ''la supply chain'', ou encore les comptes consolidés... Aussi, Philippe Ausseur et Philippe Mongin ont présenté les projets en cours et les perspectives de ce cabinet pour le marché algérien. Statistiquement, Ernst&Young, qui travaille principalement avec des entreprises privées algériennes, a réalisé un chiffre d'affaires de l'ordre de 250 millions DA durant le premier semestre 2012, soit une croissance de 40 % comparativement avec l'année 2011 dont 50 % pour l'audit et l'expertise comptable, 30 % pour le conseil et 20 % pour la fiscalité. Pour ce qui est des ressources humaines, ce cabinet a fonctionné avec un effectif de 54 personnes tandis que les prévisions font état de 75 collaborateurs en septembre 2012. Concernant le chiffre d'affaires budgété projeté pour 2013, un montant de 390 millions DA a été avancé par le cabinet Ernst&Young, soit une augmentation de 50 %. "Nous sommes satisfaits du développement des compétences en Algérie, ce qui nous motive, nous encourage et nous conforte davantage dans le choix stratégique de nos activités en Algérie" a notamment déclaré Philippe Ausseur, responsable en charge du marché algérien. Il estime, par ailleurs, que "c'est la raison pour laquelle Ernst&Young, s'est engagé et s'est installé durablement en Algérie, en dépit de certaines contraintes inhérentes au manque de lisibilité des lois et l'absence de clarifications dans leur application". Les cadres ayant été formés et coachés au niveau de ce cabinet n'éprouvent pas de difficultés pour intégrer des postes de responsabilité dans des entreprises privées algériennes, en ce sens que l'important pour les experts consiste, notamment, à placer des compétences au niveau des petites et moyennes entreprises en Algérie afin d'occuper des fonctions motrices en management et marketing et en gestion rationnelle des PME avec un retour d'investissements et une utilisation efficiente des ressources financières. Les responsables de ce cabinet soulignent, également, que "les compétences algériennes utilisent les plus récentes méthodes de management en vogue dans les pays avancés et industriels et le reste du monde". Néanmoins, MM. Ausseur et Mongin estiment que " la règle de partage de capital 51 % et 49 % entre les opérateurs économiques algériens et les investisseurs étrangers, dans le cadre du partenariat, n'est pas adaptée à la situation économique". Aussi, Philippe Ausseur et Philippe Mongin ont présenté les projets en cours et les perspectives de ce cabinet pour le marché algérien. Statistiquement, Ernst&Young, qui travaille principalement avec des entreprises privées algériennes, a réalisé un chiffre d'affaires de l'ordre de 250 millions DA durant le premier semestre 2012, soit une croissance de 40 % comparativement avec l'année 2011 dont 50 % pour l'audit et l'expertise comptable, 30 % pour le conseil et 20 % pour la fiscalité. Pour ce qui est des ressources humaines, ce cabinet a fonctionné avec un effectif de 54 personnes tandis que les prévisions font état de 75 collaborateurs en septembre 2012. Concernant le chiffre d'affaires budgété projeté pour 2013, un montant de 390 millions DA a été avancé par le cabinet Ernst&Young, soit une augmentation de 50 %. "Nous sommes satisfaits du développement des compétences en Algérie, ce qui nous motive, nous encourage et nous conforte davantage dans le choix stratégique de nos activités en Algérie" a notamment déclaré Philippe Ausseur, responsable en charge du marché algérien. Il estime, par ailleurs, que "c'est la raison pour laquelle Ernst&Young, s'est engagé et s'est installé durablement en Algérie, en dépit de certaines contraintes inhérentes au manque de lisibilité des lois et l'absence de clarifications dans leur application". Les cadres ayant été formés et coachés au niveau de ce cabinet n'éprouvent pas de difficultés pour intégrer des postes de responsabilité dans des entreprises privées algériennes, en ce sens que l'important pour les experts consiste, notamment, à placer des compétences au niveau des petites et moyennes entreprises en Algérie afin d'occuper des fonctions motrices en management et marketing et en gestion rationnelle des PME avec un retour d'investissements et une utilisation efficiente des ressources financières. Les responsables de ce cabinet soulignent, également, que "les compétences algériennes utilisent les plus récentes méthodes de management en vogue dans les pays avancés et industriels et le reste du monde". Néanmoins, MM. Ausseur et Mongin estiment que " la règle de partage de capital 51 % et 49 % entre les opérateurs économiques algériens et les investisseurs étrangers, dans le cadre du partenariat, n'est pas adaptée à la situation économique".