Des habitants de cinq cités de la ville de Draâ ben Khedda (10 km à l'ouest de Tizi-Ouzou) ont observé, mercredi dernier, un sit-in devant le siège de la wilaya pour protester contre la construction de coopératives d'habitations sur les espaces verts de leurs cités, a-t-on constaté. Des habitants de cinq cités de la ville de Draâ ben Khedda (10 km à l'ouest de Tizi-Ouzou) ont observé, mercredi dernier, un sit-in devant le siège de la wilaya pour protester contre la construction de coopératives d'habitations sur les espaces verts de leurs cités, a-t-on constaté. Les représentants des cités 200 logements, 400 logements, 250 logement, 450 logements DNC et Mahmoudi de Draâ Ben Khedda ont dénoncé "la mafia du foncier qui veut accaparer les espaces verts de leur cités, à la faveur de l'approbation du nouveau Plan d'aménagement du sol (POS)", rapporte l'APS Selon ces mêmes protestataires, ce problème remonte à 2003, lorsqu'une révision du POS a été lancée par l'APC, expliquant que l'approbation de ce nouveau POS est restée bloquée jusqu'au mois d'avril dernier, date à laquelle il a été approuvé. L'approbation de ce plan permettait ainsi aux bénéficiaires des nouvelles poches foncières de faire prévaloir leur droit à lancer les travaux de réalisation de construction d'habitations dans le cadre de coopératives immobilières, ont-ils ajouté. Le directeur de l'urbanisme et de la construction (DUC), qui a été sollicité à s'exprimer sur cette affaire par les élus de l'APW de Tizi-Ouzou, réunis le même jours en session ordinaire pour l'adoption du budget supplémentaire de la wilaya pour l'année 2012, a indiqué que les bénéficiaires des ces espaces verts "disposent d'actes de propriété et de permis de construire pour les parcelles sur lesquelles ils sont en train de construire". Il a fait état également d'un "remaniement au niveau du POS de Draâ Ben Khedda, où les règles générales d'aménagement et d'urbanisme de ces lots de terrain ont été respectées". Le président de l'APW a déploré, pour sa part, "la dilatation" de ces espaces verts, soulignant que "personne ne pourra empêcher ces bénéficiaires de construire sur ces espaces verts, puisqu'ils disposent des papiers réglementaires nécessaires (permis de construire et acte de propriété)". Les habitants des cités concernées se disent, pour leur part, "déterminés" à empêcher toute construction sur ces espaces verts Les représentants des cités 200 logements, 400 logements, 250 logement, 450 logements DNC et Mahmoudi de Draâ Ben Khedda ont dénoncé "la mafia du foncier qui veut accaparer les espaces verts de leur cités, à la faveur de l'approbation du nouveau Plan d'aménagement du sol (POS)", rapporte l'APS Selon ces mêmes protestataires, ce problème remonte à 2003, lorsqu'une révision du POS a été lancée par l'APC, expliquant que l'approbation de ce nouveau POS est restée bloquée jusqu'au mois d'avril dernier, date à laquelle il a été approuvé. L'approbation de ce plan permettait ainsi aux bénéficiaires des nouvelles poches foncières de faire prévaloir leur droit à lancer les travaux de réalisation de construction d'habitations dans le cadre de coopératives immobilières, ont-ils ajouté. Le directeur de l'urbanisme et de la construction (DUC), qui a été sollicité à s'exprimer sur cette affaire par les élus de l'APW de Tizi-Ouzou, réunis le même jours en session ordinaire pour l'adoption du budget supplémentaire de la wilaya pour l'année 2012, a indiqué que les bénéficiaires des ces espaces verts "disposent d'actes de propriété et de permis de construire pour les parcelles sur lesquelles ils sont en train de construire". Il a fait état également d'un "remaniement au niveau du POS de Draâ Ben Khedda, où les règles générales d'aménagement et d'urbanisme de ces lots de terrain ont été respectées". Le président de l'APW a déploré, pour sa part, "la dilatation" de ces espaces verts, soulignant que "personne ne pourra empêcher ces bénéficiaires de construire sur ces espaces verts, puisqu'ils disposent des papiers réglementaires nécessaires (permis de construire et acte de propriété)". Les habitants des cités concernées se disent, pour leur part, "déterminés" à empêcher toute construction sur ces espaces verts