La solidarité en ce mois sacré du Ramadhan a été quantifiée par le ministère de la Solidarité nationale et de la Famille, par le nombre de restaurants ouverts, le personnel mobilisé et les couffins distribués et par d'autres paramètres encore qui rendent compte de l'opération solidarité Ramadhan organisée chaque année en pareille circonstance. La solidarité en ce mois sacré du Ramadhan a été quantifiée par le ministère de la Solidarité nationale et de la Famille, par le nombre de restaurants ouverts, le personnel mobilisé et les couffins distribués et par d'autres paramètres encore qui rendent compte de l'opération solidarité Ramadhan organisée chaque année en pareille circonstance. Dans une conférence de presse qu'il a animée à Alger, Smaïl Benhabylès, secrétaire général de ce ministère, a indiqué que l'Etat a alloué une enveloppe financière de 5 milliards de dinars plus exactement 5 001 550 045, 94 DA pour couvrir le financement des colis de Ramadhan et des restaurants de rupture du jeûne. Jusqu'à hier, quatrième jour du Ramadhan, le ministère n'était pas encore renseigné sur le nombre des colis distribués sur les 1,3 million prévus. «Tout ce que je peux vous dire est que plus de la moitié des colis est arrivée sur place, on ne veut pas incriminer les APC, car chacune a ses forces et ses faiblesses», a soutenu le SG du ministère de la Solidarité nationale. A titre de comparaison, il faut savoir que le nombre de colis distribués lors du Ramadhan 2011 était de 1, 6 million. S'agissant des restaurants répartis à travers le territoire national, leur nombre jusqu'à hier a atteint 620 dont 109 à Alger, ils sont reliés à un réseau de 1191 points de stockage dans les 48 wilayas du pays. Le SG du ministère invite les journalistes à faire attention aux qualificatifs désignant ce type de restaurant, sous-entendant que «Restaurant Rahma» ne correspond pas à un établissement qui est ouvert aussi bien aux «riches qu'aux pauvres, fonctionnaires et autres». Les restaurants a-t-il indiqué sont lancés par les APC, le Croissant Rouge algérien, les Scouts musulmans et les mécènes (citoyens bienfaiteurs). Il a cependant relevé des insuffisances de la part de certains bienfaiteurs qui "n'ont pu aller jusqu'au bout dans leur aide obligeant l'Etat à les soutenir jusqu'au terme de l'opération programmée". «Nous suivons de très près ces restaurants, pour nous l'hygiène est le maître mot de l'opération», a-t-il assuré non sans expliquer que son département travaille avec ses partenaires «sur la base d'un cahier des charges qui fixe les normes». 16 270 personnes sont mobilisées pour l'opération Ramadhan a-t-on aussi indiqué. Mais il semblerait que la machine n'est pas encore bien huilée s'agissant du système de perception des aides par les familles nécessiteuses. Selon le SG, "le ministère de la Solidarité nationale fait parvenir l'argent aux wilayas et celles-ci à leur tour le dispatchent sur les communes". Ces dernières a-t-il ajouté les acheminent ensuite aux familles concernées. Et d'ajouter : «Les APC ont la latitude de choisir de fournir cette aide soit sous forme de colis alimentaire, soit sous forme de chèque». Or comme l'a fait remarquer un journaliste qui a posé la question, des colis alimentaires arrivent aux destinataires avec des produits manquants alors que les pouvoirs publics ont fixé dans le détail le contenu du colis alimentaire quantifié par kilogramme et par produits. Réponse du SG : «Il y a des présidents d'APC qui connaissent très bien les familles, ils savent mieux que tout autre si elles ont besoin d'un bidon d'huile ou non. Le maire peut donc décider de retirer du colis le bidon d'huile», a-t-il dit. Mais ce responsable n'explique pas si le bidon d'huile ainsi défalqué du colis retourne à l'Etat ou non ou s'il est offert à un autre citoyen nécessiteux. Toutefois le SG a expliqué que les personnes concernées par les aides sont celles qui émargent au filet social et celles qui ne bénéficient d'aucune assurance sociale. Dans une conférence de presse qu'il a animée à Alger, Smaïl Benhabylès, secrétaire général de ce ministère, a indiqué que l'Etat a alloué une enveloppe financière de 5 milliards de dinars plus exactement 5 001 550 045, 94 DA pour couvrir le financement des colis de Ramadhan et des restaurants de rupture du jeûne. Jusqu'à hier, quatrième jour du Ramadhan, le ministère n'était pas encore renseigné sur le nombre des colis distribués sur les 1,3 million prévus. «Tout ce que je peux vous dire est que plus de la moitié des colis est arrivée sur place, on ne veut pas incriminer les APC, car chacune a ses forces et ses faiblesses», a soutenu le SG du ministère de la Solidarité nationale. A titre de comparaison, il faut savoir que le nombre de colis distribués lors du Ramadhan 2011 était de 1, 6 million. S'agissant des restaurants répartis à travers le territoire national, leur nombre jusqu'à hier a atteint 620 dont 109 à Alger, ils sont reliés à un réseau de 1191 points de stockage dans les 48 wilayas du pays. Le SG du ministère invite les journalistes à faire attention aux qualificatifs désignant ce type de restaurant, sous-entendant que «Restaurant Rahma» ne correspond pas à un établissement qui est ouvert aussi bien aux «riches qu'aux pauvres, fonctionnaires et autres». Les restaurants a-t-il indiqué sont lancés par les APC, le Croissant Rouge algérien, les Scouts musulmans et les mécènes (citoyens bienfaiteurs). Il a cependant relevé des insuffisances de la part de certains bienfaiteurs qui "n'ont pu aller jusqu'au bout dans leur aide obligeant l'Etat à les soutenir jusqu'au terme de l'opération programmée". «Nous suivons de très près ces restaurants, pour nous l'hygiène est le maître mot de l'opération», a-t-il assuré non sans expliquer que son département travaille avec ses partenaires «sur la base d'un cahier des charges qui fixe les normes». 16 270 personnes sont mobilisées pour l'opération Ramadhan a-t-on aussi indiqué. Mais il semblerait que la machine n'est pas encore bien huilée s'agissant du système de perception des aides par les familles nécessiteuses. Selon le SG, "le ministère de la Solidarité nationale fait parvenir l'argent aux wilayas et celles-ci à leur tour le dispatchent sur les communes". Ces dernières a-t-il ajouté les acheminent ensuite aux familles concernées. Et d'ajouter : «Les APC ont la latitude de choisir de fournir cette aide soit sous forme de colis alimentaire, soit sous forme de chèque». Or comme l'a fait remarquer un journaliste qui a posé la question, des colis alimentaires arrivent aux destinataires avec des produits manquants alors que les pouvoirs publics ont fixé dans le détail le contenu du colis alimentaire quantifié par kilogramme et par produits. Réponse du SG : «Il y a des présidents d'APC qui connaissent très bien les familles, ils savent mieux que tout autre si elles ont besoin d'un bidon d'huile ou non. Le maire peut donc décider de retirer du colis le bidon d'huile», a-t-il dit. Mais ce responsable n'explique pas si le bidon d'huile ainsi défalqué du colis retourne à l'Etat ou non ou s'il est offert à un autre citoyen nécessiteux. Toutefois le SG a expliqué que les personnes concernées par les aides sont celles qui émargent au filet social et celles qui ne bénéficient d'aucune assurance sociale.