Des travaux d'urgence sont actuellement en cours au niveau du port de pêche et de plaisance de Cap Djinet (à l'est de Boumerdès) en vue de le protéger de l'ensablement qui menace son existence. Des travaux d'urgence sont actuellement en cours au niveau du port de pêche et de plaisance de Cap Djinet (à l'est de Boumerdès) en vue de le protéger de l'ensablement qui menace son existence. «Lancés en septembre 2011, ces travaux devraient être achevés en 2013», a-t-on appris auprès de la Direction locale des travaux publics (DTP) qui signale le lancement en 2010 des études techniques inhérentes à ce phénomène naturel de l'ensablement, soit quelques mois à peine après la réception définitive du port en question, est-il relevé. La réalisation de ces études, confiées au Laboratoire des études maritimes (LEM) , et de ces travaux d'urgence a nécessité une dotation de plus d'un milliard de dinars dégagés sur le programme sectoriel de l'exercice 2010, est-il ajouté. Deux nouveaux quais, faisant office de digues naturelles, sont en réalisation au niveau de ce port, aux fins de contrer les bas courants marins chargés de sable, qui finira par obstruer tous les accès, si rien n'est fait pour le stopper, a-t-on constaté. D'une longueur de 220 mètres linéaires, un premier quai (ou digue) a déjà été réalisé au nord du port. Des travaux d'extension ont été également initiés en vue de prolonger ce quai nord, d'une soixantaine de mètres linéaires, tandis que des aménagements sont en cours au profit de 150 mètres linéaires du quai sud. Pour la DTP, ce phénomène de l'ensablement, dont les prémices sont apparus juste avant le parachèvement du port de Cap Djinet, est dû à «des facteurs purement naturels», dont on «ne peut maîtriser les causes, car dépassant de loin les capacités des études réalisées en la matière.» Un nombre de pêcheurs locaux pointent du doigt le bureau chargé des dites études, qui aurait, selon eux, «ignoré leurs mises en garde quant à l'inadaptation du site pour ce projet de port, car caractérisé par ses forts courants marins chargés de sable», avaient-ils prévenu, à l'époque, en se basant sur leurs observations et forte connaissance de la région. Pour parer provisoirement à ce phénomène naturel nuisible pour l'activité du port, les services concernés ont mis en place un système de pompage du sable du fond de la mer vers la côte. Ce procédé est destiné à empêcher l'entassement du sable sur place avant d'atteindre une hauteur surélevée par rapport à la mer, ce qui paralyserait l'activité du port, est-il expliqué. Doté d'une capacité d'accueil de 110 embarcations de pêche et d'une cinquantaine de bateaux de plaisance, le port de pêche et de plaisance de Cap Djinet a nécessité une enveloppe de plus de 1,6 milliard de dinars, a-t-on, par ailleurs, indiqué. «Lancés en septembre 2011, ces travaux devraient être achevés en 2013», a-t-on appris auprès de la Direction locale des travaux publics (DTP) qui signale le lancement en 2010 des études techniques inhérentes à ce phénomène naturel de l'ensablement, soit quelques mois à peine après la réception définitive du port en question, est-il relevé. La réalisation de ces études, confiées au Laboratoire des études maritimes (LEM) , et de ces travaux d'urgence a nécessité une dotation de plus d'un milliard de dinars dégagés sur le programme sectoriel de l'exercice 2010, est-il ajouté. Deux nouveaux quais, faisant office de digues naturelles, sont en réalisation au niveau de ce port, aux fins de contrer les bas courants marins chargés de sable, qui finira par obstruer tous les accès, si rien n'est fait pour le stopper, a-t-on constaté. D'une longueur de 220 mètres linéaires, un premier quai (ou digue) a déjà été réalisé au nord du port. Des travaux d'extension ont été également initiés en vue de prolonger ce quai nord, d'une soixantaine de mètres linéaires, tandis que des aménagements sont en cours au profit de 150 mètres linéaires du quai sud. Pour la DTP, ce phénomène de l'ensablement, dont les prémices sont apparus juste avant le parachèvement du port de Cap Djinet, est dû à «des facteurs purement naturels», dont on «ne peut maîtriser les causes, car dépassant de loin les capacités des études réalisées en la matière.» Un nombre de pêcheurs locaux pointent du doigt le bureau chargé des dites études, qui aurait, selon eux, «ignoré leurs mises en garde quant à l'inadaptation du site pour ce projet de port, car caractérisé par ses forts courants marins chargés de sable», avaient-ils prévenu, à l'époque, en se basant sur leurs observations et forte connaissance de la région. Pour parer provisoirement à ce phénomène naturel nuisible pour l'activité du port, les services concernés ont mis en place un système de pompage du sable du fond de la mer vers la côte. Ce procédé est destiné à empêcher l'entassement du sable sur place avant d'atteindre une hauteur surélevée par rapport à la mer, ce qui paralyserait l'activité du port, est-il expliqué. Doté d'une capacité d'accueil de 110 embarcations de pêche et d'une cinquantaine de bateaux de plaisance, le port de pêche et de plaisance de Cap Djinet a nécessité une enveloppe de plus de 1,6 milliard de dinars, a-t-on, par ailleurs, indiqué.