Selon des spécialistes, le groupe terroriste auteur de l'attaque, jeudi passé, contre une patrouille des gardes-frontières (GGF) de Tlemcen a de forts liens avec les saisies record de cannabis enregistrées par les gendarmes à Tlemcen. C'est un acte de vengeance d'autant que les terroristes sont en réelle connexion avec les narcotrafiquants . Selon des spécialistes, le groupe terroriste auteur de l'attaque, jeudi passé, contre une patrouille des gardes-frontières (GGF) de Tlemcen a de forts liens avec les saisies record de cannabis enregistrées par les gendarmes à Tlemcen. C'est un acte de vengeance d'autant que les terroristes sont en réelle connexion avec les narcotrafiquants . Ce n'est plus un secret, aujourd'hui, les terroristes sont en connexion avec les trafiquants de drogue et ce qui c'est produit jeudi dernier à la frontière Ouest en est une preuve solide, expliquent beaucoup d'observateurs. Pour mieux comprendre, c'est à la suite des coups durs des GGF contre les trafiquants de drogue ayant permis la saisie de plus de 70 tonnes de kif au niveau national, dont 49 seulement par les GGF de Tlemcen, que les terroristes ont ressurgi pour tenter, à leur tour, de trouver une réplique. Ils ont répliqué en frappant une patrouille des GGF, en mission de routine sur la bande frontalière algéro-marocaine. Une embuscade meurtrière ayant coûté, jeudi passé, la vie à quatre gardes-frontières de la gendarmerie de Tlemcen, à quelques centaines de mètres du territoire marocain, là où les terroristes ont pris la fuite. Voilà comment les terroristes pouvaient répondre contre les coups durs des GGF. Un acte terroriste qui mérite d'être décrypté. Nous sommes dans une wilaya symbolique, Tlemcen. Connue comme étant une wilaya sérieusement ciblée par les narcotrafiquants, mais aussi et surtout une wilaya «symbolique» réputée pour sa lutte sans relâche contre les cartels de kif. Tlemcen a enregistré, durant les six premiers mois de l'année en cours des saisies «historiques» en matière de cannabis. En chiffres, plus de 49 tonnes de drogue ont été saisies dans plusieurs localités appartenant à la ville des Zianides, notamment à Bab Aâssa, Aâricha, Béni Boussaid et Maghnia. Devant cette lutte sans merci, les réseaux de trafic de cannabis ont perdu beaucoup d'argent et drogue durant les mois précédents de cette année. La coopération des citoyens et la vigilance des GGF ont causé des pertes sèches de plus de 3000 milliards de centimes pour les trafiquants de drogue. Ces narcotrafiquants qui collaborent avec les groupes terroristes, d'autant que le gain tiré des ventes de kif sont divisés entre eux, n'ont pas supporté l'hémorragie des pertes en argent. C'est ainsi que les terroristes ont exécuté leur plan diabolique en perpétrant une embuscade contre les GGF. Un attentat terroriste désespérant dans la mesure où, cela va motiver davantage les GGF pour anéantir les terroristes, les narcotrafiquants et le crime sous toutes ses formes. Maroc, terre de repli pour les terroristes depuis l'année 1994 Comment les terroristes arrivent-ils à exécuter des attentats en Algérie à partir du Maroc ? Pourquoi choisissent-t-ils de se replier au Maroc ? Depuis l'année 1994, la période où les autorités marocaines avaient accusé des Algériens dans une attaque à l'explosif contre un hôtel à Casablanca, dont la réplique des autorités algériennes à l'ère Zeroual avait eu pour résultat la fermeture des frontières, les terroristes exécutent des attentats en Algérie et se replient au Maroc. A l'époque du GIA c'était pareil; aujourd'hui, on vit toujours la même situation sous l'ère des nouveaux groupes terroristes du MUJAO et d'Aqmi. Jeudi 2 août, un autre attentat criminel a été perpétré par des terroristes entrant du Maroc. Ils ont tendu une embuscade à une patrouille des GGF algériens sur le sol algérien. Ils ont tué quatre gardes-frontières puis ils ont regagné le Maroc. Les années se sont succédées et nous sommes toujours en train de vivre les mêmes scenarios. En novembre 2011, trois humanitaires étrangers travaillant pour le compte d'une organisation humanitaire internationale ont été kidnappés au camp des réfugiés sahraouis de Tindouf. Les ravisseurs faisaient partie d'une organisation terroriste mystèrieuse, appelée désormais le MUJAO (Mouvement pour l'Unicité et le Jihad en Afrique de l'Ouest). Une organisation criminelle étrange, d'ailleurs sur ce plan, il est intéressant de rappeler ce que le Premier ministre sahraoui avait décrit le MUJAO : «C'est un groupe terroriste créé par les autorités marocaines et nous avons des preuves solides. Et le but de la création d'une telle organisation terroriste est de tenter de culpabiliser les Sahraouis d'appartenir à des groupes terroristes et salir l'image du peuple sahraoui ». Pis, l'embuscade meurtrière ayant visé une patrouille des GGF au niveau de Béni Boussaid, à quelques encablures du territoire marocain mérite autant de questions. Qui est derrière cette attaque criminelle ? Pourquoi les terroristes fuient toujours au Maroc après chaque attentat perpétré en Algérie ? Des questions dont les réponses ne sont pas pour demain, d'autant que les frontières entre les deux pays, l'Algérie et le Maroc sont toujours fermées. Ce n'est plus un secret, aujourd'hui, les terroristes sont en connexion avec les trafiquants de drogue et ce qui c'est produit jeudi dernier à la frontière Ouest en est une preuve solide, expliquent beaucoup d'observateurs. Pour mieux comprendre, c'est à la suite des coups durs des GGF contre les trafiquants de drogue ayant permis la saisie de plus de 70 tonnes de kif au niveau national, dont 49 seulement par les GGF de Tlemcen, que les terroristes ont ressurgi pour tenter, à leur tour, de trouver une réplique. Ils ont répliqué en frappant une patrouille des GGF, en mission de routine sur la bande frontalière algéro-marocaine. Une embuscade meurtrière ayant coûté, jeudi passé, la vie à quatre gardes-frontières de la gendarmerie de Tlemcen, à quelques centaines de mètres du territoire marocain, là où les terroristes ont pris la fuite. Voilà comment les terroristes pouvaient répondre contre les coups durs des GGF. Un acte terroriste qui mérite d'être décrypté. Nous sommes dans une wilaya symbolique, Tlemcen. Connue comme étant une wilaya sérieusement ciblée par les narcotrafiquants, mais aussi et surtout une wilaya «symbolique» réputée pour sa lutte sans relâche contre les cartels de kif. Tlemcen a enregistré, durant les six premiers mois de l'année en cours des saisies «historiques» en matière de cannabis. En chiffres, plus de 49 tonnes de drogue ont été saisies dans plusieurs localités appartenant à la ville des Zianides, notamment à Bab Aâssa, Aâricha, Béni Boussaid et Maghnia. Devant cette lutte sans merci, les réseaux de trafic de cannabis ont perdu beaucoup d'argent et drogue durant les mois précédents de cette année. La coopération des citoyens et la vigilance des GGF ont causé des pertes sèches de plus de 3000 milliards de centimes pour les trafiquants de drogue. Ces narcotrafiquants qui collaborent avec les groupes terroristes, d'autant que le gain tiré des ventes de kif sont divisés entre eux, n'ont pas supporté l'hémorragie des pertes en argent. C'est ainsi que les terroristes ont exécuté leur plan diabolique en perpétrant une embuscade contre les GGF. Un attentat terroriste désespérant dans la mesure où, cela va motiver davantage les GGF pour anéantir les terroristes, les narcotrafiquants et le crime sous toutes ses formes. Maroc, terre de repli pour les terroristes depuis l'année 1994 Comment les terroristes arrivent-ils à exécuter des attentats en Algérie à partir du Maroc ? Pourquoi choisissent-t-ils de se replier au Maroc ? Depuis l'année 1994, la période où les autorités marocaines avaient accusé des Algériens dans une attaque à l'explosif contre un hôtel à Casablanca, dont la réplique des autorités algériennes à l'ère Zeroual avait eu pour résultat la fermeture des frontières, les terroristes exécutent des attentats en Algérie et se replient au Maroc. A l'époque du GIA c'était pareil; aujourd'hui, on vit toujours la même situation sous l'ère des nouveaux groupes terroristes du MUJAO et d'Aqmi. Jeudi 2 août, un autre attentat criminel a été perpétré par des terroristes entrant du Maroc. Ils ont tendu une embuscade à une patrouille des GGF algériens sur le sol algérien. Ils ont tué quatre gardes-frontières puis ils ont regagné le Maroc. Les années se sont succédées et nous sommes toujours en train de vivre les mêmes scenarios. En novembre 2011, trois humanitaires étrangers travaillant pour le compte d'une organisation humanitaire internationale ont été kidnappés au camp des réfugiés sahraouis de Tindouf. Les ravisseurs faisaient partie d'une organisation terroriste mystèrieuse, appelée désormais le MUJAO (Mouvement pour l'Unicité et le Jihad en Afrique de l'Ouest). Une organisation criminelle étrange, d'ailleurs sur ce plan, il est intéressant de rappeler ce que le Premier ministre sahraoui avait décrit le MUJAO : «C'est un groupe terroriste créé par les autorités marocaines et nous avons des preuves solides. Et le but de la création d'une telle organisation terroriste est de tenter de culpabiliser les Sahraouis d'appartenir à des groupes terroristes et salir l'image du peuple sahraoui ». Pis, l'embuscade meurtrière ayant visé une patrouille des GGF au niveau de Béni Boussaid, à quelques encablures du territoire marocain mérite autant de questions. Qui est derrière cette attaque criminelle ? Pourquoi les terroristes fuient toujours au Maroc après chaque attentat perpétré en Algérie ? Des questions dont les réponses ne sont pas pour demain, d'autant que les frontières entre les deux pays, l'Algérie et le Maroc sont toujours fermées.