Depuis la mi-juillet les températures sont loin d'être clémentes. Le mercure ne descend pas en dessous des 35% à l'ombre. Comme s'il ne suffisait pas de subir la canicule, les feux de forêts ajoutent un peu plus au calvaire qu'endurent les citoyens, précisément ceux des Aurès qui est une région très boisée. Mais au demeurant ce sont pas mal de régions d'Algérie qui sont touchées par les incendies dus en partie à cette forte canicule qui sévit mais aussi aux pyromanes qui provoquent des sources de chaleur insupportable. Les soldats du feu sont sur tous les fronts et s'activent à limiter les dégâts. Mais combien d'hectares de forêts sont-ils partis en fumée ? Jusqu'à la mi-juillet pas moins de 6.000 hectares ont été ravagés par les flammes. Des incendies que les services de la Protection civile attribuent tout de go à la chaleur exceptionnelle qui sévit sur le pays, tout en reconnaissant que le plus souvent ils sont d'origine criminelle. Vingt à vingt-cinq départs de feu sont enregistrés quotidiennement. Le constat est alarmant mais quels sont les moyens susceptibles de lutter efficacement contre ces incendies. La création de groupes de sensibilisation sur l'importance des forêts et la lutte contre les sinistres trouveront-ils écho quand on sait que chez nous toute campagne de sensibilisation, que ce soit sur les dangers des accidents de la route ou autre, fait l'effet d'un coup d'épée dans l'eau. Les Canadairs sont de par le monde un moyen prouvé et efficace pour lutter contre les sinistres. Les autorités concernées estiment que ce moyen n'est pas rentable sous prétexte que notre pays ne recèle pas de grands espaces forestiers. On préfère les bombardiers. Quel gâchis ! Quand bien même l'Algérie ne possède que quelques milliers d'hectares naturels, ils se doivent d'être protégés par tous les moyens et de surcroît par des Canadairs même si ces derniers seront sous-utilisés. Les campagnes de reboisement ne sont plus d'actualité... depuis le barrage vert lancé en 1974 qui fait toujours triste mine. Depuis la mi-juillet les températures sont loin d'être clémentes. Le mercure ne descend pas en dessous des 35% à l'ombre. Comme s'il ne suffisait pas de subir la canicule, les feux de forêts ajoutent un peu plus au calvaire qu'endurent les citoyens, précisément ceux des Aurès qui est une région très boisée. Mais au demeurant ce sont pas mal de régions d'Algérie qui sont touchées par les incendies dus en partie à cette forte canicule qui sévit mais aussi aux pyromanes qui provoquent des sources de chaleur insupportable. Les soldats du feu sont sur tous les fronts et s'activent à limiter les dégâts. Mais combien d'hectares de forêts sont-ils partis en fumée ? Jusqu'à la mi-juillet pas moins de 6.000 hectares ont été ravagés par les flammes. Des incendies que les services de la Protection civile attribuent tout de go à la chaleur exceptionnelle qui sévit sur le pays, tout en reconnaissant que le plus souvent ils sont d'origine criminelle. Vingt à vingt-cinq départs de feu sont enregistrés quotidiennement. Le constat est alarmant mais quels sont les moyens susceptibles de lutter efficacement contre ces incendies. La création de groupes de sensibilisation sur l'importance des forêts et la lutte contre les sinistres trouveront-ils écho quand on sait que chez nous toute campagne de sensibilisation, que ce soit sur les dangers des accidents de la route ou autre, fait l'effet d'un coup d'épée dans l'eau. Les Canadairs sont de par le monde un moyen prouvé et efficace pour lutter contre les sinistres. Les autorités concernées estiment que ce moyen n'est pas rentable sous prétexte que notre pays ne recèle pas de grands espaces forestiers. On préfère les bombardiers. Quel gâchis ! Quand bien même l'Algérie ne possède que quelques milliers d'hectares naturels, ils se doivent d'être protégés par tous les moyens et de surcroît par des Canadairs même si ces derniers seront sous-utilisés. Les campagnes de reboisement ne sont plus d'actualité... depuis le barrage vert lancé en 1974 qui fait toujours triste mine.