Le programme de trafic aérien au niveau des aéroports internationaux ne parvient pas à combler la forte demande enregistrée en cette période de fêtes. En effet, la quasi-totalité des compagnies aériennes affichent «full» jusqu'au 13 septembre prochain, a-t-on affirmé de source coordonnée. Les clients d'Air France, Turkish Air Lines, Lufthansa, British Air Lines, devront patienter jusqu'à la mi-septembre prochain avant de pouvoir réserver leurs places à destination des pays d'Europe et certains pays du Maghreb qui enregistrent des flux importants de vacanciers, notamment à destination de la Tunisie et du Maroc. Bien que ces compagnies aient renforcé leur programme, exclusivement pour cette période de fin de vacances, les places disponibles ne suffisent toujours pas au grand nombre de voyageurs, essentiellement, ceux qui s'apprêtent à passer le reste de ce mois d'été à l'étranger. Le programme de trafic aérien au niveau des aéroports internationaux ne parvient pas à combler la forte demande enregistrée en cette période de fêtes. En effet, la quasi-totalité des compagnies aériennes affichent «full» jusqu'au 13 septembre prochain, a-t-on affirmé de source coordonnée. Les clients d'Air France, Turkish Air Lines, Lufthansa, British Air Lines, devront patienter jusqu'à la mi-septembre prochain avant de pouvoir réserver leurs places à destination des pays d'Europe et certains pays du Maghreb qui enregistrent des flux importants de vacanciers, notamment à destination de la Tunisie et du Maroc. Bien que ces compagnies aient renforcé leur programme, exclusivement pour cette période de fin de vacances, les places disponibles ne suffisent toujours pas au grand nombre de voyageurs, essentiellement, ceux qui s'apprêtent à passer le reste de ce mois d'été à l'étranger. A cet effet, les aéroports internationaux, à l'image de celui de la capitale «Houari Boumediène» connaissent un afflux considérable de passagers depuis le début de la semaine en cours. De longues files d'attentes sont formées par les voyageurs au niveau des guichets de réservation et d'embarcation. Nombreux sont ceux qui ont dû tenir leur mal en patience pendant de longues heures dans l'espoir de décrocher, enfin, le sésame, tant convoité, pour embarquer vers les pays de leurs destinations. En vue de répondre à cette forte demande, Air France a mobilisé des avions de plus grandes capacités et maintenu ses 4 vols journaliers pour le transport des passagers à destination de la France. De son côté, la compagnie Lufthansa a programmé deux vols de nuit supplémentaires pour les trois semaines à venir. Et bien que les tarifs de ses billets d'avions demeurent en hausse, les vols de la Turkish air Lines affichent, également, «complets» durant cette période de fin de vacances. Les frontières algéro-tunisiennes paralysées par les estivants Les postes frontaliers d'Oum Tboul et El-Ayoun, dans la wilaya d'El Taref enregistrent un rush important de vacanciers algériens, venus des quatre coins du pays et qui s'apprêtent à passer les quelques jours de vacances qui leur restent avant la rentrée sociale, au niveau des stations balnéaires de notre voisin, la Tunisie. En moyenne, ce sont 6.000 touristes algériens qui affluent chaque jour, depuis le deuxième jour de l'Aïd sur les postes frontières. Manifestement, les Algériens sont loin d'être dissuadés par la situation sécuritaire qui règne actuellement chez nos voisins tunisiens, bien au contraire. En cette période de fêtes marquée par des chaleurs caniculaires, le nombre de vacanciers algériens a dépassé les attentes des professionnels en la matière. Toutefois, pour de nombreux touristes algériens, le fait de ne séjourner que quelques jours en Tunisie n'est pas une partie de plaisir. Les incertitudes quant aux conditions d'hébergement, les longues attentes, et les désagréments des imprévus incommodent leur départ vers leur destination de détente favorite. Il faut noter que 85% des Algériens clients du tourisme tunisien, franchissent les frontières par voie terrestre, ce qui explique cette vague importante sur les postes frontaliers. Et malgré le renforcement des effectifs au niveau de la PAF algérienne, cette ruée incommensurable a complètement dépassé les moyens mis en place pour faciliter le passage des vacanciers. «Des centaines de familles ont dû attendre pas moins de 7 heures pour pouvoir enfin effectuer les formalités nécessaires et passer de l'autre coté des frontières», a affirmé l'opérateur touristique spécialisé dans la destination de Tunisie, Hatem Mehai. «Des files d'attentes interminables embouteillent les passages des frontières en ces derniers jours». «Même ceux qui ont pris leurs dispositions à temps, peinent à rejoindre leurs destinations, Nabeul, Hammamet et Sousse plus particulièrement», a-t-il ajouté. Affirmant qu'en grande partie, les réservations ont été effectuées bien avant l'arrivée du mois de Ramadhan, cet opérateur nous a expliqué que le flux des aoûtiens sur cette destination touristique par excellence est justifié par les offres alléchantes mises en place par les partenaires touristiques voisins, notamment, en matière de tarification. Les opérateurs touristiques tunisiens ont mis les bouchées doubles pour cet été et ont tablé sur de nouvelles options toutes aussi intéressantes pour drainer le plus grand nombre de touristes algériens vers leurs stations balnéaires, a-t-il signalé. Pour le moment, toutes les réservations sont saturées, nous a révélé ce même opérateur. "Bien que du côté tunisien, le secteur du tourisme s'est vu renforcé par l'aménagement de 11 nouvelles zones touristiques destinées à l'accueil des touristes maghrébins, dont une grande partie d'Algériens, les hôtels affichent complets et nous trouvons beaucoup de peine à loger tous les touristes algériens", a-t-il indiqué. Nonobstant l'insuffisance enregistrée, de l'autre côté des frontières, en matière de capacité d'accueil des vacanciers, chez nous, il reste beaucoup à faire en matière de modalités de transport. Bien que les deux autres moyens de transport, à savoir maritime et ferroviaire permettent de renforcer davantage les capacités de transport des voyageurs, l'exploitation de ces moyens reste nulle. La ligne ferroviaire reliant Annaba et Tunis demeure inexploitée. La voie maritime reliant les ports algériens à ceux du pays voisin subit, malheureusement, le même sort. Selon les dernières statistiques du secteur du tourisme tunisien, les Algériens sont les plus nombreux à visiter la Tunisie après les touristes français et libyens. Plus de 400 mille Algériens y ont séjourné durant la période allant du mois de janvier au mois de juillet 2012. Après les grandes sueurs froides subies par les investisseurs et opérateurs tunisiens et provoquées par une chute conséquente du flux des touristes algériens évaluée à 52% de moins durant la période allant du mois de juin à juillet, les hôtels, complexes touristiques et les résidences des particuliers ont été carrément submergés par nos vacanciers en ces derniers jours. Il faut noter, par ailleurs, que le retour des estivants de la Tunisie s'avère tout aussi surchargé. A cet effet, les aéroports internationaux, à l'image de celui de la capitale «Houari Boumediène» connaissent un afflux considérable de passagers depuis le début de la semaine en cours. De longues files d'attentes sont formées par les voyageurs au niveau des guichets de réservation et d'embarcation. Nombreux sont ceux qui ont dû tenir leur mal en patience pendant de longues heures dans l'espoir de décrocher, enfin, le sésame, tant convoité, pour embarquer vers les pays de leurs destinations. En vue de répondre à cette forte demande, Air France a mobilisé des avions de plus grandes capacités et maintenu ses 4 vols journaliers pour le transport des passagers à destination de la France. De son côté, la compagnie Lufthansa a programmé deux vols de nuit supplémentaires pour les trois semaines à venir. Et bien que les tarifs de ses billets d'avions demeurent en hausse, les vols de la Turkish air Lines affichent, également, «complets» durant cette période de fin de vacances. Les frontières algéro-tunisiennes paralysées par les estivants Les postes frontaliers d'Oum Tboul et El-Ayoun, dans la wilaya d'El Taref enregistrent un rush important de vacanciers algériens, venus des quatre coins du pays et qui s'apprêtent à passer les quelques jours de vacances qui leur restent avant la rentrée sociale, au niveau des stations balnéaires de notre voisin, la Tunisie. En moyenne, ce sont 6.000 touristes algériens qui affluent chaque jour, depuis le deuxième jour de l'Aïd sur les postes frontières. Manifestement, les Algériens sont loin d'être dissuadés par la situation sécuritaire qui règne actuellement chez nos voisins tunisiens, bien au contraire. En cette période de fêtes marquée par des chaleurs caniculaires, le nombre de vacanciers algériens a dépassé les attentes des professionnels en la matière. Toutefois, pour de nombreux touristes algériens, le fait de ne séjourner que quelques jours en Tunisie n'est pas une partie de plaisir. Les incertitudes quant aux conditions d'hébergement, les longues attentes, et les désagréments des imprévus incommodent leur départ vers leur destination de détente favorite. Il faut noter que 85% des Algériens clients du tourisme tunisien, franchissent les frontières par voie terrestre, ce qui explique cette vague importante sur les postes frontaliers. Et malgré le renforcement des effectifs au niveau de la PAF algérienne, cette ruée incommensurable a complètement dépassé les moyens mis en place pour faciliter le passage des vacanciers. «Des centaines de familles ont dû attendre pas moins de 7 heures pour pouvoir enfin effectuer les formalités nécessaires et passer de l'autre coté des frontières», a affirmé l'opérateur touristique spécialisé dans la destination de Tunisie, Hatem Mehai. «Des files d'attentes interminables embouteillent les passages des frontières en ces derniers jours». «Même ceux qui ont pris leurs dispositions à temps, peinent à rejoindre leurs destinations, Nabeul, Hammamet et Sousse plus particulièrement», a-t-il ajouté. Affirmant qu'en grande partie, les réservations ont été effectuées bien avant l'arrivée du mois de Ramadhan, cet opérateur nous a expliqué que le flux des aoûtiens sur cette destination touristique par excellence est justifié par les offres alléchantes mises en place par les partenaires touristiques voisins, notamment, en matière de tarification. Les opérateurs touristiques tunisiens ont mis les bouchées doubles pour cet été et ont tablé sur de nouvelles options toutes aussi intéressantes pour drainer le plus grand nombre de touristes algériens vers leurs stations balnéaires, a-t-il signalé. Pour le moment, toutes les réservations sont saturées, nous a révélé ce même opérateur. "Bien que du côté tunisien, le secteur du tourisme s'est vu renforcé par l'aménagement de 11 nouvelles zones touristiques destinées à l'accueil des touristes maghrébins, dont une grande partie d'Algériens, les hôtels affichent complets et nous trouvons beaucoup de peine à loger tous les touristes algériens", a-t-il indiqué. Nonobstant l'insuffisance enregistrée, de l'autre côté des frontières, en matière de capacité d'accueil des vacanciers, chez nous, il reste beaucoup à faire en matière de modalités de transport. Bien que les deux autres moyens de transport, à savoir maritime et ferroviaire permettent de renforcer davantage les capacités de transport des voyageurs, l'exploitation de ces moyens reste nulle. La ligne ferroviaire reliant Annaba et Tunis demeure inexploitée. La voie maritime reliant les ports algériens à ceux du pays voisin subit, malheureusement, le même sort. Selon les dernières statistiques du secteur du tourisme tunisien, les Algériens sont les plus nombreux à visiter la Tunisie après les touristes français et libyens. Plus de 400 mille Algériens y ont séjourné durant la période allant du mois de janvier au mois de juillet 2012. Après les grandes sueurs froides subies par les investisseurs et opérateurs tunisiens et provoquées par une chute conséquente du flux des touristes algériens évaluée à 52% de moins durant la période allant du mois de juin à juillet, les hôtels, complexes touristiques et les résidences des particuliers ont été carrément submergés par nos vacanciers en ces derniers jours. Il faut noter, par ailleurs, que le retour des estivants de la Tunisie s'avère tout aussi surchargé.