Ce problème d'insalubrité publique constitue la préoccupation numéro 1 des citoyens et revient dans toutes les discussions, axées sur les dispositions à prendre pour conjurer les risques d'une telle situation préjudiciable à plus d'un titre, surtout si rien n'est fait d'ici la rentrée scolaire, prévue pour septembre prochain. Ce problème d'insalubrité publique constitue la préoccupation numéro 1 des citoyens et revient dans toutes les discussions, axées sur les dispositions à prendre pour conjurer les risques d'une telle situation préjudiciable à plus d'un titre, surtout si rien n'est fait d'ici la rentrée scolaire, prévue pour septembre prochain. Le volume des déchets ménagers grossit chaque jour un peu plus au niveau des niches à ordures des immeubles, des rues et autres places publiques de la ville de Tizi-Ouzou, faisant encourir un danger réel à la santé publique, sans qu'une solution ne se profile à l'horizon et aucune solution à ce jour ne vient mettre un terme à ce fléau. L'exemple de ces paysages repoussant est fourni par les dépotoirs des cités 2000-Logements et 600-Logements, où des tas d'immondices entassés sur les trottoirs, en empiétant, le plus souvent sur la voie publique, dégoulinent d'un "jus" noir d'où se dégagent des odeurs pestilentielles, obligeant les passants à se boucher le nez et a retenir leur souffle, alors que les locataires d'appartements situés près de niches à ordures, fortement incommodés par les relents qui en émanent, n'ont pas trouvé mieux que de condamner les fenêtres et balcons donnant sur ces lieux, devenus des refuges de rongeurs, de moustiques et autres agents transmetteurs de maladies diverses rapporte l'APS. Ce problème d'insalubrité publique constitue la préoccupation numéro 1 des citoyens et revient dans toutes les discussions, axées sur les dispositions à prendre pour conjurer les risques d'une telle situation préjudiciable à plus d'un titre, surtout si rien n'est fait d'ici la rentrée scolaire, prévue pour septembre prochain, préviennent des habitants de la Nouvelle-Ville. Constatant une énième fois le non enlèvement des ordures par les services de la voirie, des résidants des différents quartiers populaires de la ville des Genêts n'ont pas hésité, en guise de solution à mettre le feu à ces montagnes d'ordures, faisant fi des risques d'incendies et sans se soucier des désagréments causés par la combustion de déchets hétéroclites. Le problème d'enlèvement des ordures ménagères au niveau de la ville de Tizi-Ouzou ne date pas d'aujourd'hui, mais remonte à décembre 2011, date de l'expiration du contrat de l'entreprise "Karoum" qui était en charge de la gestion des déchets ménagers de la Nouvelle-Ville. La situation s'est exacerbée davantage suite au rejet, en mars dernier, du marché passé par l'APC de Tizi-Ouzou avec une entreprise étrangère pour un montant de 570 millions DA, pour "non conformité avec une clause du code des marchés publics, stipulant que les marchés dépassant un certain seuil sont du ressort de la commission nationale des marchés publics", a expliqué une source à la direction de wilaya de l'environnement rapporte encore l'APS Pour leur part, des citoyens, qui n'ont jamais manqué de répondre favorablement aux appels au volontariat lancés par les pouvoirs publics pour le nettoyage de la ville, ont tenu à souligner que "le volontariat n'est qu'une solution d'appoint et ne saurait dispenser l'APC d'une prise en charge radicale et définitive de ce problème récurrent qui ne cesse d'empoisonner la vie des habitants de Tizi-Ouzou" Le volume des déchets ménagers grossit chaque jour un peu plus au niveau des niches à ordures des immeubles, des rues et autres places publiques de la ville de Tizi-Ouzou, faisant encourir un danger réel à la santé publique, sans qu'une solution ne se profile à l'horizon et aucune solution à ce jour ne vient mettre un terme à ce fléau. L'exemple de ces paysages repoussant est fourni par les dépotoirs des cités 2000-Logements et 600-Logements, où des tas d'immondices entassés sur les trottoirs, en empiétant, le plus souvent sur la voie publique, dégoulinent d'un "jus" noir d'où se dégagent des odeurs pestilentielles, obligeant les passants à se boucher le nez et a retenir leur souffle, alors que les locataires d'appartements situés près de niches à ordures, fortement incommodés par les relents qui en émanent, n'ont pas trouvé mieux que de condamner les fenêtres et balcons donnant sur ces lieux, devenus des refuges de rongeurs, de moustiques et autres agents transmetteurs de maladies diverses rapporte l'APS. Ce problème d'insalubrité publique constitue la préoccupation numéro 1 des citoyens et revient dans toutes les discussions, axées sur les dispositions à prendre pour conjurer les risques d'une telle situation préjudiciable à plus d'un titre, surtout si rien n'est fait d'ici la rentrée scolaire, prévue pour septembre prochain, préviennent des habitants de la Nouvelle-Ville. Constatant une énième fois le non enlèvement des ordures par les services de la voirie, des résidants des différents quartiers populaires de la ville des Genêts n'ont pas hésité, en guise de solution à mettre le feu à ces montagnes d'ordures, faisant fi des risques d'incendies et sans se soucier des désagréments causés par la combustion de déchets hétéroclites. Le problème d'enlèvement des ordures ménagères au niveau de la ville de Tizi-Ouzou ne date pas d'aujourd'hui, mais remonte à décembre 2011, date de l'expiration du contrat de l'entreprise "Karoum" qui était en charge de la gestion des déchets ménagers de la Nouvelle-Ville. La situation s'est exacerbée davantage suite au rejet, en mars dernier, du marché passé par l'APC de Tizi-Ouzou avec une entreprise étrangère pour un montant de 570 millions DA, pour "non conformité avec une clause du code des marchés publics, stipulant que les marchés dépassant un certain seuil sont du ressort de la commission nationale des marchés publics", a expliqué une source à la direction de wilaya de l'environnement rapporte encore l'APS Pour leur part, des citoyens, qui n'ont jamais manqué de répondre favorablement aux appels au volontariat lancés par les pouvoirs publics pour le nettoyage de la ville, ont tenu à souligner que "le volontariat n'est qu'une solution d'appoint et ne saurait dispenser l'APC d'une prise en charge radicale et définitive de ce problème récurrent qui ne cesse d'empoisonner la vie des habitants de Tizi-Ouzou"