Dans un communiqué signé par l'un des chefs terroristes du Mouvement pour l'Unicité et le Jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), un certain Abou Walid Sahraoui, ce dernier a menacé l'Algérie de représailles, entre autres, d'exécution de l'un des quatre otages algériens détenus par son organisation, si les autorités algériennes ne libèrent pas les trois terroristes, dont le chef de la commission juridique d'Aqmi, Abou Ishak Essoufi, arrêtés il y a dix jours par les forces spéciales de l'ANP à Ghardaïa. En effet, L'arrestation des trois importants terroristes, dont le chef de la commission juridique d'Al-Qaïda au Maghreb (Aqmi), Abou Ishak Essoufi, par les forces spéciales de l'ANP, il y a dix jours de cela, à Ghardaïa, a chamboulé toutes les cartes des groupes terroristes du Sahel. Un coup dur qui a été, non seulement, ressenti par Aqmi, mais aussi par le Mujao et un peu moins par Ançar Eddine. La preuve, les terroristes du Mujao et par la voix d'un de leurs responsables, un certain Abou Walid Sahraoui, a menacé, hier, l'Algérie, de représailles si les trois terroristes ne seront pas relâchés par les autorités algériennes. Mieux, le même responsable du Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), organisation terroriste, présente dans le nord du Mali, a expliqué, dans le même communiqué, que des négociations ont été lancées, suite à l'arrestation d'Ishak Essoufi par l'armée algérienne, entre eux et les autorités algériennes, via bien sûr des intermédiaires. En s'expliquant sur ces négociations, le chef terroriste, Abou Walid Sahraoui dira, «Nous avons proposé au gouvernement algérien d'échanger nos trois " frères" qui ont été arrêtés par l'armée algérienne près de la ville de Ghardaïa (sud de l'Algérie) par un des otages chez le Mujao. (...) Le gouvernement algérien a rejeté l'offre. Par conséquent, l'Algérie supportera toutes les conséquences de ce refus». Avant d'ajouter : «Les moudjahidine qui sont arrêtés sont trois, dont Abd Arrahmane Abou Ishak Essoufi, chef de la commission juridique d'Aqmi (Al-Qaïda au Maghrel islamique)», a-t-il précisé. Toujours dans ce communiqué, le chef terroriste du Mujao a fixé un ultimatum de 35 jours pour les autorités algériennes afin que celles-ci relâchent les trois terroristes et éviter les représailles de son groupe terroriste. «Nous donnons, à partir de maintenant, un ultimatum de moins de trente cinq jours pour sauver la vie de l'otage» algérien, l'un de ceux qui se trouvent entre les mains du Mujao depuis avril, a poursuivi Abou Walid Sahraoui dans son communiqué. «Nous avons l'intention de traiter les autorités algériennes avec fermeté. Nous défendrons nos frères moudjahidine (...) jusqu'à la chute du régime militaire à Alger», a-t-il ajouté. Le Mujao, allié à Aqmi, et un autre groupe islamiste armé, Ançar Eddine (Défenseurs de l'islam), a revendiqué l'enlèvement, le 5 avril, de sept Algériens au consulat d'Algérie à Gao, une des villes du vaste Nord malien tombées, il y a cinq mois, entre les mains de ces groupes djihadistes. Par ailleurs, les trois terroristes clefs d'Aqmi, dont Necib Tayeb, alias Abderrahmane Abou Ishak Essoufi, ont été interpellés, le 15 août passé, lors d'une opération des forces spéciales de l'armée dans la zone de Ghardaïa. Au moment de leur arrestation, les trois hommes se trouvaient à bord d'un 4X4, à l'entrée de la ville de Berriane, sise à Ghardaïa, et se dirigeaient vers la zone du Sahel, dans le Sud. En mai, il avait exigé la libération de combattants islamistes prisonniers en Algérie et 15 millions d'euros pour relâcher les otages. Le 12 juillet, il a annoncé avoir libéré trois des sept otages et évoqué des «conditions» connues de l'Algérie pour la libération des autres captifs. Dans un communiqué signé par l'un des chefs terroristes du Mouvement pour l'Unicité et le Jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), un certain Abou Walid Sahraoui, ce dernier a menacé l'Algérie de représailles, entre autres, d'exécution de l'un des quatre otages algériens détenus par son organisation, si les autorités algériennes ne libèrent pas les trois terroristes, dont le chef de la commission juridique d'Aqmi, Abou Ishak Essoufi, arrêtés il y a dix jours par les forces spéciales de l'ANP à Ghardaïa. En effet, L'arrestation des trois importants terroristes, dont le chef de la commission juridique d'Al-Qaïda au Maghreb (Aqmi), Abou Ishak Essoufi, par les forces spéciales de l'ANP, il y a dix jours de cela, à Ghardaïa, a chamboulé toutes les cartes des groupes terroristes du Sahel. Un coup dur qui a été, non seulement, ressenti par Aqmi, mais aussi par le Mujao et un peu moins par Ançar Eddine. La preuve, les terroristes du Mujao et par la voix d'un de leurs responsables, un certain Abou Walid Sahraoui, a menacé, hier, l'Algérie, de représailles si les trois terroristes ne seront pas relâchés par les autorités algériennes. Mieux, le même responsable du Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), organisation terroriste, présente dans le nord du Mali, a expliqué, dans le même communiqué, que des négociations ont été lancées, suite à l'arrestation d'Ishak Essoufi par l'armée algérienne, entre eux et les autorités algériennes, via bien sûr des intermédiaires. En s'expliquant sur ces négociations, le chef terroriste, Abou Walid Sahraoui dira, «Nous avons proposé au gouvernement algérien d'échanger nos trois " frères" qui ont été arrêtés par l'armée algérienne près de la ville de Ghardaïa (sud de l'Algérie) par un des otages chez le Mujao. (...) Le gouvernement algérien a rejeté l'offre. Par conséquent, l'Algérie supportera toutes les conséquences de ce refus». Avant d'ajouter : «Les moudjahidine qui sont arrêtés sont trois, dont Abd Arrahmane Abou Ishak Essoufi, chef de la commission juridique d'Aqmi (Al-Qaïda au Maghrel islamique)», a-t-il précisé. Toujours dans ce communiqué, le chef terroriste du Mujao a fixé un ultimatum de 35 jours pour les autorités algériennes afin que celles-ci relâchent les trois terroristes et éviter les représailles de son groupe terroriste. «Nous donnons, à partir de maintenant, un ultimatum de moins de trente cinq jours pour sauver la vie de l'otage» algérien, l'un de ceux qui se trouvent entre les mains du Mujao depuis avril, a poursuivi Abou Walid Sahraoui dans son communiqué. «Nous avons l'intention de traiter les autorités algériennes avec fermeté. Nous défendrons nos frères moudjahidine (...) jusqu'à la chute du régime militaire à Alger», a-t-il ajouté. Le Mujao, allié à Aqmi, et un autre groupe islamiste armé, Ançar Eddine (Défenseurs de l'islam), a revendiqué l'enlèvement, le 5 avril, de sept Algériens au consulat d'Algérie à Gao, une des villes du vaste Nord malien tombées, il y a cinq mois, entre les mains de ces groupes djihadistes. Par ailleurs, les trois terroristes clefs d'Aqmi, dont Necib Tayeb, alias Abderrahmane Abou Ishak Essoufi, ont été interpellés, le 15 août passé, lors d'une opération des forces spéciales de l'armée dans la zone de Ghardaïa. Au moment de leur arrestation, les trois hommes se trouvaient à bord d'un 4X4, à l'entrée de la ville de Berriane, sise à Ghardaïa, et se dirigeaient vers la zone du Sahel, dans le Sud. En mai, il avait exigé la libération de combattants islamistes prisonniers en Algérie et 15 millions d'euros pour relâcher les otages. Le 12 juillet, il a annoncé avoir libéré trois des sept otages et évoqué des «conditions» connues de l'Algérie pour la libération des autres captifs.