Entre l'ex-ministre de la Défense nationale, Khaled Nezzar et le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, rien ne va plus. Entre l'ex-ministre de la Défense nationale, Khaled Nezzar et le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, rien ne va plus. La polémique ne fait qu'enfler entre les deux hommes et rien n'indique que d'autres acteurs de la scène nationale qui ont vécu la période du début des années 90, une des plus troubles des annales de la politique algérienne, ne vont pas se mêler à cette polémique et apporter leurs propres témoignages et vérités sur des faits politiques, objets de la discorde entre les deux hommes. Car c'est à propos de la dissolution de l'APN au tout début du mois de janvier 1992 ou à la fin du mois de décembre 1991, ainsi que sur le « renvoi » du chef du gouvernement au mois de juin 1991, Mouloud Hamrouche, que le général Nezzar et Belkhadem polémiquent. Le secrétaire général du FLN a, ainsi, réagi avant-hier aux propos de Khaled Nezzar qui l'a accusé de menteur à propos de la question de la dissolution de l'APN. Mais dans sa réaction Belkhadem s'est gardé de tout dire en promettant d'en dire davantage la semaine prochaine à Bordj Bou-Arreridj où il doit animer une rencontre régionale des cadres et militants de son parti. En clair, de Relizane où il a animé avant-hier une rencontre régionale ayant regroupé les militants des wilayas de l'ouest, Belkhadem a nié les accusations de mensonges sans trop s'étaler, il faut le dire, sur la question de la dissolution de l'APN. A l'époque des faits Abdelaziz Belkhadem, pour rappel, était président de l'APN. Au lendemain de la victoire du FIS dissous lors du premier tour des élections législatives du 26 décembre 1991, l'Algérie est entrée dans une période trouble puisque certaines forces politiques avaient alors ouvertement plaidés en faveur de l'arrêt du processus électoral . Des appels qui convergeaient amplement avec la position de l'armée nationale populaire qui, face à la démission du président Chadli Bendjedid et la dissolution de l'APN ,avait alors pesé de tout son poids pour mettre fin au processus électoral tout en en contribuant à la création du haut comité d'Etat (HCE) dont le premier Président n'était autre que le défunt Mohamed Boudiaf et dont Khaled Nezzar était membre. « J'ai toujours la même position concernant le HCE qui était un pouvoir effectif et non légitime » a indiqué Belkhadem en précisant avoir refusé la proposition qui lui a été faite pour siéger au HCE. Abdelaziz Belkhadem, qui a une nouvelle fois défendu la réconciliation nationale, a toutefois fait l'impasse sur les circonstances relatives à la dissolution l'APN. Comme il a aussi fait l'impasse sur sa participation au non du FLN à la conférence de Sant E'gidio dans la capitale italienne Rome en 1995. Il a toutefois fait la promesse d'aborder ce volet le samedi prochain à Bordj Bou-Arreridj. Le responsable du FLN n'a pas non plus fait cas des circonstances ayant entouré la démission ou le « renvoi » du chef du gouvernement, Mouloud Hamrouche. Car Khaled Nezzar a indiqué lors d'une émission de télévision sur la chaîne Enahar, que Abdelaziz Belkhadem, alors président de l'APN, a défendu l'idée de la nécessité du départ de Mouloud Hamrouche, qui était chef du gouvernement au début du mois de juin 1991, soit à l'époque de la grève générale initiée par le FIS dissous. Selon le témoignage de Nezzar, cette position de Belkhadem a été exprimée lors d'une réunion à laquelle il a assisté lui-même et ce en présence de Larbi Belkheir, alors directeur de Cabinet de Chadli Bendjedid . « Il a échoué et il doit partir » a déclaré Belkhadem lors de cette réunion a rapporté le général Khaled Nezzar lors de son témoignage sur la chaîne de télévision Enahar. La polémique ne fait qu'enfler entre les deux hommes et rien n'indique que d'autres acteurs de la scène nationale qui ont vécu la période du début des années 90, une des plus troubles des annales de la politique algérienne, ne vont pas se mêler à cette polémique et apporter leurs propres témoignages et vérités sur des faits politiques, objets de la discorde entre les deux hommes. Car c'est à propos de la dissolution de l'APN au tout début du mois de janvier 1992 ou à la fin du mois de décembre 1991, ainsi que sur le « renvoi » du chef du gouvernement au mois de juin 1991, Mouloud Hamrouche, que le général Nezzar et Belkhadem polémiquent. Le secrétaire général du FLN a, ainsi, réagi avant-hier aux propos de Khaled Nezzar qui l'a accusé de menteur à propos de la question de la dissolution de l'APN. Mais dans sa réaction Belkhadem s'est gardé de tout dire en promettant d'en dire davantage la semaine prochaine à Bordj Bou-Arreridj où il doit animer une rencontre régionale des cadres et militants de son parti. En clair, de Relizane où il a animé avant-hier une rencontre régionale ayant regroupé les militants des wilayas de l'ouest, Belkhadem a nié les accusations de mensonges sans trop s'étaler, il faut le dire, sur la question de la dissolution de l'APN. A l'époque des faits Abdelaziz Belkhadem, pour rappel, était président de l'APN. Au lendemain de la victoire du FIS dissous lors du premier tour des élections législatives du 26 décembre 1991, l'Algérie est entrée dans une période trouble puisque certaines forces politiques avaient alors ouvertement plaidés en faveur de l'arrêt du processus électoral . Des appels qui convergeaient amplement avec la position de l'armée nationale populaire qui, face à la démission du président Chadli Bendjedid et la dissolution de l'APN ,avait alors pesé de tout son poids pour mettre fin au processus électoral tout en en contribuant à la création du haut comité d'Etat (HCE) dont le premier Président n'était autre que le défunt Mohamed Boudiaf et dont Khaled Nezzar était membre. « J'ai toujours la même position concernant le HCE qui était un pouvoir effectif et non légitime » a indiqué Belkhadem en précisant avoir refusé la proposition qui lui a été faite pour siéger au HCE. Abdelaziz Belkhadem, qui a une nouvelle fois défendu la réconciliation nationale, a toutefois fait l'impasse sur les circonstances relatives à la dissolution l'APN. Comme il a aussi fait l'impasse sur sa participation au non du FLN à la conférence de Sant E'gidio dans la capitale italienne Rome en 1995. Il a toutefois fait la promesse d'aborder ce volet le samedi prochain à Bordj Bou-Arreridj. Le responsable du FLN n'a pas non plus fait cas des circonstances ayant entouré la démission ou le « renvoi » du chef du gouvernement, Mouloud Hamrouche. Car Khaled Nezzar a indiqué lors d'une émission de télévision sur la chaîne Enahar, que Abdelaziz Belkhadem, alors président de l'APN, a défendu l'idée de la nécessité du départ de Mouloud Hamrouche, qui était chef du gouvernement au début du mois de juin 1991, soit à l'époque de la grève générale initiée par le FIS dissous. Selon le témoignage de Nezzar, cette position de Belkhadem a été exprimée lors d'une réunion à laquelle il a assisté lui-même et ce en présence de Larbi Belkheir, alors directeur de Cabinet de Chadli Bendjedid . « Il a échoué et il doit partir » a déclaré Belkhadem lors de cette réunion a rapporté le général Khaled Nezzar lors de son témoignage sur la chaîne de télévision Enahar.