Un hacker algérien du quartier de Bab El Oued est réclamé par la DGSE (Direction Générale de Sécurité Extérieure) française suite aux piratages successifs de sites officiels français, parmi eux, celui du Premier ministre français. Les cyber-enquêteurs français ont localisé le PC du hacker algérois, suite aux multiples tentatives faites par ces derniers. Le même hacker algérien est soupçonné d'être l'auteur des pirateries ayant ciblé plusieurs sites de mairies françaises. La dernière en date remonte au dimanche passé, lorsque la mairie de Dieulefit, une petite ville de la Drôme a fait l'objet d'un acte de piraterie à partir d'Alger, où la piste de ce hacker de Bab El Oued est sérieusement soupçonnée. Un hacker algérien du quartier de Bab El Oued est réclamé par la DGSE (Direction Générale de Sécurité Extérieure) française suite aux piratages successifs de sites officiels français, parmi eux, celui du Premier ministre français. Les cyber-enquêteurs français ont localisé le PC du hacker algérois, suite aux multiples tentatives faites par ces derniers. Le même hacker algérien est soupçonné d'être l'auteur des pirateries ayant ciblé plusieurs sites de mairies françaises. La dernière en date remonte au dimanche passé, lorsque la mairie de Dieulefit, une petite ville de la Drôme a fait l'objet d'un acte de piraterie à partir d'Alger, où la piste de ce hacker de Bab El Oued est sérieusement soupçonnée. Les attaques de pirateries sur la Toile se succèdent sur les sites officiels français. La DGSE française qui suit ces affaires, par dizaines, a réussi d'identifier les auteurs, selon un rapport de celle-ci. Au fait, il s'agit de hackers algériens qui sont derrière une série d'attaques ciblant les sites officiels français, entre autres, le Site du Premier ministre français et une dizaine de mairies de l'Hexagone, ajoute le rapport. C'était le cas, hier, où le site hébergeant la mairie de Dieulefit a été la cible d'un groupe hacker algérien, appelé « Group HP-Hack ». Sur fond de chants guerriers en arabe, de sons d'explosions et de tirs à la kalachnikov, les vidéos mettent en scène, des terroristes en armes, brandissant des lance-roquettes, toisant «l'infidèle». La piste d'un hacker algérois, natif de Bab El Oued est sérieusement suivie par les éléments de la DGSE française. Ces derniers expliquent qu'ils sont sûrs de cette piste du moment où il s'agit de mêmes procédures et du même nom de pirate qui est derrière cette série de pirateries sur le site officiel de la mairie de Dieulefit. En juillet 2011, le même hacker algérois soupçonné d'être à nouveau derrière cette nouvelle piraterie avait réussi à contrôler les sites d'une dizaine de préfectures en France. Quatre mois plus tard, il avait attaqué ceux du Premier ministre à Paris. L'enquête l'a localisé dans le quartier de Bab El-Oued, à Alger. Son nom depuis n'a cessé de circuler dans les annales de la DGSE. Lui ou ses avatars ciblent en priorité les sites présentant des failles de sécurité. Tout simplement en pillant à distance les bases de données renfermant les codes d'accès des administrateurs des sites. Qu'ils œuvrent pour Matignon ou pour la gloire de Dieulefit. En mai 2010, un autre jeune hacker algérois, natif de Baraki, a été engagé par le Mossad israélien après avoir « brillé » sur la Toile en réussissant à pirater plusieurs sites officiels égyptiens, lors du match Algérie-Egypte comptant pour le dernier tour des éliminatoires de la Coupe du monde de football. Ce jeune hacker (voir nos éditions précédentes) avait reçu une invitation sur son compte de Facebook par une jeune fille israélienne qui lui avait proposé de se rendre dans un luxueux hôtel à Tunis, avant de rallier en sa compagnie les Etats-Unis, là où, aujourd'hui l'enfant de Baraki vit le « paradis ». Mais, contre des services qu'il doit rendre au Mossad. Revenons à l'affaire Dieulefit, le «Group HP-Hack», composé de hackers algériens, a transformé le site de cette petite ville, dans la Drôme, en espace islamiste louant les mérites du djihad. Le site de la mairie de Dieulefit n'est qu'une cible parmi d'autres, puisque les hackers algériens ont déjà piraté une dizaine de mairies françaises. Le site hébergeant la mairie de Dieulefit, une petite ville de la Drôme où près de 3500 français y résident, peut à nouveau afficher sur sa page d'accueil Internet les mines réjouies des chevaliers de la «confrérie du picodon». Il y a quelques heures encore, on y vantait à la place les mérites du djihad, vidéo à l'appui. Un pirate informatique algérien s'était emparé presque deux jours durant des droits d'administrateur du site pour y déverser un flot de propos d'islamistes, au grand dam de la maire, qui a découvert la mauvaise plaisanterie, dimanche passé, en rentrant de l'université d'été du PS à La Rochelle. Les autorités prennent l'affaire très au sérieux. Une plainte en bonne et due forme a été déposée à la gendarmerie. Car le pirate algérien, qui s'amuse à donner des adresses pour lui envoyer des courriels et invite son public pris en otage à s'abonner à des chaînes de vidéos sur You Tube qui font l'apologie la guerre sainte, a déjà frappé maintes fois. Sous l'appellation de «Group HP-Hack» (Hack pour hacker, pirate du Net en anglais), le groupe, composé essentiellement de pirates du Net algérien, a ainsi pris le contrôle samedi passé du site de l'académie de Reims, mais également de celui de la ville. Ce même groupe s'était déjà illustré en visant le site des Fraternités monastiques de Jérusalem, hébergé par la Conférence des évêques de France, d'abord en 2011, puis le 20 août dernier. Ce jour-là, il y diffusa une photo de La Mecque ainsi légendée : «I love you Mecca.» L'incident coïncidait avec la fin du Ramadhan. Les attaques de pirateries sur la Toile se succèdent sur les sites officiels français. La DGSE française qui suit ces affaires, par dizaines, a réussi d'identifier les auteurs, selon un rapport de celle-ci. Au fait, il s'agit de hackers algériens qui sont derrière une série d'attaques ciblant les sites officiels français, entre autres, le Site du Premier ministre français et une dizaine de mairies de l'Hexagone, ajoute le rapport. C'était le cas, hier, où le site hébergeant la mairie de Dieulefit a été la cible d'un groupe hacker algérien, appelé « Group HP-Hack ». Sur fond de chants guerriers en arabe, de sons d'explosions et de tirs à la kalachnikov, les vidéos mettent en scène, des terroristes en armes, brandissant des lance-roquettes, toisant «l'infidèle». La piste d'un hacker algérois, natif de Bab El Oued est sérieusement suivie par les éléments de la DGSE française. Ces derniers expliquent qu'ils sont sûrs de cette piste du moment où il s'agit de mêmes procédures et du même nom de pirate qui est derrière cette série de pirateries sur le site officiel de la mairie de Dieulefit. En juillet 2011, le même hacker algérois soupçonné d'être à nouveau derrière cette nouvelle piraterie avait réussi à contrôler les sites d'une dizaine de préfectures en France. Quatre mois plus tard, il avait attaqué ceux du Premier ministre à Paris. L'enquête l'a localisé dans le quartier de Bab El-Oued, à Alger. Son nom depuis n'a cessé de circuler dans les annales de la DGSE. Lui ou ses avatars ciblent en priorité les sites présentant des failles de sécurité. Tout simplement en pillant à distance les bases de données renfermant les codes d'accès des administrateurs des sites. Qu'ils œuvrent pour Matignon ou pour la gloire de Dieulefit. En mai 2010, un autre jeune hacker algérois, natif de Baraki, a été engagé par le Mossad israélien après avoir « brillé » sur la Toile en réussissant à pirater plusieurs sites officiels égyptiens, lors du match Algérie-Egypte comptant pour le dernier tour des éliminatoires de la Coupe du monde de football. Ce jeune hacker (voir nos éditions précédentes) avait reçu une invitation sur son compte de Facebook par une jeune fille israélienne qui lui avait proposé de se rendre dans un luxueux hôtel à Tunis, avant de rallier en sa compagnie les Etats-Unis, là où, aujourd'hui l'enfant de Baraki vit le « paradis ». Mais, contre des services qu'il doit rendre au Mossad. Revenons à l'affaire Dieulefit, le «Group HP-Hack», composé de hackers algériens, a transformé le site de cette petite ville, dans la Drôme, en espace islamiste louant les mérites du djihad. Le site de la mairie de Dieulefit n'est qu'une cible parmi d'autres, puisque les hackers algériens ont déjà piraté une dizaine de mairies françaises. Le site hébergeant la mairie de Dieulefit, une petite ville de la Drôme où près de 3500 français y résident, peut à nouveau afficher sur sa page d'accueil Internet les mines réjouies des chevaliers de la «confrérie du picodon». Il y a quelques heures encore, on y vantait à la place les mérites du djihad, vidéo à l'appui. Un pirate informatique algérien s'était emparé presque deux jours durant des droits d'administrateur du site pour y déverser un flot de propos d'islamistes, au grand dam de la maire, qui a découvert la mauvaise plaisanterie, dimanche passé, en rentrant de l'université d'été du PS à La Rochelle. Les autorités prennent l'affaire très au sérieux. Une plainte en bonne et due forme a été déposée à la gendarmerie. Car le pirate algérien, qui s'amuse à donner des adresses pour lui envoyer des courriels et invite son public pris en otage à s'abonner à des chaînes de vidéos sur You Tube qui font l'apologie la guerre sainte, a déjà frappé maintes fois. Sous l'appellation de «Group HP-Hack» (Hack pour hacker, pirate du Net en anglais), le groupe, composé essentiellement de pirates du Net algérien, a ainsi pris le contrôle samedi passé du site de l'académie de Reims, mais également de celui de la ville. Ce même groupe s'était déjà illustré en visant le site des Fraternités monastiques de Jérusalem, hébergé par la Conférence des évêques de France, d'abord en 2011, puis le 20 août dernier. Ce jour-là, il y diffusa une photo de La Mecque ainsi légendée : «I love you Mecca.» L'incident coïncidait avec la fin du Ramadhan.