Dans un communiqué rendu public, avant-hier, les terroristes du Mujao (Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest), ont annoncé l'exécution du vice-consul algérien à Gao, Tahar Touati, après l'expiration de l'ultimatum fixé par ces derniers aux autorités algériennes, après qu'Alger ait refusé de libérer les trois terroristes arrêtés le 15 août à Ghardaïa. Dans le même communiqué, signé par un certain Abou El Walid Sahraoui, le Mujao menace, une nouvelle fois, de cibler les intérêts algériens en s'attaquant aux édifices publics et aux institutions militaires. Le Mujao menace de porter sa "guerre" dans les villes algériennes, cela au moment où le sort des trois diplomates algériens, dont le consul, Boualem Sias, reste inconnu. Dans un communiqué rendu public, avant-hier, les terroristes du Mujao (Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest), ont annoncé l'exécution du vice-consul algérien à Gao, Tahar Touati, après l'expiration de l'ultimatum fixé par ces derniers aux autorités algériennes, après qu'Alger ait refusé de libérer les trois terroristes arrêtés le 15 août à Ghardaïa. Dans le même communiqué, signé par un certain Abou El Walid Sahraoui, le Mujao menace, une nouvelle fois, de cibler les intérêts algériens en s'attaquant aux édifices publics et aux institutions militaires. Le Mujao menace de porter sa "guerre" dans les villes algériennes, cela au moment où le sort des trois diplomates algériens, dont le consul, Boualem Sias, reste inconnu. Tahar Touati, le vice-consul algérien à Gao, enlevé le 5 avril passé en compagnie de six autres diplomates, dont le consul algérien, Boualem Sias, par un groupe terroriste se revendiquant du Mujao, a été exécuté, durant la matinée de samedi. Rappelons que trois des sept otages ont été libérés à la fin du mois de juin dernier. Les terroristes du Mujao avaient, exigé des autorités algériennes de libérer trois terroristes, parmi eux le chef de la commission juridique d'Al-Qaïda au Maghreb Islamique (Aqmi), Necib Tayeb, alias Ishak Essoufi, arrêté le 15 août dernier à Ghardaïa. Cette exécution suivie de menaces de représailles contre Alger intervient au moment où le Mujao tente d'avancer vers le sud du Mali pour tenter d'occuper d'autres villes stratégiques. Selon le même communiqué, l'exécution de l'otage est intervenue à la « dernière minute » lorsque les négociateurs se sont retirés des discussions menées autour de la libération de l'otage. Le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao) avait annoncé, mardi 28 août, avoir prolongé de 48 heures l'ultimatum fixé aux autorités algériennes pour satisfaire ses revendications contre la remise en liberté des otages détenus depuis le 5 avril dernier. Les ravisseurs menaçaient d'exécuter les quatre otages. Dans une vidéo, rendue publique dimanche dernier, les ravisseurs, par la voie d'un otage algérien, ont donné un ultimatum de cinq jours aux autorités algériennes pour satisfaire leurs revendications sous peine d'exécuter les otages pour lesquels ils réclament en outre une rançon de 15 millions d'euros. Le Mujao avait déjà revendiqué plusieurs attaques et deux attentats kamikazes qui ont ciblé deux institutions de la Gendarmerie nationale à Ouargla et à Tamanrasset, dans le sud de l'Algérie. Le même groupe terroriste est derrière, également, le rapt des trois humanitaires occidentaux dans les camps des réfugiés sahraouis à Tindouf, puis de l'embuscade contre une patrouille des GGF sur le long tracé frontalier algéro-marocain occasionnant la mort de quatre GGF. Le Mujao, cette mystérieuse organisation criminelle créée quelque part pour une mission très précise, celle de cibler l'Algérie. C'est au niveau des frontières algériennes que ce groupe criminel, compte exécuter des attentats terroristes pour tenter de déstabiliser le dispositif sécuritaire algérien. Toutefois, les autorités algériennes sont très conscientes des dangers que représente cette organisation étrangère. Pour cette raison, beaucoup de moyens militaires ont été mobilisés le long de la frontière algéro-malienne, cela en guise de représailles des attentats et d'éventuelles infiltrations des membres du Mujao vers le Sud algérien. Tahar Touati, le vice-consul algérien à Gao, enlevé le 5 avril passé en compagnie de six autres diplomates, dont le consul algérien, Boualem Sias, par un groupe terroriste se revendiquant du Mujao, a été exécuté, durant la matinée de samedi. Rappelons que trois des sept otages ont été libérés à la fin du mois de juin dernier. Les terroristes du Mujao avaient, exigé des autorités algériennes de libérer trois terroristes, parmi eux le chef de la commission juridique d'Al-Qaïda au Maghreb Islamique (Aqmi), Necib Tayeb, alias Ishak Essoufi, arrêté le 15 août dernier à Ghardaïa. Cette exécution suivie de menaces de représailles contre Alger intervient au moment où le Mujao tente d'avancer vers le sud du Mali pour tenter d'occuper d'autres villes stratégiques. Selon le même communiqué, l'exécution de l'otage est intervenue à la « dernière minute » lorsque les négociateurs se sont retirés des discussions menées autour de la libération de l'otage. Le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao) avait annoncé, mardi 28 août, avoir prolongé de 48 heures l'ultimatum fixé aux autorités algériennes pour satisfaire ses revendications contre la remise en liberté des otages détenus depuis le 5 avril dernier. Les ravisseurs menaçaient d'exécuter les quatre otages. Dans une vidéo, rendue publique dimanche dernier, les ravisseurs, par la voie d'un otage algérien, ont donné un ultimatum de cinq jours aux autorités algériennes pour satisfaire leurs revendications sous peine d'exécuter les otages pour lesquels ils réclament en outre une rançon de 15 millions d'euros. Le Mujao avait déjà revendiqué plusieurs attaques et deux attentats kamikazes qui ont ciblé deux institutions de la Gendarmerie nationale à Ouargla et à Tamanrasset, dans le sud de l'Algérie. Le même groupe terroriste est derrière, également, le rapt des trois humanitaires occidentaux dans les camps des réfugiés sahraouis à Tindouf, puis de l'embuscade contre une patrouille des GGF sur le long tracé frontalier algéro-marocain occasionnant la mort de quatre GGF. Le Mujao, cette mystérieuse organisation criminelle créée quelque part pour une mission très précise, celle de cibler l'Algérie. C'est au niveau des frontières algériennes que ce groupe criminel, compte exécuter des attentats terroristes pour tenter de déstabiliser le dispositif sécuritaire algérien. Toutefois, les autorités algériennes sont très conscientes des dangers que représente cette organisation étrangère. Pour cette raison, beaucoup de moyens militaires ont été mobilisés le long de la frontière algéro-malienne, cela en guise de représailles des attentats et d'éventuelles infiltrations des membres du Mujao vers le Sud algérien.