C'est aujourd'hui que s'achève la visite de trois jours qu'a effectuée la ministre française chargée de la Francophonie, Yamina Benguigui en Algérie. Cette visite, qui s'inscrit dans le cadre de la préparation bilatérale de la rencontre du président français, François Hollande et le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, prévue à Alger avant la fin de l'année, a été une occasion pour s'entretenir sur les possibilités d'élargir les échanges, notamment, culturels entre les deux Etats. C'est aujourd'hui que s'achève la visite de trois jours qu'a effectuée la ministre française chargée de la Francophonie, Yamina Benguigui en Algérie. Cette visite, qui s'inscrit dans le cadre de la préparation bilatérale de la rencontre du président français, François Hollande et le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, prévue à Alger avant la fin de l'année, a été une occasion pour s'entretenir sur les possibilités d'élargir les échanges, notamment, culturels entre les deux Etats. Auparavant et à son arrivée, jeudi, à l'aéroport d'Alger, Yamina Benguigui avait fait part de l'importance qu'accorde la partie française à cette rencontre entre les deux chefs d'Etats. « Nous préparons cette visite avec vraiment beaucoup de joie », a-t-elle déclaré. « Ce n'est pas un terme que l'on emploie souvent en diplomatie mais moi je vous le dis », a-t-elle ajouté. En effet, cette visite, la deuxième en son genre après celle effectuée, dernièrement, par le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, s'inscrit dans le cadre de la préparation de celle du président français, François Hollande. Evoquant les objectifs de la visite présidentielle qu'effectuera, bientôt, le président français en Algerie, Yamina Benguigui a estimé qu'elle aura des effets « bénéfiques » sur les relations bilatérales. La ministre française d'origine algérienne, a indiqué, à ce propos, que les préparatifs bilatéraux de cette visite très attendue des deux côtés s'effectuent dans une « très bonne mentalité ». Il faut dire que la représentante de l'Etat français a été chargée d'évoquer les dossiers concernant les échanges culturels entre l'Algérie et la France et plus particulièrement, celui de l'enseignement de la langue française dans le pays. Il est question, en ce sens, de s'entretenir avec les responsables algériens sur les possibilités d'améliorer la coopération entre les deux pays en cette matière. Elle dira, à ce propos, que « la langue française est aujourd'hui une langue solidaire, légalitaire, une langue qui rassemble à hauteur d'Homme », et de poursuivre « Elle (langue française) doit aujourd'hui être le fleuve fédérateur qui fédère les peuples de la francophonie ». Rappelant, par cette même occasion, le passage du président François Hollande en Algérie, la ministre française d'origine algérienne a révélé qu' « il (François Hollande) a passé du temps en Algérie. Il est venu quand il était étudiant et il en est très touché », a-t-elle affirmé. Dans ce même sillage, Yamina Benguigui a annoncé la venue prochaine du ministre de l'Intérieur, Manuel Valls attendu à Alger dans ce même cadre. Par ailleurs, Yamina Benguigui n'a pas omis cette occasion pour revenir sur son engagement et son combat pour les droits des immigrés dans la société française, considérant que « cette lutte, qui dure depuis plus de vingt ans, est un combat qu'on ne laisse pas à la porte d'un ministère», affirmant, au passage, que cette cause « fait partie de mon identité et de ma personnalité». Il faut rappeler qu'à son arrivée à l'aéroport Houari-Boumediene d'Alger, la ministre française a été accueillie par le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel. Sa visite de travail à Alger a été une occasion pour s'entretenir avec plusieurs responsables de l'Etat algérien. Auparavant et à son arrivée, jeudi, à l'aéroport d'Alger, Yamina Benguigui avait fait part de l'importance qu'accorde la partie française à cette rencontre entre les deux chefs d'Etats. « Nous préparons cette visite avec vraiment beaucoup de joie », a-t-elle déclaré. « Ce n'est pas un terme que l'on emploie souvent en diplomatie mais moi je vous le dis », a-t-elle ajouté. En effet, cette visite, la deuxième en son genre après celle effectuée, dernièrement, par le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, s'inscrit dans le cadre de la préparation de celle du président français, François Hollande. Evoquant les objectifs de la visite présidentielle qu'effectuera, bientôt, le président français en Algerie, Yamina Benguigui a estimé qu'elle aura des effets « bénéfiques » sur les relations bilatérales. La ministre française d'origine algérienne, a indiqué, à ce propos, que les préparatifs bilatéraux de cette visite très attendue des deux côtés s'effectuent dans une « très bonne mentalité ». Il faut dire que la représentante de l'Etat français a été chargée d'évoquer les dossiers concernant les échanges culturels entre l'Algérie et la France et plus particulièrement, celui de l'enseignement de la langue française dans le pays. Il est question, en ce sens, de s'entretenir avec les responsables algériens sur les possibilités d'améliorer la coopération entre les deux pays en cette matière. Elle dira, à ce propos, que « la langue française est aujourd'hui une langue solidaire, légalitaire, une langue qui rassemble à hauteur d'Homme », et de poursuivre « Elle (langue française) doit aujourd'hui être le fleuve fédérateur qui fédère les peuples de la francophonie ». Rappelant, par cette même occasion, le passage du président François Hollande en Algérie, la ministre française d'origine algérienne a révélé qu' « il (François Hollande) a passé du temps en Algérie. Il est venu quand il était étudiant et il en est très touché », a-t-elle affirmé. Dans ce même sillage, Yamina Benguigui a annoncé la venue prochaine du ministre de l'Intérieur, Manuel Valls attendu à Alger dans ce même cadre. Par ailleurs, Yamina Benguigui n'a pas omis cette occasion pour revenir sur son engagement et son combat pour les droits des immigrés dans la société française, considérant que « cette lutte, qui dure depuis plus de vingt ans, est un combat qu'on ne laisse pas à la porte d'un ministère», affirmant, au passage, que cette cause « fait partie de mon identité et de ma personnalité». Il faut rappeler qu'à son arrivée à l'aéroport Houari-Boumediene d'Alger, la ministre française a été accueillie par le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel. Sa visite de travail à Alger a été une occasion pour s'entretenir avec plusieurs responsables de l'Etat algérien.