Le secrétaire général du Croissant- Rouge algérien (CRA), Lahcène Bouchakour, a appelé vendredi dernier les réfugiés syriens en Algérie à rejoindre les centres d'accueil aménagés pour eux afin de pouvoir inscrire leurs enfants en âge de scolarisation pour l'année 2012/2013. Auparavant, le ministère de l'Education avait fait part de la décision de l'Etat d'assurer la scolarisation de tous les enfants des réfugiés syriens en Algérie, qu'ils soient avec ou sans papiers. En ce sens, avait-on indiqué, les enfants de réfugiés syriens établis en Algérie et ceux des membres de la communauté algérienne ayant fui la Syrie en raison de la situation dans ce pays seront pris en charge par l'Etat algérien. A cet effet, les différentes directions de l'Education ont été instruites afin d'autoriser les inscriptions des enfants de réfugiés dans les écoles algériennes pour cette nouvelle année scolaire. En fait, constatant le flux important des familles syriennes qui se sont réfugiées chez nous, l'Etat algérien a dû mobiliser de nombreux centres d'accueil à travers plusieurs zones, notamment, le village africain situé à Alger et qui a été spécialement aménagé pour garantir l'hébergement des centaines de familles réfugiées. Les autorités algériennes ont tenté également de mettre à la disposition de nos hôtes syriens tout le nécessaire du quotidien en matière d'équipements et d'approvisionnement alimentaire. Invités à rejoindre ces centres d'accueil, peu de Syriens ont répondu à cet appel. Hormis les quelques dizaines de familles ayant accepté d'être hébergées dans ces centres, beaucoup d'autres réfugiés ont choisi d'élire domicile à la rue. Malgré les multiples tentatives de les convaincre à se regrouper dans les centres, beaucoup de familles ont décliné l'invitation, jugeant, que les lieux désignés, ne répondent pas au cadre de vie qu'ils espéraient en Algérie. Des dizaines de pères de familles syriennes ont carrément rejeté cette solution humanitaire, qu'ils ont jugée inadaptée. Certains d'entre-eux ont même été jusqu'à reprocher aux autorités algériennes la mobilisation des dispositifs de sécurité au niveau de ces centres. Et pourtant, les autorités algériennes avaient bien expliqué que ces démarches n'étaient qu'une première phase d'un plan d'action de solidarité réfléchi par différentes parties concernées, notamment, le ministère de la Solidarité nationale et les différents services et organismes compétents. Le plan mis en vigueur pour venir en aide aux réfugiés sans abri a suscité le concours de la Sûreté nationale, du Croissant-Rouge algérien, de la Protection civile, des Scouts musulmans algériens et des acteurs de la société civile. Le ministère de l'intérieur avait précisé que dans une deuxième phase et au terme d'un recensement plus exhaustif qui demandera quelques jours, d'autres mesures déjà envisagées seront mises en œuvre. La plus importante étant, sans aucun doute, la scolarisation des enfants des réfugiés dans les écoles algériennes. Bien qu'une semaine soit, déjà, passée depuis le lancement officiel de la nouvelle année pédagogique 2012/2013, et que des garanties aient été apportées aux réfugiés syriens, beaucoup d'enfants, attendus au niveau des écoles, n'y sont toujours pas inscrits. D'où l'appel lancé par le SG du Croissant-Rouge algérien. Le fait de réintégrer les centres d'accueil, permettra, en fait, à ces familles de se fixer une adresse, à partir de laquelle les modalités de scolarisation de leurs enfants pourront se faire. Il est à rappeler, que depuis le début du mois de mai écoulé, plusieurs milliers de Syriens ont porté leur choix sur le sol algérien comme terre de refuge. Des centaines de parents accompagnés de leurs enfants, ayant refusé de rejoindre les camps aménagés à titre gracieux pour eux, continuent à solliciter les âmes charitables dans les rues et à quémander des aides pour payer les charges de leur hébergement et nourriture. Le secrétaire général du Croissant- Rouge algérien (CRA), Lahcène Bouchakour, a appelé vendredi dernier les réfugiés syriens en Algérie à rejoindre les centres d'accueil aménagés pour eux afin de pouvoir inscrire leurs enfants en âge de scolarisation pour l'année 2012/2013. Auparavant, le ministère de l'Education avait fait part de la décision de l'Etat d'assurer la scolarisation de tous les enfants des réfugiés syriens en Algérie, qu'ils soient avec ou sans papiers. En ce sens, avait-on indiqué, les enfants de réfugiés syriens établis en Algérie et ceux des membres de la communauté algérienne ayant fui la Syrie en raison de la situation dans ce pays seront pris en charge par l'Etat algérien. A cet effet, les différentes directions de l'Education ont été instruites afin d'autoriser les inscriptions des enfants de réfugiés dans les écoles algériennes pour cette nouvelle année scolaire. En fait, constatant le flux important des familles syriennes qui se sont réfugiées chez nous, l'Etat algérien a dû mobiliser de nombreux centres d'accueil à travers plusieurs zones, notamment, le village africain situé à Alger et qui a été spécialement aménagé pour garantir l'hébergement des centaines de familles réfugiées. Les autorités algériennes ont tenté également de mettre à la disposition de nos hôtes syriens tout le nécessaire du quotidien en matière d'équipements et d'approvisionnement alimentaire. Invités à rejoindre ces centres d'accueil, peu de Syriens ont répondu à cet appel. Hormis les quelques dizaines de familles ayant accepté d'être hébergées dans ces centres, beaucoup d'autres réfugiés ont choisi d'élire domicile à la rue. Malgré les multiples tentatives de les convaincre à se regrouper dans les centres, beaucoup de familles ont décliné l'invitation, jugeant, que les lieux désignés, ne répondent pas au cadre de vie qu'ils espéraient en Algérie. Des dizaines de pères de familles syriennes ont carrément rejeté cette solution humanitaire, qu'ils ont jugée inadaptée. Certains d'entre-eux ont même été jusqu'à reprocher aux autorités algériennes la mobilisation des dispositifs de sécurité au niveau de ces centres. Et pourtant, les autorités algériennes avaient bien expliqué que ces démarches n'étaient qu'une première phase d'un plan d'action de solidarité réfléchi par différentes parties concernées, notamment, le ministère de la Solidarité nationale et les différents services et organismes compétents. Le plan mis en vigueur pour venir en aide aux réfugiés sans abri a suscité le concours de la Sûreté nationale, du Croissant-Rouge algérien, de la Protection civile, des Scouts musulmans algériens et des acteurs de la société civile. Le ministère de l'intérieur avait précisé que dans une deuxième phase et au terme d'un recensement plus exhaustif qui demandera quelques jours, d'autres mesures déjà envisagées seront mises en œuvre. La plus importante étant, sans aucun doute, la scolarisation des enfants des réfugiés dans les écoles algériennes. Bien qu'une semaine soit, déjà, passée depuis le lancement officiel de la nouvelle année pédagogique 2012/2013, et que des garanties aient été apportées aux réfugiés syriens, beaucoup d'enfants, attendus au niveau des écoles, n'y sont toujours pas inscrits. D'où l'appel lancé par le SG du Croissant-Rouge algérien. Le fait de réintégrer les centres d'accueil, permettra, en fait, à ces familles de se fixer une adresse, à partir de laquelle les modalités de scolarisation de leurs enfants pourront se faire. Il est à rappeler, que depuis le début du mois de mai écoulé, plusieurs milliers de Syriens ont porté leur choix sur le sol algérien comme terre de refuge. Des centaines de parents accompagnés de leurs enfants, ayant refusé de rejoindre les camps aménagés à titre gracieux pour eux, continuent à solliciter les âmes charitables dans les rues et à quémander des aides pour payer les charges de leur hébergement et nourriture.