La démocratie en Algérie se porte bien. C'est là le constat fait par le président de l'Assemblée populaire nationale (APN), Mohamed Larbi Ould Khelifa. La démocratie en Algérie se porte bien. C'est là le constat fait par le président de l'Assemblée populaire nationale (APN), Mohamed Larbi Ould Khelifa. «Le 29 novembre sera une confirmation du rendez- vous de la pratique démocratique et verra la participation des courants politiques aux élections des APC et APW, avec les candidats qu'ils auront choisis, en toute liberté et transparence, notre pays parachèvera ainsi son édification de la démocratie à tous les niveaux de la gestion, du contrôle et de la législation dans un climat de sérénité et de stabilité, et la participation du peuple dans les questions publiques, tel qu'il est prévu dans les principes de la Révolution, prônant que le pouvoir appartient au peuple et que c'est lui qui choisit les responsables et les contrôle à travers les assemblées élues », a en effet indiqué, hier le président de l'APN lors d'une allocution prononcée à l'occasion de la tenue de la journée parlementaire portant sur « le dialogue et l'intégration , composantes principales de la démocratie », organisée conjointement par les deux chambres du Parlement. « L'Algérie a repris son processus démocratique après la réussite du projet de la réconciliation nationale, adopté par le peuple à une large majorité écrasante. C'était le prélude des grandes réalisations du président Abdelaziz Bouteflika ; il n'y a pas de voie au développement durable et à l'édification démocratique si la sécurité et la paix ne sont pas réalisées à travers l'ensemble du pays », a estimé l'orateur ajoutant que « notre pays a accéléré ses pas sur les deux axes susmentionnés et a entrepris une série de réformes profondes et globales, initiées par le président de la République au mois d'avril de l'année dernière, dont l'un de ses fruits est la réussite des élections législatives du 10 mai et la déception de ceux qui présageaient la contagion de ce qu'on appelle le printemps arabe ». Le troisième personnage de l'Etat a, ainsi, fait chorus avec tous les officiels algériens qui ont critiqué les « révolutions » qui se sont produites dans le monde arabe et dénommée communément « le printemps arabe » car pour Larbi Ould Khelifa « le printemps s'est transformé en tempête augurant que la situation actuelle ne sera pas meilleure que celle qui l'a précédée , si ce n'est pire ». En ouvrant cette brèche, le président de l'APN n'a pas manqué aussi de lancer quelques pics aux Français. En effet, après avoir rappelé quelques vérités historiques du passé colonial de la France en Algérie, à l'exemple des génocides et de la loi sur l'indigénat, Ould Khelifa dira que « les cercles d'outre- mer n'ont pas le droit de se proclamer professeurs jaloux de la démocratie et des droits de l'homme dans notre pays parce que leur passé colonial ne les habilite pas à le faire». Dès lors le président de la Chambre basse a mis en avant le droit de chaque pays « à choisir son système politique », car, selon lui, « il n'y a pas d'exemple démocratique complet et final qui peut être reproduit dans tous les pays du monde ». Ould Khelifa fait ainsi allusion à la spécificité de l'Algérie lorsqu'il a précisé que « la démocratie dans notre pays a un référent séculaire que nous retrouvons dans notre culture traditionnelle ». Notons que lors des débats, beaucoup de parlementaires, surtout des députés, ont évoqué l'épineuse question de la relation qu'ils entretiennent avec les autorités locales. Une relation qui demeure complexe et difficile, du fait comme cela a été mis en avant, de l'opacité des textes juridiques qui n'explicitent pas cette relation et ne précisent pas aussi le champ d'intervention des députés au niveau local. «Le 29 novembre sera une confirmation du rendez- vous de la pratique démocratique et verra la participation des courants politiques aux élections des APC et APW, avec les candidats qu'ils auront choisis, en toute liberté et transparence, notre pays parachèvera ainsi son édification de la démocratie à tous les niveaux de la gestion, du contrôle et de la législation dans un climat de sérénité et de stabilité, et la participation du peuple dans les questions publiques, tel qu'il est prévu dans les principes de la Révolution, prônant que le pouvoir appartient au peuple et que c'est lui qui choisit les responsables et les contrôle à travers les assemblées élues », a en effet indiqué, hier le président de l'APN lors d'une allocution prononcée à l'occasion de la tenue de la journée parlementaire portant sur « le dialogue et l'intégration , composantes principales de la démocratie », organisée conjointement par les deux chambres du Parlement. « L'Algérie a repris son processus démocratique après la réussite du projet de la réconciliation nationale, adopté par le peuple à une large majorité écrasante. C'était le prélude des grandes réalisations du président Abdelaziz Bouteflika ; il n'y a pas de voie au développement durable et à l'édification démocratique si la sécurité et la paix ne sont pas réalisées à travers l'ensemble du pays », a estimé l'orateur ajoutant que « notre pays a accéléré ses pas sur les deux axes susmentionnés et a entrepris une série de réformes profondes et globales, initiées par le président de la République au mois d'avril de l'année dernière, dont l'un de ses fruits est la réussite des élections législatives du 10 mai et la déception de ceux qui présageaient la contagion de ce qu'on appelle le printemps arabe ». Le troisième personnage de l'Etat a, ainsi, fait chorus avec tous les officiels algériens qui ont critiqué les « révolutions » qui se sont produites dans le monde arabe et dénommée communément « le printemps arabe » car pour Larbi Ould Khelifa « le printemps s'est transformé en tempête augurant que la situation actuelle ne sera pas meilleure que celle qui l'a précédée , si ce n'est pire ». En ouvrant cette brèche, le président de l'APN n'a pas manqué aussi de lancer quelques pics aux Français. En effet, après avoir rappelé quelques vérités historiques du passé colonial de la France en Algérie, à l'exemple des génocides et de la loi sur l'indigénat, Ould Khelifa dira que « les cercles d'outre- mer n'ont pas le droit de se proclamer professeurs jaloux de la démocratie et des droits de l'homme dans notre pays parce que leur passé colonial ne les habilite pas à le faire». Dès lors le président de la Chambre basse a mis en avant le droit de chaque pays « à choisir son système politique », car, selon lui, « il n'y a pas d'exemple démocratique complet et final qui peut être reproduit dans tous les pays du monde ». Ould Khelifa fait ainsi allusion à la spécificité de l'Algérie lorsqu'il a précisé que « la démocratie dans notre pays a un référent séculaire que nous retrouvons dans notre culture traditionnelle ». Notons que lors des débats, beaucoup de parlementaires, surtout des députés, ont évoqué l'épineuse question de la relation qu'ils entretiennent avec les autorités locales. Une relation qui demeure complexe et difficile, du fait comme cela a été mis en avant, de l'opacité des textes juridiques qui n'explicitent pas cette relation et ne précisent pas aussi le champ d'intervention des députés au niveau local.