Le film de propagande anti-Islam Innocence des musulmans, réalisé par un Copte d'Egypte et produit par un Israélien, a soulevé un tollé dans le monde musulman. Toutes les capitales des pays arabes ont manifesté leur colère après la diffusion sur Internet de ce film qui dénigre le prophète et l'Islam, une religion qui compte plus d'un milliard d'adeptes. Ce film est loin d'être innocent, son producteur qui se réclame de l'Etat d'Israël a fait dans la provocation, un piège qu'il a tendu pour enfermer l'opinion musulmane hostile à l'Occident. Une propagande sioniste qui a provoqué une étincelle qui a bien failli mettre le feu aux poudres. On l'aura vu avec l'assaut donné à l'ambassade américaine qui s'est soldé par quatre morts et bien d'autres victimes dans les pays musulmans. Non content de voir le monde s'embraser, le magazine Charlie Hebdo en a remis une couche en publiant des caricatures offensantes au prophète Mohamed et ainsi suscité une explosion de colère des musulmans de Paris qui devaient se rassembler devant la Mosquée de Paris malgré les appels au calme du Conseil français du culte musulman. Les ambassades américaines et françaises sont la cible des manifestants qui menacent leurs ressortissants. Mais pourquoi Charlie Hebdo, a-t-il mis de l'huile sur le feu en publiant ces caricatures tout de suite après la diffusion du film de propagande anti-Islam ? Certainement pas au nom de la sacro-sainte liberté d'expression que le journal brandit à tire-larigot. Ne cherche-t-on pas à justifier une intervention américaine, une idée belliqueuse répandue dans le monde musulman. Au rythme des provocations comme la toute dernière de Marine Le Pen qui veut une loi pour interdire dans tous les espaces publics en France le port du voile et de la kippa. Tous les ingrédients sont réunis pour déclencher dans le monde de véritables guerres de religion, la France s'en souvient elle qui a connu l'échec de la tolérance civile avec ses huit périodes de guerre. Elle devrait retenir la leçon. Le film de propagande anti-Islam Innocence des musulmans, réalisé par un Copte d'Egypte et produit par un Israélien, a soulevé un tollé dans le monde musulman. Toutes les capitales des pays arabes ont manifesté leur colère après la diffusion sur Internet de ce film qui dénigre le prophète et l'Islam, une religion qui compte plus d'un milliard d'adeptes. Ce film est loin d'être innocent, son producteur qui se réclame de l'Etat d'Israël a fait dans la provocation, un piège qu'il a tendu pour enfermer l'opinion musulmane hostile à l'Occident. Une propagande sioniste qui a provoqué une étincelle qui a bien failli mettre le feu aux poudres. On l'aura vu avec l'assaut donné à l'ambassade américaine qui s'est soldé par quatre morts et bien d'autres victimes dans les pays musulmans. Non content de voir le monde s'embraser, le magazine Charlie Hebdo en a remis une couche en publiant des caricatures offensantes au prophète Mohamed et ainsi suscité une explosion de colère des musulmans de Paris qui devaient se rassembler devant la Mosquée de Paris malgré les appels au calme du Conseil français du culte musulman. Les ambassades américaines et françaises sont la cible des manifestants qui menacent leurs ressortissants. Mais pourquoi Charlie Hebdo, a-t-il mis de l'huile sur le feu en publiant ces caricatures tout de suite après la diffusion du film de propagande anti-Islam ? Certainement pas au nom de la sacro-sainte liberté d'expression que le journal brandit à tire-larigot. Ne cherche-t-on pas à justifier une intervention américaine, une idée belliqueuse répandue dans le monde musulman. Au rythme des provocations comme la toute dernière de Marine Le Pen qui veut une loi pour interdire dans tous les espaces publics en France le port du voile et de la kippa. Tous les ingrédients sont réunis pour déclencher dans le monde de véritables guerres de religion, la France s'en souvient elle qui a connu l'échec de la tolérance civile avec ses huit périodes de guerre. Elle devrait retenir la leçon.