Le Plan d'action du gouvernement, présenté par le Premier ministre Abdelmalek Sellal et débattu durant quatre jours par les députés a été adopté, hier, à main levée par la majorité des membres de l'Assemblée populaire nationale (APN). Le Premier ministre a répondu auparavant aux propositions et à certaines critiques de parlementaires. Dans son intervention Abdelmalek Sellal a d'emblée rassurés les députés que « toutes les propositions qui ont émises ont été prises en compte ». Il réitéré de nouveau que le plan d'action du gouvernement n'est que « la continuité du plan du président de la République », auquel s'ajoute « quelques nouveaux éléments ».. Il dira que « c'est un plan qui vise l'horizon 2030 ». Ne s'attardant pas trop sur les chiffres, il fait état d'une hausse constante du Produit intérieur brut qui passe de 40, 80 milliards de dinars, l'année 2000 à plus de 16.160 milliards de dinars en 2012. Il souligne que les ressources en hydrocarbures « sont incontournables » pour le développement du pays, mais il relève que « la part de la valeur ajoutée du secteur des hydrocarbures à baissé » avec perspective d'arriver à 36% en 2016. Le Premier ministre relève également une hausse du Produit national brut (PNB) qui passe de 1540$ en 2000 à 4003 $ en 2012 et une augmentation des réserves de change qui arrive en 2012 à 193,7 milliards de $, une dette extérieur de 4,4 milliards de $ et un taux de chômage de 9% actuellement. Il réitère l'engagement de son gouvernement d'encourager l'investissement qu'il soit public ou privé, national ou étranger, selon la règle du 49/51% dans la perspective d'arriver à créer les 3.000.000 millions de postés d'emploi prévu dans le plan d'action. Il annonce que des projets vont être lancés dans le secteur des Travaux publics et dément les chiffres qui laissent à penser que l'Algérie importe tout pour ses besoins alimentaires. Selon Abdelmalek Sellal, « la production agricole nationale satisfait les besoins nationaux à hauteur de 70%, les 30% restants sont importés ». Pour le logement qu'il qualifié « la mère des batailles », le Premier ministre avoue que le problème se situe dans la distribution des logements et promet qu'il y aura une révision de la vision et une carte nationale qui renfermera toutes les données relatives aux logements distribués. Il attire l'attention des députés qu'ils auront sous peu à examiner la loi sur les hydrocarbures, confiant que l'Algérie dispose de très grandes ressources enfouies dans les profondeurs de son sous-sol qui demandes de grands moyens et une techonologies de pointes pour leurs exploitations. Il s'agit du pétrole non conventionnel qui n'aura aucun impact sur l'environnement pour son exploitation, tient-il à rassurer. Selon Abdelmalek « la justice est souveraine » et annonce « le renforcement des pôles spécialisés dans la lutte contre la corruption et le blanchiment d'argent ». Il révèle que le processus de la réconciliation nationale sera poursuivi pour arriver à une amnistie générale. Selon lui, il est arrivé le temps d'apaiser les cœurs et de se réconcilier avec l'histoire. « Amirouche, Abane , Benboulaïd, Aït Ahmed sont des héros et le resteront », a-t-il martelé et prévient sur les conséquents sur « la politisation de l'histoire ». Il attribue les fléaux sociaux dont souffre l'Algérie au fait qu'elle est subit les influence d'un environnement perturbé et rassure que « les frontières du pays sont bien surveillées », et confie que « le pays à besoin d'un front intérieur renforcé », pour face à cet environnement perturbé et évité « l'instabilité » politique, économique et sociale. Selon lui, l'Algérie a les moyens et la volonté, ce qu'il lui manque c'est un peu plus de cohésion et de confiance. Le Plan d'action du gouvernement, présenté par le Premier ministre Abdelmalek Sellal et débattu durant quatre jours par les députés a été adopté, hier, à main levée par la majorité des membres de l'Assemblée populaire nationale (APN). Le Premier ministre a répondu auparavant aux propositions et à certaines critiques de parlementaires. Dans son intervention Abdelmalek Sellal a d'emblée rassurés les députés que « toutes les propositions qui ont émises ont été prises en compte ». Il réitéré de nouveau que le plan d'action du gouvernement n'est que « la continuité du plan du président de la République », auquel s'ajoute « quelques nouveaux éléments ».. Il dira que « c'est un plan qui vise l'horizon 2030 ». Ne s'attardant pas trop sur les chiffres, il fait état d'une hausse constante du Produit intérieur brut qui passe de 40, 80 milliards de dinars, l'année 2000 à plus de 16.160 milliards de dinars en 2012. Il souligne que les ressources en hydrocarbures « sont incontournables » pour le développement du pays, mais il relève que « la part de la valeur ajoutée du secteur des hydrocarbures à baissé » avec perspective d'arriver à 36% en 2016. Le Premier ministre relève également une hausse du Produit national brut (PNB) qui passe de 1540$ en 2000 à 4003 $ en 2012 et une augmentation des réserves de change qui arrive en 2012 à 193,7 milliards de $, une dette extérieur de 4,4 milliards de $ et un taux de chômage de 9% actuellement. Il réitère l'engagement de son gouvernement d'encourager l'investissement qu'il soit public ou privé, national ou étranger, selon la règle du 49/51% dans la perspective d'arriver à créer les 3.000.000 millions de postés d'emploi prévu dans le plan d'action. Il annonce que des projets vont être lancés dans le secteur des Travaux publics et dément les chiffres qui laissent à penser que l'Algérie importe tout pour ses besoins alimentaires. Selon Abdelmalek Sellal, « la production agricole nationale satisfait les besoins nationaux à hauteur de 70%, les 30% restants sont importés ». Pour le logement qu'il qualifié « la mère des batailles », le Premier ministre avoue que le problème se situe dans la distribution des logements et promet qu'il y aura une révision de la vision et une carte nationale qui renfermera toutes les données relatives aux logements distribués. Il attire l'attention des députés qu'ils auront sous peu à examiner la loi sur les hydrocarbures, confiant que l'Algérie dispose de très grandes ressources enfouies dans les profondeurs de son sous-sol qui demandes de grands moyens et une techonologies de pointes pour leurs exploitations. Il s'agit du pétrole non conventionnel qui n'aura aucun impact sur l'environnement pour son exploitation, tient-il à rassurer. Selon Abdelmalek « la justice est souveraine » et annonce « le renforcement des pôles spécialisés dans la lutte contre la corruption et le blanchiment d'argent ». Il révèle que le processus de la réconciliation nationale sera poursuivi pour arriver à une amnistie générale. Selon lui, il est arrivé le temps d'apaiser les cœurs et de se réconcilier avec l'histoire. « Amirouche, Abane , Benboulaïd, Aït Ahmed sont des héros et le resteront », a-t-il martelé et prévient sur les conséquents sur « la politisation de l'histoire ». Il attribue les fléaux sociaux dont souffre l'Algérie au fait qu'elle est subit les influence d'un environnement perturbé et rassure que « les frontières du pays sont bien surveillées », et confie que « le pays à besoin d'un front intérieur renforcé », pour face à cet environnement perturbé et évité « l'instabilité » politique, économique et sociale. Selon lui, l'Algérie a les moyens et la volonté, ce qu'il lui manque c'est un peu plus de cohésion et de confiance.