Fini les lenteurs récurrentes dans les locaux de police. C'est-ce qu'à déclaré, hier, le commissaire Kadaoui, chef de la sûreté de wilaya d'Alger (SWA), lors d'une conférence de presse animée à Alger. C'est grâce à la nouvelle technologie, le LRP (Logiciel de rédaction de procédures) acquise par la DGSN que, désormais, les plaintes déposées par des citoyens et des PV faits par des policiers seront traitées en un temps record. Fini les lenteurs récurrentes dans les locaux de police. C'est-ce qu'à déclaré, hier, le commissaire Kadaoui, chef de la sûreté de wilaya d'Alger (SWA), lors d'une conférence de presse animée à Alger. C'est grâce à la nouvelle technologie, le LRP (Logiciel de rédaction de procédures) acquise par la DGSN que, désormais, les plaintes déposées par des citoyens et des PV faits par des policiers seront traitées en un temps record. Le commissaire Kadaoui, chef de la SWA, a dévoilé, hier, en détails, le nouveau logiciel informatique, le LRP, créé par des policiers algériens, à partir d'une idée faite par des experts en informatique relevant de la DGSN. «Le LRP est un réseau informatique interne qui appartient à la DGSN, hautement sécurisé et impossible à le pirater où l'on trouvent une banque de données de personnes et de véhicules stockées à partir des rapports faits par des officiers de la Police judiciaire et leurs assistants qui sont spécialisés à établir ce genre de données», explique le commissaire Kadaoui. Il ajoute : «Par exemple, lorsqu'un citoyen se présente dans une sûreté de daïra pour porter une plainte contre un ou des individus qui l'ont agressé ou, dans un autre exemple, lorsqu'une citoyenne se présente dans un local de police pour faire une déclaration de perte, ici, les policiers s'en chargent, en un temps record, pour faire rapport en utilisant le LRP. Donc, pour rédiger une déclaration de perte ou pour porter une plainte, ce genre d'affaires ne va plus prendre beaucoup de temps, comme cela avait été le cas durant les années passées. Désormais, tout sera rédigé en quelques petites minutes». En effet, pour rétablir un rapport via le LRP, les officiers et leurs assistants doivent impérativement passer par trois étapes essentielles. D'abord, faire une étude sur une affaire «X», cela par un bureau spécial, dont se chargent des ingénieurs du service d'information. Puis, en deuxième lieu, faire la conception et la dernière étape faire la programmation (produit fini). Mieux, avec le nouveau Logiciel de rédaction de procédures la tâche des policiers aura droit à une maîtrise plus efficace, rapide et payante. Donc, le LRP joue un rôle capital dans le cadre de la lutte contre la criminalité et la sécurité des citoyens. Doté de plusieurs applications logicielles, le LRP est une sorte de «boîte noire», où une banque de données numériques sur les personnes et véhicules recherchés est stockée. Le LRP sera généralisé dans les 48 sûretés de wilaya et ses premiers pas ont vu le jour en 2010 à la sûreté d'Alger à travers cinq sûretés de daïras et les trois Divisions, Centre, Est et Ouest. Même la PAF (Police Air et Frontières) tient dur comme fer à ce nouveau bébé de la DGSN, compte tenu de son importance dans la recherche d'éventuelles personnes étrangères, réclamées par la justice, dans le cadre des affaires de crimes ou de terrorisme, qui peuvent utilisées les aéroports et les ports du pays pour séjourner ou transiter via l'Algérie. 4319 officiers et assistants engagés dans le LRP Parlant de chiffres, le commissaire principal Daoudi, chef du service des TIC à la sûreté d'Alger, a affirmé que la DGSN compte déjà à son actif 4319 entre officiers et assistants spécialisés dans le nouveau système LRP. «Ils ont bénéficié de formations de qualité afin de mieux gérer le nouveau réseau interne de la DGSN», explique-t-il. Rien qu'au niveau de la sûreté d'Alger ce sont plus de 986 officiers et assistants qui s'en chargent dans le nouveau réseau. Prenons à titre d'exemple la sûreté de daïra de Mohammedia, ici, on a constaté déjà le traitement de 1603 rapports via le LRP, cela pour vous dire combien le système est bénéfique pour nous et pour les citoyens. Un avantage qui nous permet de gagner du temps, d'avoir plus d'efficacité dans le traitement des données et surtout un avantage pour les citoyens qui ne seront plus faire face à les lenteurs récurrentes dans les locaux de police», dira le commissaire principal Daoudi. 21 000 voitures interceptées par le radar «LAPI» De plus en plus efficaces, les nouveaux systèmes informatiques acquis par la DGSN ont abouti à des résultats très encourageants. En plus des personnes recherchées dont les informations sont stockées dans différentes banques de données, les véhicules sont aussi concernés, surtout ceux volés et activement recherchés. Alger est un cas de figure flagrant. Ici, grâce au nouveau système appelé le «LAPI» (Lecteur automatique des plaques d'immatriculations), 21 881 véhicules ont été interceptés par le radar faisant partie intégrante du LAPI, cela entre l'année 2011 et le premier semestre 2012. En 2011, 12 475 véhicules ont été signalés par le radar «LAPI», suite à des infractions constatées, dont 11 285 sont immatriculés 16 et 1184 hors wilaya. Grâce à cette nouvelle technologie, les policiers ont pu localiser des véhicules volés dans plusieurs coins de la capitale. Durant Le premier semestre de l'année en cours, 9404 véhicules ont été, à leur tour, interceptés par le LAPI, dont 8654 sont immatriculés à Alger et 744 hors wilaya et bien entendu beaucoup de voitures volées par des malfaiteurs ont été saisies. Le commissaire Kadaoui, chef de la SWA, a dévoilé, hier, en détails, le nouveau logiciel informatique, le LRP, créé par des policiers algériens, à partir d'une idée faite par des experts en informatique relevant de la DGSN. «Le LRP est un réseau informatique interne qui appartient à la DGSN, hautement sécurisé et impossible à le pirater où l'on trouvent une banque de données de personnes et de véhicules stockées à partir des rapports faits par des officiers de la Police judiciaire et leurs assistants qui sont spécialisés à établir ce genre de données», explique le commissaire Kadaoui. Il ajoute : «Par exemple, lorsqu'un citoyen se présente dans une sûreté de daïra pour porter une plainte contre un ou des individus qui l'ont agressé ou, dans un autre exemple, lorsqu'une citoyenne se présente dans un local de police pour faire une déclaration de perte, ici, les policiers s'en chargent, en un temps record, pour faire rapport en utilisant le LRP. Donc, pour rédiger une déclaration de perte ou pour porter une plainte, ce genre d'affaires ne va plus prendre beaucoup de temps, comme cela avait été le cas durant les années passées. Désormais, tout sera rédigé en quelques petites minutes». En effet, pour rétablir un rapport via le LRP, les officiers et leurs assistants doivent impérativement passer par trois étapes essentielles. D'abord, faire une étude sur une affaire «X», cela par un bureau spécial, dont se chargent des ingénieurs du service d'information. Puis, en deuxième lieu, faire la conception et la dernière étape faire la programmation (produit fini). Mieux, avec le nouveau Logiciel de rédaction de procédures la tâche des policiers aura droit à une maîtrise plus efficace, rapide et payante. Donc, le LRP joue un rôle capital dans le cadre de la lutte contre la criminalité et la sécurité des citoyens. Doté de plusieurs applications logicielles, le LRP est une sorte de «boîte noire», où une banque de données numériques sur les personnes et véhicules recherchés est stockée. Le LRP sera généralisé dans les 48 sûretés de wilaya et ses premiers pas ont vu le jour en 2010 à la sûreté d'Alger à travers cinq sûretés de daïras et les trois Divisions, Centre, Est et Ouest. Même la PAF (Police Air et Frontières) tient dur comme fer à ce nouveau bébé de la DGSN, compte tenu de son importance dans la recherche d'éventuelles personnes étrangères, réclamées par la justice, dans le cadre des affaires de crimes ou de terrorisme, qui peuvent utilisées les aéroports et les ports du pays pour séjourner ou transiter via l'Algérie. 4319 officiers et assistants engagés dans le LRP Parlant de chiffres, le commissaire principal Daoudi, chef du service des TIC à la sûreté d'Alger, a affirmé que la DGSN compte déjà à son actif 4319 entre officiers et assistants spécialisés dans le nouveau système LRP. «Ils ont bénéficié de formations de qualité afin de mieux gérer le nouveau réseau interne de la DGSN», explique-t-il. Rien qu'au niveau de la sûreté d'Alger ce sont plus de 986 officiers et assistants qui s'en chargent dans le nouveau réseau. Prenons à titre d'exemple la sûreté de daïra de Mohammedia, ici, on a constaté déjà le traitement de 1603 rapports via le LRP, cela pour vous dire combien le système est bénéfique pour nous et pour les citoyens. Un avantage qui nous permet de gagner du temps, d'avoir plus d'efficacité dans le traitement des données et surtout un avantage pour les citoyens qui ne seront plus faire face à les lenteurs récurrentes dans les locaux de police», dira le commissaire principal Daoudi. 21 000 voitures interceptées par le radar «LAPI» De plus en plus efficaces, les nouveaux systèmes informatiques acquis par la DGSN ont abouti à des résultats très encourageants. En plus des personnes recherchées dont les informations sont stockées dans différentes banques de données, les véhicules sont aussi concernés, surtout ceux volés et activement recherchés. Alger est un cas de figure flagrant. Ici, grâce au nouveau système appelé le «LAPI» (Lecteur automatique des plaques d'immatriculations), 21 881 véhicules ont été interceptés par le radar faisant partie intégrante du LAPI, cela entre l'année 2011 et le premier semestre 2012. En 2011, 12 475 véhicules ont été signalés par le radar «LAPI», suite à des infractions constatées, dont 11 285 sont immatriculés 16 et 1184 hors wilaya. Grâce à cette nouvelle technologie, les policiers ont pu localiser des véhicules volés dans plusieurs coins de la capitale. Durant Le premier semestre de l'année en cours, 9404 véhicules ont été, à leur tour, interceptés par le LAPI, dont 8654 sont immatriculés à Alger et 744 hors wilaya et bien entendu beaucoup de voitures volées par des malfaiteurs ont été saisies.