Les états de la côte Est des Etats-Unis ont pris des mesures exceptionnelles de sécurité pour affronter l'ouragan "Sandy" encore "jamais vu" qui menace de semer le chaos dans les zones littorales, selon les prévisions météorologiques. Surnommée "Superstorm" ou "Monsterstorm" pour souligner la taille et la dangerosité potentielle de la tempête, l'ouragan "Sandy" doit se renforcer en rencontrant un front froid du Canada, selon les prévisions des services météorologiques. Ceux-ci s'attendent à ce que l'ouragan touche les terres, sans doute mardi matin, probablement sur la côte du Delaware ou du New Jersey, au sud de New York. A New York, plus de 375.000 habitants de zones inondables bordant l'East et l'Hudson River ont été évacués. Les eaux pourraient monter de plus de trois mètres, selon le Centre américain de surveillance des ouragans (NHC). Environ 1.100 soldats de la garde nationale doivent se déployer dans la ville. Tôt lundi, l'ouragan se trouvait à 760 kilomètres au sud de New York et il a commencé à s'orienter vers l'ouest, selon NHC. Dans la plupart des Etats de la côte, les gouverneurs ont déclaré l'état d'urgence afin de pouvoir rapidement mobiliser des moyens. Un spécialiste de la météo du journal Washington Post a avoué n'avoir "jamais vu" de pareilles prévisions. "On entre là dans un terrain inconnu", a-t-il dit. Le président américain Barack Obama a appelé la population à prendre "très au sérieux" le danger, en pressant les 50 millions d'Américains vivant dans les régions concernées de suivre les conseils des autorités locales. Tous les transports en commun des villes de New York, Philadelphie ou Washington ont été arrêtés dimanche soir par les autorités avant l'arrivée, attendue mardi matin, de l'ouragan. De plus, 7.400 vols intérieurs et internationaux ont été annulés dans les mêmes villes pour dimanche et lundi. M. Obama, qui s'est rendu dimanche au siège de l'agence chargée de la gestion des situations de crise (Fema), a annulé une partie de ses déplacement afin de surveiller l'évolution de la situation depuis la Maison Blanche. Les opérations de vote par anticipation risquent également d'être très perturbées, menaçant le taux de participation. Au moins 66 personnes sont mortes après le passage de "Sandy" dans les Caraïbes. Les états de la côte Est des Etats-Unis ont pris des mesures exceptionnelles de sécurité pour affronter l'ouragan "Sandy" encore "jamais vu" qui menace de semer le chaos dans les zones littorales, selon les prévisions météorologiques. Surnommée "Superstorm" ou "Monsterstorm" pour souligner la taille et la dangerosité potentielle de la tempête, l'ouragan "Sandy" doit se renforcer en rencontrant un front froid du Canada, selon les prévisions des services météorologiques. Ceux-ci s'attendent à ce que l'ouragan touche les terres, sans doute mardi matin, probablement sur la côte du Delaware ou du New Jersey, au sud de New York. A New York, plus de 375.000 habitants de zones inondables bordant l'East et l'Hudson River ont été évacués. Les eaux pourraient monter de plus de trois mètres, selon le Centre américain de surveillance des ouragans (NHC). Environ 1.100 soldats de la garde nationale doivent se déployer dans la ville. Tôt lundi, l'ouragan se trouvait à 760 kilomètres au sud de New York et il a commencé à s'orienter vers l'ouest, selon NHC. Dans la plupart des Etats de la côte, les gouverneurs ont déclaré l'état d'urgence afin de pouvoir rapidement mobiliser des moyens. Un spécialiste de la météo du journal Washington Post a avoué n'avoir "jamais vu" de pareilles prévisions. "On entre là dans un terrain inconnu", a-t-il dit. Le président américain Barack Obama a appelé la population à prendre "très au sérieux" le danger, en pressant les 50 millions d'Américains vivant dans les régions concernées de suivre les conseils des autorités locales. Tous les transports en commun des villes de New York, Philadelphie ou Washington ont été arrêtés dimanche soir par les autorités avant l'arrivée, attendue mardi matin, de l'ouragan. De plus, 7.400 vols intérieurs et internationaux ont été annulés dans les mêmes villes pour dimanche et lundi. M. Obama, qui s'est rendu dimanche au siège de l'agence chargée de la gestion des situations de crise (Fema), a annulé une partie de ses déplacement afin de surveiller l'évolution de la situation depuis la Maison Blanche. Les opérations de vote par anticipation risquent également d'être très perturbées, menaçant le taux de participation. Au moins 66 personnes sont mortes après le passage de "Sandy" dans les Caraïbes.