Le premier jour de campagne électorale à Tizi-Ouzou n'a pas du tout été un événement. En dehors de quelques militants des partis politiques en lice, qui se sont distingués hier en quelques endroits de la ville de Tizi-Ouzou, rien de particulier n'est à signaler. L'ambiance était donc, somme toute, à l'indifférence du côté de la population. Cette dernière rappelle ainsi que depuis quelques années, elle n'exprime plus un intérêt particulier à l'égard de tout ce qui est inhérent à l'activité politique. Une tournée dans les différents quartiers de la ville des Genêts illustre à quel point il ne sera pas facile aux candidats et aux responsables des partis de convaincre leurs électeurs potentiels. Déjà que pour établir les listes des candidats, la tâche n'a pas du tout été aisée au sein des bureaux de wilaya des partis, on devine la suite. Les partis politiques, conscients de ces difficultés, ont fait preuve d'un manque de communication flagrant mais volontaire. Aucun parti n'a communiqué à la presse le programme des différents meetings qui seront organisés dans les communes et au chef-lieu de wilaya. Chose qui se faisait dans les délais à l'occasion des échéances électorales d'avant 2007. Il faut dire que ces dernières années, l'ensemble des partis activant dans la wilaya ont perdu du terrain. La preuve en est qu'aucune des formations n'est parvenue à se présenter dans les soixante-sept communes que compte la wilaya de Tizi-Ouzou. Seul le FFS a réussi à présenter des listes dans soixante-quatre communes. Dans les trois autres municipalités, le parti de Hocine Aït Ahmed n'a pas été en mesure de se placer car n'ayant pas de section communale ni une base militante à même de pouvoir lui permettre de postuler dans ces régions. Le RCD, le RND et le FLN, non plus, n'ont pas pu ratisser large. Mais ils ont tous franchi la barre des 59 communes contrairement au MPA et au PT, présents respectivement dans 15 et 12 APC, uniquement. Le MSP, quant à lui, n'est présent que dans cinq communes. C'est dire que la wilaya de Tizi-Ouzou reste imperméable aux partis dits islamistes. Sur le plan de l'organisation, la direction de la réglementation et des affaires générales de la wilaya a terminé tous les préparatifs dans les délais et la dernière étape a été l'installation de la commission de wilaya de surveillance des élections locales. La cérémonie de sa mise sur pied a eu lieu samedi dernier au siège de la wilaya. Le premier jour de campagne électorale à Tizi-Ouzou n'a pas du tout été un événement. En dehors de quelques militants des partis politiques en lice, qui se sont distingués hier en quelques endroits de la ville de Tizi-Ouzou, rien de particulier n'est à signaler. L'ambiance était donc, somme toute, à l'indifférence du côté de la population. Cette dernière rappelle ainsi que depuis quelques années, elle n'exprime plus un intérêt particulier à l'égard de tout ce qui est inhérent à l'activité politique. Une tournée dans les différents quartiers de la ville des Genêts illustre à quel point il ne sera pas facile aux candidats et aux responsables des partis de convaincre leurs électeurs potentiels. Déjà que pour établir les listes des candidats, la tâche n'a pas du tout été aisée au sein des bureaux de wilaya des partis, on devine la suite. Les partis politiques, conscients de ces difficultés, ont fait preuve d'un manque de communication flagrant mais volontaire. Aucun parti n'a communiqué à la presse le programme des différents meetings qui seront organisés dans les communes et au chef-lieu de wilaya. Chose qui se faisait dans les délais à l'occasion des échéances électorales d'avant 2007. Il faut dire que ces dernières années, l'ensemble des partis activant dans la wilaya ont perdu du terrain. La preuve en est qu'aucune des formations n'est parvenue à se présenter dans les soixante-sept communes que compte la wilaya de Tizi-Ouzou. Seul le FFS a réussi à présenter des listes dans soixante-quatre communes. Dans les trois autres municipalités, le parti de Hocine Aït Ahmed n'a pas été en mesure de se placer car n'ayant pas de section communale ni une base militante à même de pouvoir lui permettre de postuler dans ces régions. Le RCD, le RND et le FLN, non plus, n'ont pas pu ratisser large. Mais ils ont tous franchi la barre des 59 communes contrairement au MPA et au PT, présents respectivement dans 15 et 12 APC, uniquement. Le MSP, quant à lui, n'est présent que dans cinq communes. C'est dire que la wilaya de Tizi-Ouzou reste imperméable aux partis dits islamistes. Sur le plan de l'organisation, la direction de la réglementation et des affaires générales de la wilaya a terminé tous les préparatifs dans les délais et la dernière étape a été l'installation de la commission de wilaya de surveillance des élections locales. La cérémonie de sa mise sur pied a eu lieu samedi dernier au siège de la wilaya.