Comme son nom l'indique, ce parti, créé dans la foulée des réformes initiées par le Président Bouteflika au lendemain des émeutes de l'huile et du sucre, est venu insuffler une dynamique nouvelle à l'action politique en vue de permettra la transmission du flambeau entre les générations. Comme son nom l'indique, ce parti, créé dans la foulée des réformes initiées par le Président Bouteflika au lendemain des émeutes de l'huile et du sucre, est venu insuffler une dynamique nouvelle à l'action politique en vue de permettra la transmission du flambeau entre les générations. Secrétaire général du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaïd, a animé hier une conférence de presse au siège national de son parti aux fins d'une mise au point sur l'actuelle campagne électorale, dont les débuts sont particulièrement timides. Loin de mâcher ses mots, attaquant tout de go le sujet, le conférencier s'est ainsi exclamé que « les élections des législatives du 10 mai passé avaient été organisées sous un climat dictatorial ». Selon lui, donc, « l'Algérie, à travers ces élections, a connu une véritable mascarade démocratique ». Cela n'a quand même pas empêché le Front El Moustakbal de s'en tirer honorablement, en réussissant à entrer, quoi que de manière modeste, au sein de la Chambre basse du Parlement. Plus résolu que jamais, sachant que pas mal de chemin reste encore à parcourir, ce Front a l'intention de se jeter de tout son poids dans la bataille électorale des locales avant pas moins de 34 listes pour la courses aux APW et 394 en ce qui concerne les APC, ce qui représente un vrai tour de force pour une formation politique aussi jeune. Le chef de file du parti El Moustakbal, qui donne l'air de n'avoir toujours pas digéré « la mascarade » des législatives passée, évoque la « complicité de plusieurs APC, ayant activement travaillé à spolier El Moustakbal de plusieurs sièges qui lui étaient dus au profit d'autres formations politiques ». Il en veut, pour exemples édifiants, à l'appui de ses accusations, les wilayas de Tissemssilt et de Djelfa. Le Front El Moustakbal, qui œuvre à donner la main aux jeunes, marginalisés pendant des décades entières, se dit ainsi déterminé à rendre le pouvoir de décision au peuple, et donner corps à ce slogan qui dit « mine chaâb wa ila chaâb », c'est-à-dire « du peuple au Front El Moustakbel ne fait pas secret non plus de ses appréhensions sur le fait qu'il pourrait également y avoir fraude massive lors des élections locales du 29 novembre prochain. Le Front El Moustakbel, qui espère ainsi que la population se mobilisera pour protéger ses voix, entend également « redonner son lustre à l'APC, et mettre un terme à la situation actuelle, où les communes sont devenues de vulgaires appendices où les élus, représentants du peuple, sont les vassaux des commis de l'Etat que sont les chefs de daïra et les walis ». A notre question de savoir ce qui distingue ce parti des autres formations politiques, et qu'est-ce qu'El Moustakbal entend apporter de plus, Belaïd Abdelaziz a mis en exergue sa fierté du fait que l'ensemble de ses candidats sont des cadres et des intellectuels hautement compétents, tout en ajoutant que lui-même totalise un très long parcours de militant pour avoir été au sein du FLN, mais aussi à la tête de l'UNEA. Revenant, par ailleurs, sur le geste obscène du sénateur français Gérard Longuet, le conférencier a qualifié celui-ci de d' « immoral ». Cela, avant d'enchaîner pour dire qu' « ils nous considèrent comme des indigènes. Le fait de reconnaître les massacres du 17 Octobre 1961 est purement stratégique. Il s'agit d'une tactique politique et rien d'autre. Voilà pourquoi notre ministère des Affaires étrangères doit assumer son rôle consistant à défendre la dignité et l'intégrité des Algériens, et ce en adoptant une position claire, nette et ferme vis-à-vis de toutes les provocations que nous subissons présentement ». Tout en promettant de mener une bonne campagne de proximité et d'être constamment à l'écoute des citoyens, le conférencier conclura en exprimant son regret concernant l'opacité qui a toujours entouré la gestion du dossier malien alors que les Algériens ont, quand même, le droit d'en savoir plus sur des questions qui les touchent au plus haut degré. Secrétaire général du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaïd, a animé hier une conférence de presse au siège national de son parti aux fins d'une mise au point sur l'actuelle campagne électorale, dont les débuts sont particulièrement timides. Loin de mâcher ses mots, attaquant tout de go le sujet, le conférencier s'est ainsi exclamé que « les élections des législatives du 10 mai passé avaient été organisées sous un climat dictatorial ». Selon lui, donc, « l'Algérie, à travers ces élections, a connu une véritable mascarade démocratique ». Cela n'a quand même pas empêché le Front El Moustakbal de s'en tirer honorablement, en réussissant à entrer, quoi que de manière modeste, au sein de la Chambre basse du Parlement. Plus résolu que jamais, sachant que pas mal de chemin reste encore à parcourir, ce Front a l'intention de se jeter de tout son poids dans la bataille électorale des locales avant pas moins de 34 listes pour la courses aux APW et 394 en ce qui concerne les APC, ce qui représente un vrai tour de force pour une formation politique aussi jeune. Le chef de file du parti El Moustakbal, qui donne l'air de n'avoir toujours pas digéré « la mascarade » des législatives passée, évoque la « complicité de plusieurs APC, ayant activement travaillé à spolier El Moustakbal de plusieurs sièges qui lui étaient dus au profit d'autres formations politiques ». Il en veut, pour exemples édifiants, à l'appui de ses accusations, les wilayas de Tissemssilt et de Djelfa. Le Front El Moustakbal, qui œuvre à donner la main aux jeunes, marginalisés pendant des décades entières, se dit ainsi déterminé à rendre le pouvoir de décision au peuple, et donner corps à ce slogan qui dit « mine chaâb wa ila chaâb », c'est-à-dire « du peuple au Front El Moustakbel ne fait pas secret non plus de ses appréhensions sur le fait qu'il pourrait également y avoir fraude massive lors des élections locales du 29 novembre prochain. Le Front El Moustakbel, qui espère ainsi que la population se mobilisera pour protéger ses voix, entend également « redonner son lustre à l'APC, et mettre un terme à la situation actuelle, où les communes sont devenues de vulgaires appendices où les élus, représentants du peuple, sont les vassaux des commis de l'Etat que sont les chefs de daïra et les walis ». A notre question de savoir ce qui distingue ce parti des autres formations politiques, et qu'est-ce qu'El Moustakbal entend apporter de plus, Belaïd Abdelaziz a mis en exergue sa fierté du fait que l'ensemble de ses candidats sont des cadres et des intellectuels hautement compétents, tout en ajoutant que lui-même totalise un très long parcours de militant pour avoir été au sein du FLN, mais aussi à la tête de l'UNEA. Revenant, par ailleurs, sur le geste obscène du sénateur français Gérard Longuet, le conférencier a qualifié celui-ci de d' « immoral ». Cela, avant d'enchaîner pour dire qu' « ils nous considèrent comme des indigènes. Le fait de reconnaître les massacres du 17 Octobre 1961 est purement stratégique. Il s'agit d'une tactique politique et rien d'autre. Voilà pourquoi notre ministère des Affaires étrangères doit assumer son rôle consistant à défendre la dignité et l'intégrité des Algériens, et ce en adoptant une position claire, nette et ferme vis-à-vis de toutes les provocations que nous subissons présentement ». Tout en promettant de mener une bonne campagne de proximité et d'être constamment à l'écoute des citoyens, le conférencier conclura en exprimant son regret concernant l'opacité qui a toujours entouré la gestion du dossier malien alors que les Algériens ont, quand même, le droit d'en savoir plus sur des questions qui les touchent au plus haut degré.