Par lakhdari brahim Le secrétaire général du parti du Rassemblement national démocratique (RND), Ahmed Ouyahia, a estimé, hier, à Chlef que les assemblées populaires élues sont parties prenantes du développement local de par leurs propositions et leur contribution à la répartition du budget de wilaya. M. Ouyahia, qui intervenait lors d'un meeting animé dans le cadre de la campagne électorale pour les élections locales (APC-APW) du 29 novembre, a expliqué que ''la satisfaction'' des préoccupations des citoyens "incombe dans une large proportion aux assemblées élues", estimant, dans ce sens, que 60 % des doléances des citoyens pourront être pris en charge par les APC et l'APW. L'entrée en vigueur des codes de la wilaya et de la commune en 2012 consolidera les attributions des élus et clarifiera davantage le rôle de ces derniers dans la gestion des affaires locales, a indiqué le SG du RND, ajoutant que ''la stabilité'' au niveau de toute commune demeure tributaire de son développement et de l'engagement et la détermination de ses élus à être au service du citoyen et du développement de leur collectivité. Le RND a présenté 26.000 candidats aux élections locales, dont la moitié est universitaire, a fait observer, par ailleurs, M. Ouyahia, en appelant les futurs élus de son parti à faire preuve de "bonne gouvernance, à privilégier le développement de la commune et à instaurer un dialogue permanent avec le citoyen". La wilaya de Chlef dispose de tous les atouts pour devenir un grand pôle de développement et constituer un tremplin pour les assemblées populaires locales pour attirer davantage d'investisseurs et du coup contribuer au développement de leur commune, a affirmé M. Ouyahia, en faisant observer que la bataille du futur devra être menée sur le plan économique. Le SG du RND a, d'autre part, mis en exergue l'impact des réformes politiques initiées par le président de la République, en estimant, à cet égard, que celles-ci "ont permis non seulement de consolider le processus démocratique, mais également de mettre le pays à l'abri du "printemps arabe" et de poursuivre en conséquence la réalisation des grands chantiers de développement". Par lakhdari brahim Le secrétaire général du parti du Rassemblement national démocratique (RND), Ahmed Ouyahia, a estimé, hier, à Chlef que les assemblées populaires élues sont parties prenantes du développement local de par leurs propositions et leur contribution à la répartition du budget de wilaya. M. Ouyahia, qui intervenait lors d'un meeting animé dans le cadre de la campagne électorale pour les élections locales (APC-APW) du 29 novembre, a expliqué que ''la satisfaction'' des préoccupations des citoyens "incombe dans une large proportion aux assemblées élues", estimant, dans ce sens, que 60 % des doléances des citoyens pourront être pris en charge par les APC et l'APW. L'entrée en vigueur des codes de la wilaya et de la commune en 2012 consolidera les attributions des élus et clarifiera davantage le rôle de ces derniers dans la gestion des affaires locales, a indiqué le SG du RND, ajoutant que ''la stabilité'' au niveau de toute commune demeure tributaire de son développement et de l'engagement et la détermination de ses élus à être au service du citoyen et du développement de leur collectivité. Le RND a présenté 26.000 candidats aux élections locales, dont la moitié est universitaire, a fait observer, par ailleurs, M. Ouyahia, en appelant les futurs élus de son parti à faire preuve de "bonne gouvernance, à privilégier le développement de la commune et à instaurer un dialogue permanent avec le citoyen". La wilaya de Chlef dispose de tous les atouts pour devenir un grand pôle de développement et constituer un tremplin pour les assemblées populaires locales pour attirer davantage d'investisseurs et du coup contribuer au développement de leur commune, a affirmé M. Ouyahia, en faisant observer que la bataille du futur devra être menée sur le plan économique. Le SG du RND a, d'autre part, mis en exergue l'impact des réformes politiques initiées par le président de la République, en estimant, à cet égard, que celles-ci "ont permis non seulement de consolider le processus démocratique, mais également de mettre le pays à l'abri du "printemps arabe" et de poursuivre en conséquence la réalisation des grands chantiers de développement".