Les zones industrielles bénéficieront prochainement d'un programme de réhabilitation que devra mettre en place un comité ad hoc, a annoncé, à Rouiba, le ministre de l'Industrie de la PME et de la Promotion de l'investissement, Cherif Rahmani. L'implication de tous les intervenants du secteur, en particulier les industriels, les entrepreneurs et les autorités locales est nécessaire pour remettre en l'état les zones industrielles avec la remise en état des réseaux de servitude comme l'électricité, le gaz et l'assainissement, a souligné le ministre lors d'une visite d'inspection à la zone industrielle de Rouiba-Régahaïa (30 km à l'est d'Alger). M. Rahmani a appelé dans ce sens les futurs membres d'un comité ad hoc chargé de cette réhabilitation à écouter les industriels et connaître leurs priorités afin de mettre en place les moyens adéquats pour encourager la production nationale, a-t-il préconisé. "Je souhaiterai que cette zone redevienne exemplaire pour asseoir une industrie productive et surtout pour développer le made in Algéria", a-t-il dit. Le piteux état de la zone industrielle Rouiba-Réghaïa, notamment les infrastructures de base et le réseau de servitudes, a été au centre de cette visite de M. Rahmani. Le ministre a indiqué, par ailleurs, que l'enveloppe financière consacrée à ce projet devrait être fixée selon l'évaluation des besoins de la mise à niveau de ces zones, ajoutant que ''la réhabilitation touchera progressivement toutes les zones implantées sur le territoire national''. Lors de sa visite, le ministre a montré son entière disponibilité pour mettre un terme au problème d'équipements qui freinent la mise en exploitation de cette zone, privée, notamment, de l'accès aux TIC, dont l'internet en raison de l'absence d'un réseau de fibres optiques. A l'ERC (Entreprise de récupération de ferraille du Centre), il a exhorté les responsables de cette PME à créer des plates-formes logistiques pour le stockage de cette matière, qui se fait actuellement de façon anarchique sur une superficie de près de 3 hectares. Impérieuse compétitivité des entreprises exportatrices En visitant une société privée spécialisée dans la fabrication de produits pharmaceutiques, notamment le sérum glucosé et salé et les seringues, le ministre s'est félicité de la compétitivité de cette entreprises qui exporte ses produits à l'étranger, notamment au Japon. Par ailleurs, selon les explications fournis sur place par les responsables de la société de gestion immobilière d'Alger (Gestimal), chargée de la gestion de la zone industrielle de Rouiba-Régahaïa, cet espace créée durant les années soixante est considéré parmi l'une des plus grandes zones industrielles d'Algérie. Il s'étend sur une superficie d'environ 1.000 hectares et est desservi par 9 accès routiers. Cette zone regroupe 79 entreprises publiques, dont la Société nationale des véhicules industriels (SNVI) et la société nationale du transport routier (SNTR) sur une superficie de 784 hectares. Quelque 163 sociétés privées spécialisées notamment dans les industries pharmaceutique, chimique et agro-alimentaire sont implantées sur une superficie de 156 hectares Les zones industrielles bénéficieront prochainement d'un programme de réhabilitation que devra mettre en place un comité ad hoc, a annoncé, à Rouiba, le ministre de l'Industrie de la PME et de la Promotion de l'investissement, Cherif Rahmani. L'implication de tous les intervenants du secteur, en particulier les industriels, les entrepreneurs et les autorités locales est nécessaire pour remettre en l'état les zones industrielles avec la remise en état des réseaux de servitude comme l'électricité, le gaz et l'assainissement, a souligné le ministre lors d'une visite d'inspection à la zone industrielle de Rouiba-Régahaïa (30 km à l'est d'Alger). M. Rahmani a appelé dans ce sens les futurs membres d'un comité ad hoc chargé de cette réhabilitation à écouter les industriels et connaître leurs priorités afin de mettre en place les moyens adéquats pour encourager la production nationale, a-t-il préconisé. "Je souhaiterai que cette zone redevienne exemplaire pour asseoir une industrie productive et surtout pour développer le made in Algéria", a-t-il dit. Le piteux état de la zone industrielle Rouiba-Réghaïa, notamment les infrastructures de base et le réseau de servitudes, a été au centre de cette visite de M. Rahmani. Le ministre a indiqué, par ailleurs, que l'enveloppe financière consacrée à ce projet devrait être fixée selon l'évaluation des besoins de la mise à niveau de ces zones, ajoutant que ''la réhabilitation touchera progressivement toutes les zones implantées sur le territoire national''. Lors de sa visite, le ministre a montré son entière disponibilité pour mettre un terme au problème d'équipements qui freinent la mise en exploitation de cette zone, privée, notamment, de l'accès aux TIC, dont l'internet en raison de l'absence d'un réseau de fibres optiques. A l'ERC (Entreprise de récupération de ferraille du Centre), il a exhorté les responsables de cette PME à créer des plates-formes logistiques pour le stockage de cette matière, qui se fait actuellement de façon anarchique sur une superficie de près de 3 hectares. Impérieuse compétitivité des entreprises exportatrices En visitant une société privée spécialisée dans la fabrication de produits pharmaceutiques, notamment le sérum glucosé et salé et les seringues, le ministre s'est félicité de la compétitivité de cette entreprises qui exporte ses produits à l'étranger, notamment au Japon. Par ailleurs, selon les explications fournis sur place par les responsables de la société de gestion immobilière d'Alger (Gestimal), chargée de la gestion de la zone industrielle de Rouiba-Régahaïa, cet espace créée durant les années soixante est considéré parmi l'une des plus grandes zones industrielles d'Algérie. Il s'étend sur une superficie d'environ 1.000 hectares et est desservi par 9 accès routiers. Cette zone regroupe 79 entreprises publiques, dont la Société nationale des véhicules industriels (SNVI) et la société nationale du transport routier (SNTR) sur une superficie de 784 hectares. Quelque 163 sociétés privées spécialisées notamment dans les industries pharmaceutique, chimique et agro-alimentaire sont implantées sur une superficie de 156 hectares