Sept jours de traque et d'investigations, au bout desquels neuf dangereux trafiquants de psychotropes et de kif sont tombés l'un après l'autre dans les filets des gendarmes d'Ain Oulmène. Sept jours de traque et d'investigations, au bout desquels neuf dangereux trafiquants de psychotropes et de kif sont tombés l'un après l'autre dans les filets des gendarmes d'Ain Oulmène. Les gendarmes ont été contraints d'élargir leurs expertises allant de Sétif en passant par Bordj Bou-Arréridj et en arrivant, finalement, à Batna, afin d'arrêter les neuf criminels. Un réseau de trafic très structuré ayant des liens avec d'autres réseaux à l'étranger. L'affaire est tellement importante car il s'agit de la découverte d'un demi-million de comprimés de psychotropes, cachés dans une maison à Batna, soit pour une somme totale de plus de dix milliards de centimes. Même la Pharmacie Centrale relevant du ministère de la Santé n'est pas en mesure d'avoir une quantité de comprimés de psychotropes aussi importante que celle découverte entre les mains des trafiquants. C'est un record jamais atteint dans les annales de la Gendarmerie nationale. Les gendarmes de la brigade de Bir Heddada d'Ain Oulmène à Sétif viennent de frapper très fort en réussissant à démanteler le plus grand et le plus dangereux réseau de trafic de psychotropes et de blanchiment d'argent, composé de neuf membres, arrêtés après sept jours de traque où une quantité de 506 760 comprimés de Rivotril, Parkidyl et d'autres marques ainsi qu'une autre quantité de kif estimée à 1,3 tonne ont été saisis. L'affaire est plus qu'importante, car il s'agit là d'un réseau qui alimente presque tout le pays. D'ailleurs, la découverte de cette grosse quantité de psychotropes est incomparable avec les autres saisies enregistrées chaque année et beaucoup plus importante par rapport aux bilans des saisies de chaque fin d'année d'où on estime, chaque année, la saisie de 100 000 comprimés à travers plusieurs opérations. On parle ici d'une saisie record. Plus un demi-million de comprimés de stupéfiants, servant à droguer les toxicomanes, qui sont récupérés par les gendarmes. La valeur totale des 500 000 comprimés de stupéfiants saisis, lors de cette affaire, dépasse les dix milliards de centimes, cela sans compter la quantité de drogue récupérée lors de cette opération. Comment les gendarmes ont-ils réussi à faire tomber le réseau ? L'affaire remonte au 13 novembre dernier où un «tuyau» important a été fourni aux gendarmes de Bir Haddada, faisant état de la présence d'une bande suspecte agissant aux alentours des localités de Sétif, à bord de deux véhicules de marque Kia et BFSK. Partant de cet important renseignement les gendarmes ont monté un plan pour embusquer les occupants des deux véhicules. Un plan qui va très vite apporter ses fruits, puisqu'au bout de quelques heures , les gendarmes ont réussi à localiser les deux engins en question, les intercepter puis d'arrêter leurs deux occupants. En fouillant les deux voitures,les gendarmes ont découvert 1444 comprimés de psychotropes de marque Rivotril prêtes à être livrés à leurs clients. L'interrogatoire mené avec les deux trafiquants a permis aux gendarmes d'identifier les noms de deux autres acolytes du réseau. Ces deux complices seront interpellés le même jour au centre-ville d'Ain Azel, à Sétif. Poursuivant leurs investigations, les gendarmes ont recueilli d'autres révélations fracassantes sur le réseau. Les éléments de la brigade d'Ain Haddada ont été informés sur une transaction importante de psychotropes qui devait avoir lieu à Ras El Oued, une localité sise dans la wilaya de Bordj Bou-Arréridj. C'est ainsi qu'une extension d'expertise a été déclenchée par les gendarmes pour aller à Bordj Bou Arreridj, après le «feu vert» du procureur de la République de Sétif. Ici, les quatre trafiquants seront arrêtés au centre-ville de Ras El Oued en possession de 2000 comprimés de psychotropes sur le point d'être livrés aux acheteurs. Les quatre trafiquants seront emmenés au siège de la brigade d'Ain Haddada pour interrogatoire. Ces derniers ont fini par passer aux aveux, et de dévoiler le nom du neuvième membre de la bande. Ce dernier réside dans la wilaya de Batna. Entamant une seconde expertise dans la capitale des Aurès, les gendarmes ont exécuté le 20 novembre passé une perquisition du domicile du dernier membre de la bande lors de laquelle une quantité record de 503 016 comprimés de psychotropes a été découverte par les gendarmes, cela sans oublier une autre quantité de drogue estimée à 1,3 tonne de kif qui ont été saisis par les éléments de la Gendarmerie nationale. Il s'agit, en fait, du chef du réseau qui cachait cette grosse quantité de psychotropes et à chaque transaction avec d'autres réseaux auxiliaires, de grosses quantités sortaient de ce «dépôt» pour être transportées vers les quatre coins du pays. Au total, neuf trafiquants figurant dans ce réseau ont été interpellés et présentés, hier, devant le procureur de la République près le tribunal d'Aïn Ouleméne, pour détention et commercialisation de stupéfiants et psychotropes et blanchiment d'argent. Ils ont été placés sous mandat de dépôt. Les gendarmes ont été contraints d'élargir leurs expertises allant de Sétif en passant par Bordj Bou-Arréridj et en arrivant, finalement, à Batna, afin d'arrêter les neuf criminels. Un réseau de trafic très structuré ayant des liens avec d'autres réseaux à l'étranger. L'affaire est tellement importante car il s'agit de la découverte d'un demi-million de comprimés de psychotropes, cachés dans une maison à Batna, soit pour une somme totale de plus de dix milliards de centimes. Même la Pharmacie Centrale relevant du ministère de la Santé n'est pas en mesure d'avoir une quantité de comprimés de psychotropes aussi importante que celle découverte entre les mains des trafiquants. C'est un record jamais atteint dans les annales de la Gendarmerie nationale. Les gendarmes de la brigade de Bir Heddada d'Ain Oulmène à Sétif viennent de frapper très fort en réussissant à démanteler le plus grand et le plus dangereux réseau de trafic de psychotropes et de blanchiment d'argent, composé de neuf membres, arrêtés après sept jours de traque où une quantité de 506 760 comprimés de Rivotril, Parkidyl et d'autres marques ainsi qu'une autre quantité de kif estimée à 1,3 tonne ont été saisis. L'affaire est plus qu'importante, car il s'agit là d'un réseau qui alimente presque tout le pays. D'ailleurs, la découverte de cette grosse quantité de psychotropes est incomparable avec les autres saisies enregistrées chaque année et beaucoup plus importante par rapport aux bilans des saisies de chaque fin d'année d'où on estime, chaque année, la saisie de 100 000 comprimés à travers plusieurs opérations. On parle ici d'une saisie record. Plus un demi-million de comprimés de stupéfiants, servant à droguer les toxicomanes, qui sont récupérés par les gendarmes. La valeur totale des 500 000 comprimés de stupéfiants saisis, lors de cette affaire, dépasse les dix milliards de centimes, cela sans compter la quantité de drogue récupérée lors de cette opération. Comment les gendarmes ont-ils réussi à faire tomber le réseau ? L'affaire remonte au 13 novembre dernier où un «tuyau» important a été fourni aux gendarmes de Bir Haddada, faisant état de la présence d'une bande suspecte agissant aux alentours des localités de Sétif, à bord de deux véhicules de marque Kia et BFSK. Partant de cet important renseignement les gendarmes ont monté un plan pour embusquer les occupants des deux véhicules. Un plan qui va très vite apporter ses fruits, puisqu'au bout de quelques heures , les gendarmes ont réussi à localiser les deux engins en question, les intercepter puis d'arrêter leurs deux occupants. En fouillant les deux voitures,les gendarmes ont découvert 1444 comprimés de psychotropes de marque Rivotril prêtes à être livrés à leurs clients. L'interrogatoire mené avec les deux trafiquants a permis aux gendarmes d'identifier les noms de deux autres acolytes du réseau. Ces deux complices seront interpellés le même jour au centre-ville d'Ain Azel, à Sétif. Poursuivant leurs investigations, les gendarmes ont recueilli d'autres révélations fracassantes sur le réseau. Les éléments de la brigade d'Ain Haddada ont été informés sur une transaction importante de psychotropes qui devait avoir lieu à Ras El Oued, une localité sise dans la wilaya de Bordj Bou-Arréridj. C'est ainsi qu'une extension d'expertise a été déclenchée par les gendarmes pour aller à Bordj Bou Arreridj, après le «feu vert» du procureur de la République de Sétif. Ici, les quatre trafiquants seront arrêtés au centre-ville de Ras El Oued en possession de 2000 comprimés de psychotropes sur le point d'être livrés aux acheteurs. Les quatre trafiquants seront emmenés au siège de la brigade d'Ain Haddada pour interrogatoire. Ces derniers ont fini par passer aux aveux, et de dévoiler le nom du neuvième membre de la bande. Ce dernier réside dans la wilaya de Batna. Entamant une seconde expertise dans la capitale des Aurès, les gendarmes ont exécuté le 20 novembre passé une perquisition du domicile du dernier membre de la bande lors de laquelle une quantité record de 503 016 comprimés de psychotropes a été découverte par les gendarmes, cela sans oublier une autre quantité de drogue estimée à 1,3 tonne de kif qui ont été saisis par les éléments de la Gendarmerie nationale. Il s'agit, en fait, du chef du réseau qui cachait cette grosse quantité de psychotropes et à chaque transaction avec d'autres réseaux auxiliaires, de grosses quantités sortaient de ce «dépôt» pour être transportées vers les quatre coins du pays. Au total, neuf trafiquants figurant dans ce réseau ont été interpellés et présentés, hier, devant le procureur de la République près le tribunal d'Aïn Ouleméne, pour détention et commercialisation de stupéfiants et psychotropes et blanchiment d'argent. Ils ont été placés sous mandat de dépôt.