Le Ballet national algérien a donné lundi soir au théâtre Mohammed V à Rabat un agréable spectacle de danses populaire puisées de différentes régions de l'Algérie, et ce, à l'occasion de la tenue des Journées culturelles algériennes au Maroc (1er-7 décémbre). Le spectacle, composé de sept danses successives, a débuté par la représentation d'une fantasia, agréablement exécutée par des danseurs habillés en cavaliers pour accompagner avec le "baroud" la célébration des fêtes populaires dans certaines régions algériennes. Cette fantasia a été suivie de la danse de Tlemcen, interprétée par huit danseuses vêtues de beaux costumes traditionnels, avec comme fond musical la chanson Sidi Boumediene en référence au saint patron de cette région. La danse alaouie (ouest algérien) a pris le relais, sous les applaudissements de l'assistance, qui a apprécié l'entrée sur scène de trois musiciens de zorna, venus accompagner la parfaite synchronisation des danseurs dans leur mouvement d'épaules, la maîtrise de la canne et leurs battements de pied. Habillées en blanc et au rythme de la chanson Achtah Achtah a Taous, huit danseuses ont retrempé l'assistance dans l'ambiance des fêtes kabyles d'antan et où l'énergie et la synchronisation du déhanchement donnaient un spectacle fantastique haut en couleurs. La danse du burnous (Oran) aura été celle où l'habit a été le plus mis en valeur par les danseurs, alors que celle d'Ouled Nail a rappelé la mixité lors des moments de joie et de fête. C'est sur fond de la chanson algéroise Ferha ou zahoua fel djazaïr que les danseuses, habillées en beaux karakous, ont clôturé cet agréable spectacle, longuement applaudi par l'assistance qui a apprécié également le support de la projection vidéo représentant chaque région d'Algérie correspondant à la danse exécutée sur scène. Durant la soirée, le public a été invité à deux reprises a écouté l'ensemble Nachid El Houria (hymne à la liberté) spécialement formé pour ces journées culturelles programmées à Rabat, Casablanca et Marrakech. Le groupe, composé de Lynda blues, Sadek Bouzinou, Kawtar, Noureddine Berrah, Ayoub Mejahed et Chemseddine, a repris des chansons patriotiques avant d'interpréter certains de leur succès. Le Ballet national algérien a donné lundi soir au théâtre Mohammed V à Rabat un agréable spectacle de danses populaire puisées de différentes régions de l'Algérie, et ce, à l'occasion de la tenue des Journées culturelles algériennes au Maroc (1er-7 décémbre). Le spectacle, composé de sept danses successives, a débuté par la représentation d'une fantasia, agréablement exécutée par des danseurs habillés en cavaliers pour accompagner avec le "baroud" la célébration des fêtes populaires dans certaines régions algériennes. Cette fantasia a été suivie de la danse de Tlemcen, interprétée par huit danseuses vêtues de beaux costumes traditionnels, avec comme fond musical la chanson Sidi Boumediene en référence au saint patron de cette région. La danse alaouie (ouest algérien) a pris le relais, sous les applaudissements de l'assistance, qui a apprécié l'entrée sur scène de trois musiciens de zorna, venus accompagner la parfaite synchronisation des danseurs dans leur mouvement d'épaules, la maîtrise de la canne et leurs battements de pied. Habillées en blanc et au rythme de la chanson Achtah Achtah a Taous, huit danseuses ont retrempé l'assistance dans l'ambiance des fêtes kabyles d'antan et où l'énergie et la synchronisation du déhanchement donnaient un spectacle fantastique haut en couleurs. La danse du burnous (Oran) aura été celle où l'habit a été le plus mis en valeur par les danseurs, alors que celle d'Ouled Nail a rappelé la mixité lors des moments de joie et de fête. C'est sur fond de la chanson algéroise Ferha ou zahoua fel djazaïr que les danseuses, habillées en beaux karakous, ont clôturé cet agréable spectacle, longuement applaudi par l'assistance qui a apprécié également le support de la projection vidéo représentant chaque région d'Algérie correspondant à la danse exécutée sur scène. Durant la soirée, le public a été invité à deux reprises a écouté l'ensemble Nachid El Houria (hymne à la liberté) spécialement formé pour ces journées culturelles programmées à Rabat, Casablanca et Marrakech. Le groupe, composé de Lynda blues, Sadek Bouzinou, Kawtar, Noureddine Berrah, Ayoub Mejahed et Chemseddine, a repris des chansons patriotiques avant d'interpréter certains de leur succès.