L'Algérie prend part à la Conférence mondiale des télécommunications internationale qui se tient jusqu'au 14 décembre courant à Dubaï (Emirats arabes unis). L'Algérie prend part à la Conférence mondiale des télécommunications internationale qui se tient jusqu'au 14 décembre courant à Dubaï (Emirats arabes unis). De nombreuses instances algériennes prennent part à cette conférence internationale à l'instar de l'Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (Arpt) représentée par sa présidente Zohra Derdouri, ainsi que certains opérateurs de téléphonie mobile. Sous l'égide de l'UIT, l'agence de référence des télécoms rattachée à l'Onu enclenche la renégociation du Règlement des télécommunications internationales (RTI). La Conférence mondiale des télécommunications internationales va permettre d'aborder la manière de définir les relations entre Etats, opérateurs télécoms et services Internet. Il s'agit d'un traité international « ayant une force obligatoire qui facilite l'interconnexion et l'interopérabilité des services d'information et de communication dans le monde, ainsi que leur exploitation efficace et leur large accessibilité au public », lit-on dans le communiqué de l'UIT. En outre, cette conférence devrait permettre d'aborder une série de propositions à l'image de la manière d'accélérer le déploiement du haut débit dans le monde, l'amélioration de l'efficacité énergétique dans le secteur des télécoms, le traitement du problème des déchets d'équipements électriques et électroniques, etc. Le Secrétaire général de l'Union internationale des télécommunications (UIT), le Dr Hamadoun I. Touré, a rappelé le contenu de l'article 33 de la Constitution de l'UIT qui reconnaît au public le droit de correspondre au moyen du service international et que le Règlement des télécommunications internationales (RTI), ne peut aller à l'encontre de cette disposition. De son côté, le Secrétaire général de l'Organisation des Nations unies, Ban Ki-moon, a déclaré à l'ouverture des travaux de la conférence que les TIC pouvaient aider les peuples à faire entendre leurs revendications légitimes en faveur du respect des droits de l'homme comme l'ont montré les révoltes de 2011 dans certains pays arabes. Malgré des textes de loi qui défendent la liberté d'expression sur le net, des représentants de la Tunisie, à titre d'exemple, n'ont pas manqué de souligner que « certains pays ont coupé l'accès aux télécommunications internationales ». De nombreuses instances algériennes prennent part à cette conférence internationale à l'instar de l'Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (Arpt) représentée par sa présidente Zohra Derdouri, ainsi que certains opérateurs de téléphonie mobile. Sous l'égide de l'UIT, l'agence de référence des télécoms rattachée à l'Onu enclenche la renégociation du Règlement des télécommunications internationales (RTI). La Conférence mondiale des télécommunications internationales va permettre d'aborder la manière de définir les relations entre Etats, opérateurs télécoms et services Internet. Il s'agit d'un traité international « ayant une force obligatoire qui facilite l'interconnexion et l'interopérabilité des services d'information et de communication dans le monde, ainsi que leur exploitation efficace et leur large accessibilité au public », lit-on dans le communiqué de l'UIT. En outre, cette conférence devrait permettre d'aborder une série de propositions à l'image de la manière d'accélérer le déploiement du haut débit dans le monde, l'amélioration de l'efficacité énergétique dans le secteur des télécoms, le traitement du problème des déchets d'équipements électriques et électroniques, etc. Le Secrétaire général de l'Union internationale des télécommunications (UIT), le Dr Hamadoun I. Touré, a rappelé le contenu de l'article 33 de la Constitution de l'UIT qui reconnaît au public le droit de correspondre au moyen du service international et que le Règlement des télécommunications internationales (RTI), ne peut aller à l'encontre de cette disposition. De son côté, le Secrétaire général de l'Organisation des Nations unies, Ban Ki-moon, a déclaré à l'ouverture des travaux de la conférence que les TIC pouvaient aider les peuples à faire entendre leurs revendications légitimes en faveur du respect des droits de l'homme comme l'ont montré les révoltes de 2011 dans certains pays arabes. Malgré des textes de loi qui défendent la liberté d'expression sur le net, des représentants de la Tunisie, à titre d'exemple, n'ont pas manqué de souligner que « certains pays ont coupé l'accès aux télécommunications internationales ».