Les membres de la Ouma se concertent à Alger pour coopérer dans la lutte contre la sale guerre, celle de la cybercriminalité, la circulation illicite d'armes, le blanchiment d'argent et le renforcement sécuritaire des frontières. Les membres de la Ouma se concertent à Alger pour coopérer dans la lutte contre la sale guerre, celle de la cybercriminalité, la circulation illicite d'armes, le blanchiment d'argent et le renforcement sécuritaire des frontières. La nouvelle philosophie sécuritaire et configuration de la lutte contre la criminalité, à l'orée des mouvement contestataires que connaît la rue arabe, au cœur des débats du 36e Congrès des directeurs généraux de police et de sécurité arabes à l'hôtel El Aurassi à Alger en présence du ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia. La dernière fois où ce congrès s'est tenue à Alger, c'était en 1996. 16 ans après, la coopération arabe dans la lutte contre la criminalité se maintient. Pour cette édition la coopération de la Ouma porte essentiellement sur la lutte contre la criminalité transnationale, la cybercriminalité et la convention arabe de transfèrement des détenus des établissements pénitentiaires. Elle a brillé par l'absence de la Libye et de la Syrie. En cause les situations respectives des deux pays. Ainsi sur la situation qui y prévaut à l'occasion le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales a fait remarquer que ce congrès coïncidait avec les "Profondes mutations" que connaissent les pays arabes, avec comme conséquences immédiates des répercussions sécuritaires, d'où la nécessité d'aller vers des mesures "efficaces et responsables" à même de "préserver la sécurité des Etats, leur intégrité territoriale et satisfaire aussi les revendications légitimes des peuples". Revenant sur l'Organisation panarabe, il a insisté sur la coopération dans le cadre des conventions et stratégies arrêtées, le ministre a appelé à préserver les droits de l'Homme, conformément aux recommandations du Congrès des directeurs généraux de police et de sécurité arabes. Alger pour un renforcement de la sûreté aux frontières Pour cela il a appelé les futurs congrès du même acabit à garder le cap notamment pour contrer le financement du crime, le blanchiment d'argent, le circulation des armes et la cybercriminalité. Pour Daho Ould Kablia, l'impératif est d'accorder les violons des uns et des autres pour sécuriser les frontières. L'urgence pour le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales est à la coopération et à la coordination. Pour lui "il faut accorder l'importance voulue à la sécurisation et à la surveillance des frontières à travers une coopération et une coordination efficaces entre les pays en procédant à des échanges d'informations afin d'éviter l'infiltration des frontières par les réseaux terroristes, du crime organisé et transnational". La question est d'actualité et coïncide avec ce qui se passe à nos frontières, Ould Kablia a insisté sur la sécurisation des frontières qui permet, selon l'orateur, de "lutter contre le commerce illicite des armes, les narcotrafiquants, l'émigration clandestine et la contrebande sous toutes ses formes". Pour conclure il a appuyé le numéro 1 de la Sûreté nationale en incitant les directeurs généraux de police et de sécurité arabes à traiter et rechercher des solutions ad hoc pour lutter contre la corruption, le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme. Dans le sillage de ces propos il a indiqué que la première prérogative de la Police arabe est de "tarir" les sources de financement de ces crimes qui ont "pris de l'ampleur ces dernières années pour dépasser les frontières du pays". En témoigne la "déteinte" de la crise libyenne sur le sous-continent. Pour le ministre il ne fait aucun doute que le développement socioéconomique d'un pays passe par la stabilité sécuritaire, ce sont pour lui "des conditions fondamentales". Pour y parvenir il a mis l'accent sur la conjugaison des efforts de "tous" et à une coopération régionale et internationale "concrète" pour "lutter et traquer" les criminels et les "empêcher d'infiltrer les frontières". Il a, par ailleurs, insisté sur les échanges d'informations pour "éviter l'infiltration des frontières par les réseaux terroristes, du crime organisé et transnational", a- t-il indiqué. La digression était toute faite pour souligner l'autre nouveauté de ce congrès qu'est l'adhésion de l'Algérie à Interpol. Perçu sous cet angle l'Algérie peut être la passerelle ou la jonction entre ces deux organisations. D'autant, selon la présidente de l'Organisation internationale de la Police communautaire, qu'elle détient une mine de renseignements classés en 96 millions de dossiers, qu'elle peut mettre à la disposition de l'Organisation panarabe. Pour sa part le secrétaire général du Conseil des ministres arabes de l'Intérieur, Mohamed Ben Ali Koman a insisté sur la nécessité de la Sûreté nationale et commune, donc interarabe, de relever les nouveaux défis sécuritaires du ressort de la police. S'agissant de la cybercriminalité contre le fléau bionique il a appelé à des sanctions punitives certes, mais avant des mesures "urgentes" et "efficaces" pour lutter contre cette nouvelle forme de criminalité. Pour cela il a insisté sur le parachèvement de la stratégie arabe de lutte contre ce fléau qui devra compléter et renforcer la convention arabe de lutte contre la cybercriminalité de 2010. La nouvelle philosophie sécuritaire et configuration de la lutte contre la criminalité, à l'orée des mouvement contestataires que connaît la rue arabe, au cœur des débats du 36e Congrès des directeurs généraux de police et de sécurité arabes à l'hôtel El Aurassi à Alger en présence du ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia. La dernière fois où ce congrès s'est tenue à Alger, c'était en 1996. 16 ans après, la coopération arabe dans la lutte contre la criminalité se maintient. Pour cette édition la coopération de la Ouma porte essentiellement sur la lutte contre la criminalité transnationale, la cybercriminalité et la convention arabe de transfèrement des détenus des établissements pénitentiaires. Elle a brillé par l'absence de la Libye et de la Syrie. En cause les situations respectives des deux pays. Ainsi sur la situation qui y prévaut à l'occasion le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales a fait remarquer que ce congrès coïncidait avec les "Profondes mutations" que connaissent les pays arabes, avec comme conséquences immédiates des répercussions sécuritaires, d'où la nécessité d'aller vers des mesures "efficaces et responsables" à même de "préserver la sécurité des Etats, leur intégrité territoriale et satisfaire aussi les revendications légitimes des peuples". Revenant sur l'Organisation panarabe, il a insisté sur la coopération dans le cadre des conventions et stratégies arrêtées, le ministre a appelé à préserver les droits de l'Homme, conformément aux recommandations du Congrès des directeurs généraux de police et de sécurité arabes. Alger pour un renforcement de la sûreté aux frontières Pour cela il a appelé les futurs congrès du même acabit à garder le cap notamment pour contrer le financement du crime, le blanchiment d'argent, le circulation des armes et la cybercriminalité. Pour Daho Ould Kablia, l'impératif est d'accorder les violons des uns et des autres pour sécuriser les frontières. L'urgence pour le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales est à la coopération et à la coordination. Pour lui "il faut accorder l'importance voulue à la sécurisation et à la surveillance des frontières à travers une coopération et une coordination efficaces entre les pays en procédant à des échanges d'informations afin d'éviter l'infiltration des frontières par les réseaux terroristes, du crime organisé et transnational". La question est d'actualité et coïncide avec ce qui se passe à nos frontières, Ould Kablia a insisté sur la sécurisation des frontières qui permet, selon l'orateur, de "lutter contre le commerce illicite des armes, les narcotrafiquants, l'émigration clandestine et la contrebande sous toutes ses formes". Pour conclure il a appuyé le numéro 1 de la Sûreté nationale en incitant les directeurs généraux de police et de sécurité arabes à traiter et rechercher des solutions ad hoc pour lutter contre la corruption, le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme. Dans le sillage de ces propos il a indiqué que la première prérogative de la Police arabe est de "tarir" les sources de financement de ces crimes qui ont "pris de l'ampleur ces dernières années pour dépasser les frontières du pays". En témoigne la "déteinte" de la crise libyenne sur le sous-continent. Pour le ministre il ne fait aucun doute que le développement socioéconomique d'un pays passe par la stabilité sécuritaire, ce sont pour lui "des conditions fondamentales". Pour y parvenir il a mis l'accent sur la conjugaison des efforts de "tous" et à une coopération régionale et internationale "concrète" pour "lutter et traquer" les criminels et les "empêcher d'infiltrer les frontières". Il a, par ailleurs, insisté sur les échanges d'informations pour "éviter l'infiltration des frontières par les réseaux terroristes, du crime organisé et transnational", a- t-il indiqué. La digression était toute faite pour souligner l'autre nouveauté de ce congrès qu'est l'adhésion de l'Algérie à Interpol. Perçu sous cet angle l'Algérie peut être la passerelle ou la jonction entre ces deux organisations. D'autant, selon la présidente de l'Organisation internationale de la Police communautaire, qu'elle détient une mine de renseignements classés en 96 millions de dossiers, qu'elle peut mettre à la disposition de l'Organisation panarabe. Pour sa part le secrétaire général du Conseil des ministres arabes de l'Intérieur, Mohamed Ben Ali Koman a insisté sur la nécessité de la Sûreté nationale et commune, donc interarabe, de relever les nouveaux défis sécuritaires du ressort de la police. S'agissant de la cybercriminalité contre le fléau bionique il a appelé à des sanctions punitives certes, mais avant des mesures "urgentes" et "efficaces" pour lutter contre cette nouvelle forme de criminalité. Pour cela il a insisté sur le parachèvement de la stratégie arabe de lutte contre ce fléau qui devra compléter et renforcer la convention arabe de lutte contre la cybercriminalité de 2010.