«Le 10 décembre (aujourd'hui), il y aura le dialogue au niveau ministériel à l'Onu sur la crise malienne. Il y a d'emblée un certain nombre d'indices et de facteurs qui font que l'ONU ordonnera l'envoi d'une force de stabilisation au Mali», a lancé, samedi dernier, Kamel Rezzag Bara, spécialiste des questions sécuritaires en Afrique et conseiller à la présidence de la République lors d'une conférence-débat sur le thème «La problématique sécuritaire au Sahel» organisée, samedi à Alger, par l'université Alger 3. Le même jour, lors d'un point de presse, le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères faisait savoir qu'«il y a un très large consensus sur la nécessité d'une opération au Mali au sein des membres du Conseil de sécurité, parmi les Etats africains qui sont les premiers directement concernés et, plus largement, au sein de la communauté internationale». «Le 10 décembre (aujourd'hui), il y aura le dialogue au niveau ministériel à l'Onu sur la crise malienne. Il y a d'emblée un certain nombre d'indices et de facteurs qui font que l'ONU ordonnera l'envoi d'une force de stabilisation au Mali», a lancé, samedi dernier, Kamel Rezzag Bara, spécialiste des questions sécuritaires en Afrique et conseiller à la présidence de la République lors d'une conférence-débat sur le thème «La problématique sécuritaire au Sahel» organisée, samedi à Alger, par l'université Alger 3. Le même jour, lors d'un point de presse, le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères faisait savoir qu'«il y a un très large consensus sur la nécessité d'une opération au Mali au sein des membres du Conseil de sécurité, parmi les Etats africains qui sont les premiers directement concernés et, plus largement, au sein de la communauté internationale».