C'est à la résidence Djenane El Mithak qu'a été organisée une journée d'étude avec la participation de parlementaires, universitaires et spécialistes sous le thème : "Les incompatibilités avec le mandat électif". Des communications traitant des thèmes : "Le régime des incompatibilités, principes, naissance et évolution", "Les incompatibilités dans le système juridique algérien" et "Les modalités de traitement des cas d'incompatibilité et les contentieux y afférant" ont été présentées lors de cette rencontre d'une journée organisée par le ministère des Relations avec le Parlement. A l'ouverture de cette journée, le ministre des Relations avec le Parlement, Mahmoud Khedri, a indiqué que le choix du thème des incompatibilités avec le mandat électif "répond à divers motifs, notamment à la lumière des réformes politiques initiées par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, et qui ont touché certains dispositifs juridiques régissant la vie politique". "Ce choix traduit, par ailleurs, notre souci d'élargir le débat sur les problématiques liées à ce thème, afin d'approfondir son étude et analyse, et de mieux saisir la portée de la philosophie des incompatibilités qui interdit le cumul de mandat dans les assemblées populaires élues, d'une part, et l'exercice de l'un de ces mandats avec d'autres fonctions et activités, d'autres part", a souligné le ministre. C'est à la résidence Djenane El Mithak qu'a été organisée une journée d'étude avec la participation de parlementaires, universitaires et spécialistes sous le thème : "Les incompatibilités avec le mandat électif". Des communications traitant des thèmes : "Le régime des incompatibilités, principes, naissance et évolution", "Les incompatibilités dans le système juridique algérien" et "Les modalités de traitement des cas d'incompatibilité et les contentieux y afférant" ont été présentées lors de cette rencontre d'une journée organisée par le ministère des Relations avec le Parlement. A l'ouverture de cette journée, le ministre des Relations avec le Parlement, Mahmoud Khedri, a indiqué que le choix du thème des incompatibilités avec le mandat électif "répond à divers motifs, notamment à la lumière des réformes politiques initiées par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, et qui ont touché certains dispositifs juridiques régissant la vie politique". "Ce choix traduit, par ailleurs, notre souci d'élargir le débat sur les problématiques liées à ce thème, afin d'approfondir son étude et analyse, et de mieux saisir la portée de la philosophie des incompatibilités qui interdit le cumul de mandat dans les assemblées populaires élues, d'une part, et l'exercice de l'un de ces mandats avec d'autres fonctions et activités, d'autres part", a souligné le ministre.