C'est le "boom" des caméras de télésurveillance à Alger. Les sociétés privées qui proposent différentes gammes de caméras et autres systèmes de télésurveillance sont gâtées, car les chiffres d'affaires sont doublés durant cette année. La raison : les clients (particuliers et sociétés) sont attirés comme des mouches pour acquérir une caméra de télésurveillance. La cause : la montée de la criminalité a poussé les Algérois à chercher la "parade". Dans les rues, boutiques, maisons et banques, les systèmes de surveillance sont installés partout. Selon une source proche de la wilaya d'Alger, plus de 8 000 caméras, entre celles implantées par les services de sécurité et d'autres installées par des sociétés privées et publiques sans oublier les propriétaires des boutiques et même les particuliers dans leurs maisons, sont déjà fonctionnelles. Surveiller ses biens et instaurer une meilleure sécurité, telles sont les raisons de ce grand intérêt des particuliers et des chefs d'entreprise pour ces équipements de télésurveillance. Même dans les coins les plus reculés de la capitale, des caméras sont implantées à l'image de la petite localité de Scala, sise dans la commune d'El Biar. Ici, quelques actes d'agressions et vols par effraction perpétrés durant les mois passés ciblant les locataires de cette localité ont poussé la plupart des commerçants à s'équiper de caméras de télésurveillance, pour contrer les malfaiteurs. Ce qui se passe à Scala est un échantillon de qui se passe dans d'autres quartiers algérois. Les cambriolages des maisons et magasins se sont accrus durant les onze derniers mois de l'année en cours, mais les arrestations des auteurs se sont accélérées aussi. Selon un chiffre officiel, quelques 6.543 affaires d'atteintes aux biens ont été traitées par les services de sécurité au niveau national durant la même période. Ce qui nous donne, donc, une moyenne de 100 actes de vols par jour. Face à cette "folie" des vols, les banques privées et publiques, conscientes des menaces de cambriolage visant l'argent stocké dans les coffres-forts, se sont ruées pour s'équiper davantage d'équipements de surveillance. D'ailleurs, ce qui s'est passé récemment dans les bureaux de postes de Chebli (Blida), Bel-Abbés et Béjaia sont des signes révélateurs de ce qu'il pourrait avoir lieu dans l'avenir. En effet, plusieurs receveurs des postes précitées ont été interpellés par les gendarmes dans le cadre de détournements d'argent public. C'est la raison pour laquelle, les banques privées et publiques sont en train d'installer d'autres systèmes de surveillance à l'intérieur comme à l'extérieur pour éviter d'éventuelles tentatives de vols au sein de leurs institutions. Ainsi, le recours aux caméras et équipements de télésurveillance bat son plein. Chaque établissement financier s'est équipé de plusieurs appareils, à la sortie comme à l'entrée, mais également aux alentours. Un contrôle très strict est imposé. Les boutiques et les supérettes d'Alger à l'heure des caméras Lorsqu'il s'agit de sécuriser ses biens devant les menaces récurrentes des bandes de malfaiteurs, cela n'a pas de prix et la meilleure manière pour sauver son argent c'est bien entendu de recourir aux systèmes de télésurveillance, l'oeil vigilant d'un propriétaire. Ainsi nous assistons, durant les derniers mois, à un boom sans précédent des installations de caméras de télésurveillance au niveau des boutiques et supérettes d'Alger. Ces systèmes de sécurité sont aujourd'hui très demandés par les commerçants. Ce nouveau phénomène est en train de s'étendre à plusieurs commerces de la capitale, générant un pic sans précédent des ventes dans le marché des équipements de surveillance, où plusieurs dizaines de milliards de centimes sont en jeu. Face à cette nouvelle donne, plusieurs sociétés privées se sont installées à Alger afin de répondre à cette forte demande, pour un potentiel dépassant les 140.000 commerçants et plus de 2.500 entreprises, sans compter les milliers de particuliers que compte Alger. Si l'installation d'une caméra de surveillance ou tout autre équipement de sécurité prend généralement quelques heures seulement, le coût, lui, est très élevé. Un commerçant qui veut installer un système de surveillance très simple doit débourser 48 000 dinars, selon les propos de quelques commerçants de Kouba, où le nombre de caméras déjà installées dans les boutiques est important. Plus le système de sécurité est intéressant plus le prix à payer est élevé. Si le propriétaire d'une boutique veut installer un système de surveillance haut de gamme (numérique, infrarouge), des équipements complets, le montant pourrait atteindre de 100 000 à 200 000 DA. Très cher, certes, mais le résultat est sûr, d'après les responsables des sociétés d'installation d'équipements de sécurité, un avis amplement partagé par les commerçants qui constatent une meilleure protection de leurs biens. Des boutiques de marques mondiales installées à Alger, à l'image de Fanion Fashion, Celio, Kiabi, Actua, Mango, Springfield et bien d'autres, sont toutes équipées d'un ou plusieurs systèmes de surveillance. Beaucoup de particuliers ont emboîté le pas aux commerces en installant leur propre caméra. Etonnant, soulignent des spécialistes qui parlent aujourd'hui d'un retournement de situation inattendu. 800 caméras installées par la DGSN dans les banlieues algéroises Les services de sécurité ont installé prés de 800 caméras de télésurveillance au niveau des zones sensibles d'Alger. Des caméras de télésurveillance à infrarouge de dernière génération, capables de décrypter les lieux à une portée de 4 kilomètres et ce, même durant la nuit. Les actes de destructions des biens publics et les attaques à l'arme blanche perpétrées dans certains quartiers d'Alger, tels que Bab El Oued, Baraki et Baba Ali, avaient poussé les services de sécurité à implanter de nouvelles caméras infrarouges afin de détecter et d'identifier les personnes qui sont derrière les troubles à l'ordre public. Ces personnes, qui font partie dans la plupart des temps de gangs, mais des repris de justice surtout, font l'objet, désormais, d'une traque sans relâche de la part des forces de l'ordre, avec surtout la mobilisation des centaines de caméras dans les quartiers d'Alger. D'une qualité d'image de très haute qualité, ces caméras ont permis aux policiers d'élucider plusieurs affaires de vols à la sauvette, mais aussi de désengorger les embouteillages. La DGSN a décidé de passer à un stade supérieur dans le contrôle des rues sensibles de la capitale. C'est devenu une nécessité surtout que le taux de la criminalité a augmenté de 20% cette année. Alger tout comme chaque capitale au monde n'est pas à l'abri de crimes et d'attentats terroristes. La DGSN a alors opté pour des caméras haut de gamme, notamment des caméras à infrarouge pour mieux sécuriser la capitale. C'est le "boom" des caméras de télésurveillance à Alger. Les sociétés privées qui proposent différentes gammes de caméras et autres systèmes de télésurveillance sont gâtées, car les chiffres d'affaires sont doublés durant cette année. La raison : les clients (particuliers et sociétés) sont attirés comme des mouches pour acquérir une caméra de télésurveillance. La cause : la montée de la criminalité a poussé les Algérois à chercher la "parade". Dans les rues, boutiques, maisons et banques, les systèmes de surveillance sont installés partout. Selon une source proche de la wilaya d'Alger, plus de 8 000 caméras, entre celles implantées par les services de sécurité et d'autres installées par des sociétés privées et publiques sans oublier les propriétaires des boutiques et même les particuliers dans leurs maisons, sont déjà fonctionnelles. Surveiller ses biens et instaurer une meilleure sécurité, telles sont les raisons de ce grand intérêt des particuliers et des chefs d'entreprise pour ces équipements de télésurveillance. Même dans les coins les plus reculés de la capitale, des caméras sont implantées à l'image de la petite localité de Scala, sise dans la commune d'El Biar. Ici, quelques actes d'agressions et vols par effraction perpétrés durant les mois passés ciblant les locataires de cette localité ont poussé la plupart des commerçants à s'équiper de caméras de télésurveillance, pour contrer les malfaiteurs. Ce qui se passe à Scala est un échantillon de qui se passe dans d'autres quartiers algérois. Les cambriolages des maisons et magasins se sont accrus durant les onze derniers mois de l'année en cours, mais les arrestations des auteurs se sont accélérées aussi. Selon un chiffre officiel, quelques 6.543 affaires d'atteintes aux biens ont été traitées par les services de sécurité au niveau national durant la même période. Ce qui nous donne, donc, une moyenne de 100 actes de vols par jour. Face à cette "folie" des vols, les banques privées et publiques, conscientes des menaces de cambriolage visant l'argent stocké dans les coffres-forts, se sont ruées pour s'équiper davantage d'équipements de surveillance. D'ailleurs, ce qui s'est passé récemment dans les bureaux de postes de Chebli (Blida), Bel-Abbés et Béjaia sont des signes révélateurs de ce qu'il pourrait avoir lieu dans l'avenir. En effet, plusieurs receveurs des postes précitées ont été interpellés par les gendarmes dans le cadre de détournements d'argent public. C'est la raison pour laquelle, les banques privées et publiques sont en train d'installer d'autres systèmes de surveillance à l'intérieur comme à l'extérieur pour éviter d'éventuelles tentatives de vols au sein de leurs institutions. Ainsi, le recours aux caméras et équipements de télésurveillance bat son plein. Chaque établissement financier s'est équipé de plusieurs appareils, à la sortie comme à l'entrée, mais également aux alentours. Un contrôle très strict est imposé. Les boutiques et les supérettes d'Alger à l'heure des caméras Lorsqu'il s'agit de sécuriser ses biens devant les menaces récurrentes des bandes de malfaiteurs, cela n'a pas de prix et la meilleure manière pour sauver son argent c'est bien entendu de recourir aux systèmes de télésurveillance, l'oeil vigilant d'un propriétaire. Ainsi nous assistons, durant les derniers mois, à un boom sans précédent des installations de caméras de télésurveillance au niveau des boutiques et supérettes d'Alger. Ces systèmes de sécurité sont aujourd'hui très demandés par les commerçants. Ce nouveau phénomène est en train de s'étendre à plusieurs commerces de la capitale, générant un pic sans précédent des ventes dans le marché des équipements de surveillance, où plusieurs dizaines de milliards de centimes sont en jeu. Face à cette nouvelle donne, plusieurs sociétés privées se sont installées à Alger afin de répondre à cette forte demande, pour un potentiel dépassant les 140.000 commerçants et plus de 2.500 entreprises, sans compter les milliers de particuliers que compte Alger. Si l'installation d'une caméra de surveillance ou tout autre équipement de sécurité prend généralement quelques heures seulement, le coût, lui, est très élevé. Un commerçant qui veut installer un système de surveillance très simple doit débourser 48 000 dinars, selon les propos de quelques commerçants de Kouba, où le nombre de caméras déjà installées dans les boutiques est important. Plus le système de sécurité est intéressant plus le prix à payer est élevé. Si le propriétaire d'une boutique veut installer un système de surveillance haut de gamme (numérique, infrarouge), des équipements complets, le montant pourrait atteindre de 100 000 à 200 000 DA. Très cher, certes, mais le résultat est sûr, d'après les responsables des sociétés d'installation d'équipements de sécurité, un avis amplement partagé par les commerçants qui constatent une meilleure protection de leurs biens. Des boutiques de marques mondiales installées à Alger, à l'image de Fanion Fashion, Celio, Kiabi, Actua, Mango, Springfield et bien d'autres, sont toutes équipées d'un ou plusieurs systèmes de surveillance. Beaucoup de particuliers ont emboîté le pas aux commerces en installant leur propre caméra. Etonnant, soulignent des spécialistes qui parlent aujourd'hui d'un retournement de situation inattendu. 800 caméras installées par la DGSN dans les banlieues algéroises Les services de sécurité ont installé prés de 800 caméras de télésurveillance au niveau des zones sensibles d'Alger. Des caméras de télésurveillance à infrarouge de dernière génération, capables de décrypter les lieux à une portée de 4 kilomètres et ce, même durant la nuit. Les actes de destructions des biens publics et les attaques à l'arme blanche perpétrées dans certains quartiers d'Alger, tels que Bab El Oued, Baraki et Baba Ali, avaient poussé les services de sécurité à implanter de nouvelles caméras infrarouges afin de détecter et d'identifier les personnes qui sont derrière les troubles à l'ordre public. Ces personnes, qui font partie dans la plupart des temps de gangs, mais des repris de justice surtout, font l'objet, désormais, d'une traque sans relâche de la part des forces de l'ordre, avec surtout la mobilisation des centaines de caméras dans les quartiers d'Alger. D'une qualité d'image de très haute qualité, ces caméras ont permis aux policiers d'élucider plusieurs affaires de vols à la sauvette, mais aussi de désengorger les embouteillages. La DGSN a décidé de passer à un stade supérieur dans le contrôle des rues sensibles de la capitale. C'est devenu une nécessité surtout que le taux de la criminalité a augmenté de 20% cette année. Alger tout comme chaque capitale au monde n'est pas à l'abri de crimes et d'attentats terroristes. La DGSN a alors opté pour des caméras haut de gamme, notamment des caméras à infrarouge pour mieux sécuriser la capitale.