Dans un communiqué de la cellule de communication de la Gendarmerie nationale, cette dernière indique qu'en seulement trois jours des tonnes de fer, produits alimentaires et des milliers de litres de carburants ont été saisis par les gardes-frontières aux quatre coins des frontières du pays. En plus de la récupération des produits déstinés à la contrebande, les gardes-frontières ont réussi à interpeller deux contrebandiers algériens et l'immobilisation d'un camion, quatre véhicules, deux motocyclettes et neuf baudets. Selon le communiqué de la Gendarmerie, en plus du carburant il a été saisi également 25 quintaux de fer, 13,50 quintaux d'alimentation générale, 23 unités de pièces détachés, 12,65 tonnes de produits alimentaires pour animaux, 2 troupeaux et 80 pièces de vêtements. Par ailleurs, le communiqué indique que les saisis enregistrés durant ces derniers jours ont été opérées dans les villes frontalières de Tlemcen, Tébessa, Souk Ahras et Tamanrasset. Ces régions frontalières ont connu, durant cette année, une recrudescence des activités des réseaux de la contrebande. Du côté des frontières ouest, plus exactement à Tlemcen les contrebandiers recourent de plus en plus au trafic de carburant vers le Maroc. En chiffres, les gendarmes ont réussi, au cours des onze mois passés, à saisir plus de 250.000 litres de carburant, cela sans oublier l'interception de plusieurs centaines de moutons en partance vers le Maroc. Passant aux frontières Est, notamment dans le tracé frontalier algéro-tunisien, ici, la contrebande de carburant est le maître des lieux. En onze mois, plus de 350.000 litres de carburant ont été saisis par les gardes-frontières relevant de la Gendarmerie Nationale. En plus des centaines de milliers de litres de carburant qui sont saisis, des tonnes de fer et de produits alimentaires en destination vers la Tunisie l'ont été. A l'extrême sud du pays, notamment à Tamanrasset, le trafic de carburant a sensiblement augmenté, du fait du terrorisme, car de l'autre côté des frontières algériennes, les groupes terroristes et les trafiquants de drogue et d'armes arrivent mal à avoir du carburant pour parvenir à acheminer et circuler dans leurs véhicules. Du coup, ce sont les réseaux de contrebande implantés en Algérie, juste devant les frontières algéro-maliennes et algéro-nigériennes qui proposent aux terroristes et trafiquants en tous genres le carburant algérien. Devant cette cadence, toujours en hausse, la Gendarmerie nationale a été contrainte de renforcer le dispositif sécuritaire au niveau des frontières algériennes. D'ailleurs, les visites de terrain effectuées depuis des mois par le commandant de la Gendarmerie nationale, Ahmed Bousteila, avait pour objectif le renforcement et la lutte contre la contrebande qui nuit de l'économie nationale. Dans un communiqué de la cellule de communication de la Gendarmerie nationale, cette dernière indique qu'en seulement trois jours des tonnes de fer, produits alimentaires et des milliers de litres de carburants ont été saisis par les gardes-frontières aux quatre coins des frontières du pays. En plus de la récupération des produits déstinés à la contrebande, les gardes-frontières ont réussi à interpeller deux contrebandiers algériens et l'immobilisation d'un camion, quatre véhicules, deux motocyclettes et neuf baudets. Selon le communiqué de la Gendarmerie, en plus du carburant il a été saisi également 25 quintaux de fer, 13,50 quintaux d'alimentation générale, 23 unités de pièces détachés, 12,65 tonnes de produits alimentaires pour animaux, 2 troupeaux et 80 pièces de vêtements. Par ailleurs, le communiqué indique que les saisis enregistrés durant ces derniers jours ont été opérées dans les villes frontalières de Tlemcen, Tébessa, Souk Ahras et Tamanrasset. Ces régions frontalières ont connu, durant cette année, une recrudescence des activités des réseaux de la contrebande. Du côté des frontières ouest, plus exactement à Tlemcen les contrebandiers recourent de plus en plus au trafic de carburant vers le Maroc. En chiffres, les gendarmes ont réussi, au cours des onze mois passés, à saisir plus de 250.000 litres de carburant, cela sans oublier l'interception de plusieurs centaines de moutons en partance vers le Maroc. Passant aux frontières Est, notamment dans le tracé frontalier algéro-tunisien, ici, la contrebande de carburant est le maître des lieux. En onze mois, plus de 350.000 litres de carburant ont été saisis par les gardes-frontières relevant de la Gendarmerie Nationale. En plus des centaines de milliers de litres de carburant qui sont saisis, des tonnes de fer et de produits alimentaires en destination vers la Tunisie l'ont été. A l'extrême sud du pays, notamment à Tamanrasset, le trafic de carburant a sensiblement augmenté, du fait du terrorisme, car de l'autre côté des frontières algériennes, les groupes terroristes et les trafiquants de drogue et d'armes arrivent mal à avoir du carburant pour parvenir à acheminer et circuler dans leurs véhicules. Du coup, ce sont les réseaux de contrebande implantés en Algérie, juste devant les frontières algéro-maliennes et algéro-nigériennes qui proposent aux terroristes et trafiquants en tous genres le carburant algérien. Devant cette cadence, toujours en hausse, la Gendarmerie nationale a été contrainte de renforcer le dispositif sécuritaire au niveau des frontières algériennes. D'ailleurs, les visites de terrain effectuées depuis des mois par le commandant de la Gendarmerie nationale, Ahmed Bousteila, avait pour objectif le renforcement et la lutte contre la contrebande qui nuit de l'économie nationale.